Journal_de_bord_bug_+145_
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 13
13 - BUG +15 minutes
Publié le 19/08/13 à 01:11:24 par Pseudo supprimé
es lampadaires s'éteignirent subitement en même temps que tous les gyrophares. Je ne vis plus le véhicule du maître chien. Mais je l'entendis clairement lorsqu'il percuta plusieurs automobiles garées sur le coté. Seuls les étincelles illuminèrent l'obscurité ambiante.
– Oh Bordel, hurlais-je. Planquez-vous.
Le véhicule fou fini sa course dans une Opel à quelques mètres de nous.
A la lumière de la lune, je vis Jeannot sortir rapidement en gueulant et ouvrir la porte arrière de son fourgon pour voir son chien. Son adjoint indemne sortait de l'autre coté.
C'était le blackout total tout autour de nous....
Nos lampes tactiques ne fonctionnaient pas et il n'y avait pas que cela. Les véhicules, les radios, les téléphones portables et même mon taser, il se passait quelques choses et je n'aimais pas cela.
On redressa les deux prisonniers que l'on avait sous la main. Le dernier qui se trouvait sur le toit de la camionnette avait profité de l'accident et de l'obscurité pour se carapater.
– Le commissariat est à deux pas d'ici. On va les amener là bas et on voit par la suite.
Nous récupérâmes nos sacs dans nos véhicules ainsi que l'armement de patrouille constituait de deux HK UMP. Les policiers avaient avec leur flash ball, un fusil à pompe.
Notre petit groupe s'enfonça dans l'obscurité. Les hypothèses fusèrent durant le trajet: des radiations d'une météorite, une attaque terroriste, etc. L'un des policiers suggéra les effets d'un IEM.
Un autre utilisa son briquet de temps en temps pour se repérer. La lune nous aidait grandement. Elle nous permis de nous diriger facilement.Tout autour de nous nous entendîmes des cris dans les immeubles. Des bougies commencèrent à éclairer certains appartements. La population se réveillait peu à peu et tous comprenaient que quelque chose d'anormal était arrivé. Il doit nous rester cinq cent mètres avant de voir le commissariat lança un des policiers de la BAC.
C'est alors que nous entendîmes des pas de course.
– Ils sont là, hurla quelqu'un dans le noir. Lâchez-les.
Un coup de feu partit nous dûmes tous nous mettre à couvert.
Puis la rue s'illumina sous l'éclatement de plusieurs cocktails molotof. Nous étions pris à parti par les amis de nos prisonniers. Un policier usa de son flash ball. La balle percuta un pare brise et se perdit dans la nuit. Leur riposte fut plus dur. Une rafale fut lâchée. Je me réfugiais à terre
derrière une voiture. Des débris de verre volèrent dans tous les sens. Fred usa de son HK. Le policier au fusil à pompe fit de même.
Fred s'écroula à coté de moi dans un râle. Jeannot gardait son chien à ses cotés.
On ne faisait pas les fiers face aux armes d'assaut adverse... encore une fois, le délinquant était mieux armé que le policier.
On ne pouvait ni avancer, ni reculer. Je m'attendais à la fin, mon pistolet à la main.
Ce fut l'arrivée providentielle d'un véhicule blindé de l'Armée de Terre qui changea la donne. Arrivant tous phares allumés et des hauts parleurs qui crachaient un rassemblement de la population, le VAB déboula d'une rue derrière les voyous. Le mitrailleur ouvrit le feu sans sommation.
Policiers, gendarmes et prisonniers restèrent à terre jusqu'à la fin des hostilités. Nous sortîmes dés que l'ordre fut donné par un des militaires. Sous les feux d'un projecteur, nous pûmes sortirent et nous identifier et constater aussi les dégâts.
Fred était mort, sa tête éclaté par une balle. Ludo et un policier de la BAC étaient absents. Un des prisonniers avaient des coupures dues aux éclats de verre.
– Montez dans les camions qui arrivent ! Évacuation immédiate de la ville. Nous ordonna un Capitaine qui sortit du véhicule blindé.
– Non, on va au commissariat. On a des mises en causes d'un Flag et nous devons prendre contact avec nos supérieurs.
– Comme vous voulez. L'hotel de police va de toute façon être évacué selon le plan.
Le Capitaine tapota un dossier du bout d'un de ses doigts tout en rentrant dans son blindé.
J'eus le temps de voir la couverture du dit dossier. Il était de couleur rouge avait deux inscriptions un grand « D » stylisé et un tampon « Secret Defense ».
« Le plan ? » quelque chose me chiffonnait sur tout cela mais quoi? Qu'est ce qui a bien pu ce passer. Je ne pus lui poser des questions supplémentaire. Les projecteurs du commissariat s'illuminèrent et éclairèrent les rues aux alentours. Des policiers équipés de gilet lourd de protection étaient montés sur le toit et surveillaient les environs.
