Note de la fic : Non notée

Cours_(tres)_particuliers


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 29


Publié le 19/08/2013 à 01:11:33 par Pseudo supprimé

:mac: Chapitre 29 :mac:





Nous restons nus tous les deux, dans les bras l’un de l’autre, nos corps emmêlés. Nous nous regardons fixement, amoureusement, pendant que je caresse délicatement la joue de Jules.

Je suis fou de lui. C’est aussi simple que ça. Je suis prêt à tout traverser avec lui : ses angoisses, la colère de ses parents, le regard de ses camarades…

Tout ce que je veux, c’est qu’il soit avec moi, qu’il soit près de moi. Et s’il ne se sent pas prêt à le dire à ses parents, alors il faudra que nous fassions tout pour cacher notre relation…
Mais ça va être dur…

En parlant de chose « dure », je sens que mon sexe se réveille déjà… Mais il est une heure passée et je crois que le gérant nous a prévenus qu’il fallait libérer la chambre à 9 heures… Le plus simple et le plus raisonnable serait de dormir… Ne pas commencer à se frotter, à s’embrasser, à se toucher, à se…
Mais Jules a fermé les yeux.
Dors mon petit ange.
Fais de beaux rêves mon amour…



Je me réveille le lendemain matin, le visage tout contre celui de Jules, à mon plus grand bonheur. Nous sommes toujours nus, enlacés.
Je m’écarte pour pouvoir le regarder dormir, regarder son petit corps fin et musclé, sa belle peau douce et ambrée… puis je passe délicatement ma main dans son dos.
Sa peau est si agréable…
Par moment, je sens de petits reliefs, au creux de ses reins particulièrement. Au départ, je pense à des grains de beauté mais m’aperçois rapidement que ce sont en fait des sortes de longues griffures, de longues cicatrices qui parcourent le dos de mon amoureux et le haut de ses fesses. Peu visibles à l’œil nu, je me rends compte que sa peau est en fait un petit peu plus blanche à ce niveau-là.

Je laisse courir les doigts le long de ces fines marques et vois que Jules ouvre petit à petit les yeux.

Il s’étire en baillant, m’exposant une fois de plus sa nudité sans aucune gêne.

L : Bien dormi mon cœur ?

J : Tout contre toi donc très bien… Qu’est-ce que t’étais en train de faire ?

L : Je te regardais dormir… et je te touchais un peu aussi…

J : Petit cochon…

L : C’est quoi les marques dans ton dos ?

J : Oh ça ? De mauvaises chutes à vélo, ça se voit encore ?

L : Presque pas… Mais je crois pouvoir dire que je connais plutôt bien ton corps maintenant…
Ne reste plus qu’à découvrir l’intérieur de celui-ci… Rooo arrête Lucas, c’est pas à l’ordre du jour !

J : Je suis sûr qu’il t’en reste encore à découvrir…
Ha ben je n’suis pas l’seul…

L : Allez, je file sous la douche mais ne tarde pas trop car il faut qu’on soit partis d’ici une heure.


J’entre dans la minuscule salle de bains, armé d’un boxer propre ou plus exactement du caleçon noir que j’avais posé sur les yeux de Jules la veille au soir, et me glisse sous la douche.

Je laisse quelques instants l’eau couler sur ma peau avant de m’imbiber les mains de gel douche et de commencer à frotter mon corps. Les traces de nos folies de la veille sont toujours présentes sur mon ventre et sur mon torse mais ma peau finit par retrouver sa douceur habituelle.

Je passe ensuite les mains au creux de mes reins et m’attarde, comme à mon habitude, sur mes fesses. Je passe mes doigts le long de ma raie et m’arrête à l’entrée de mon petit trou.

Je prends une nouvelle noisette de gel douche et vient appuyer de nouveau sur mon anus… J’entre difficilement mon index et commence à pousser pour l’introduire davantage en moi.

Je pousse un petit gémissement de plaisir quand mon majeur vient rejoindre son camarade. Je les fais tourner tout doucement à l’intérieur de moi mais sens que, décidément, ce matin, le passage est difficile.

J : Tu veux un coup de main ? Ou de doigts plutôt ?

Je m’immobilise et me crispe instantanément. Jules est sur le pas de la porte, littéralement écroulé de rire par sa blague (et par la situation également je pense).
Mais comment j’ai pu l’oublier ?

L : Arrête de te moquer. Tu verras, c’est pas facile au début ! J’ai toujours été l’actif dans les relations que j’ai eues mais je me dis qu’avec toi… Donc depuis quelques temps, je m’exerce un peu plus…

J : « L’actif » ?
Va vraiment falloir que je lui explique tout…

L : Ben, celui qui pénètre l’autre… Pas celui qui est pénétré…

J : Et pour moi, tu serais prêt à changer ?

L : Ben ouais…

Il s’approche alors de moi et me dépose un baiser sur la bouche…

J : Mais tu sais, moi, là-dedans, j’y connais rien… Je sais pas c’que j’vais aimer et c’que j’vais pas aimer…

L : T’as déjà testé c’que j’étais en train d’faire ?

J : Jamais !

L : Va falloir remédier à ça…

Je le fais alors monter dans le bac de douche avec moi. Son sexe s’est automatiquement mis en érection à l’évocation de l’expérience qu’il était sur le point de vivre…

L : Mais pas maintenant !

Je lui donne une petite tape sur les fesses, sors de la douche et observe avec délice son regard mi-choqué, mi-amusé.

L : On doit libérer la chambre, n’oublie pas...

Je lui adresse un clin d’œil et sors de la salle de bains, le laissant seul avec son érection et fier de l'avoir bien excité et de me sauver juste après...


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