Quelques instants après nous pénétrâmes dans l'hotel de Police. Des grilles anti-emeutes descendirent derrière nous. Tout cela avait été mis en place suite à la hausse grandissante de la délinquance. Les commissariats devenaient dans certaines villes de véritable bunker en apparence. Car comme pour tout, le gouvernement avait tenté de débloquer de l'argent pour la sécurité mais rien n'était arrivé comme il le
fallait. Les générateurs de secours fonctionnaient bien et fournissaient assez d'électricité pour
l'éclairage de service, les projecteurs de toit et les différentes radios de secours. Tout le reste avait semble t-il grillé.
J'appris par la suite qu'aucune communication n'avait pu être passée avec la Gendarmerie.
– Oh Bordel, hurlais-je. Planquez-vous.
Le véhicule fou fini sa course dans une Opel à quelques mètres de nous.
A la lumière de la lune, je vis Jeannot sortir rapidement en gueulant et ouvrir la porte arrière de son fourgon pour voir son chien. Son adjoint indemne sortait de l'autre coté.
C'était le blackout total tout autour de nous....
Nos lampes tactiques ne fonctionnaient pas et il n'y avait pas que cela. Les véhicules, les radios, les téléphones portables et même mon taser, il se passait quelques choses et je n'aimais pas cela.
On redressa les deux prisonniers que l'on avait sous la main. Le dernier qui se trouvait sur le toit de la camionnette avait profité de l'accident et de l'obscurité pour se carapater.
– Le commissariat est à deux pas d'ici. On va les amener là bas et on voit par la suite.
Nous récupérâmes nos sacs dans nos véhicules ainsi que l'armement de patrouille constituait de deux HK UMP. Les policiers avaient avec leur flash ball, un fusil à pompe.
Notre petit groupe s'enfonça dans l'obscurité. Les hypothèses fusèrent durant le trajet: des radiations d'une météorite, une attaque terroriste, etc. L'un des policiers suggéra les effets d'un IEM.
Un autre utilisa son briquet de temps en temps pour se repérer. La lune nous aidait grandement. Elle nous permis de nous diriger facilement.Tout autour de nous nous entendîmes des cris dans les immeubles. Des bougies commencèrent à éclairer certains appartements. La population se réveillait peu à peu et tous comprenaient que quelque chose d'anormal était arrivé. Il doit nous rester cinq cent mètres avant de voir le commissariat lança un des policiers de la BAC.
C'est alors que nous entendîmes des pas de course.
– Ils sont là, hurla quelqu'un dans le noir. Lâchez-les.
Un coup de feu partit nous dûmes tous nous mettre à couvert.
Puis la rue s'illumina sous l'éclatement de plusieurs cocktails molotof. Nous étions pris à parti par les amis de nos prisonniers. Un policier usa de son flash ball. La balle percuta un pare brise et se perdit dans la nuit. Leur riposte fut plus dur. Une rafale fut lâchée. Je me réfugiais à terre
derrière une voiture. Des débris de verre volèrent dans tous les sens. Fred usa de son HK. Le policier au fusil à pompe fit de même.
Fred s'écroula à coté de moi dans un râle. Jeannot gardait son chien à ses cotés.
On ne faisait pas les fiers face aux armes d'assaut adverse... encore une fois, le délinquant était mieux armé que le policier.
On ne pouvait ni avancer, ni reculer. Je m'attendais à la fin, mon pistolet à la main.
Ce fut l'arrivée providentielle d'un véhicule blindé de l'Armée de Terre qui changea la donne. Arrivant tous phares allumés et des hauts parleurs qui crachaient un rassemblement de la population, le VAB déboula d'une rue derrière les voyous. Le mitrailleur ouvrit le feu sans sommation.
Policiers, gendarmes et prisonniers restèrent à terre jusqu'à la fin des hostilités. Nous sortîmes dés que l'ordre fut donné par un des militaires. Sous les feux d'un projecteur, nous pûmes sortirent et nous identifier et constater aussi les dégâts.
Fred était mort, sa tête éclaté par une balle. Ludo et un policier de la BAC étaient absents. Un des prisonniers avaient des coupures dues aux éclats de verre.
– Montez dans les camions qui arrivent ! Évacuation immédiate de la ville. Nous ordonna un Capitaine qui sortit du véhicule blindé.
– Non, on va au commissariat. On a des mises en causes d'un Flag et nous devons prendre contact avec nos supérieurs.
– Comme vous voulez. L'hotel de police va de toute façon être évacué selon le plan.
Le Capitaine tapota un dossier du bout d'un de ses doigts tout en rentrant dans son blindé.
J'eus le temps de voir la couverture du dit dossier. Il était de couleur rouge avait deux inscriptions un grand « D » stylisé et un tampon « Secret Defense ».
« Le plan ? » quelque chose me chiffonnait sur tout cela mais quoi? Qu'est ce qui a bien pu ce passer. Je ne pus lui poser des questions supplémentaire. Les projecteurs du commissariat s'illuminèrent et éclairèrent les rues aux alentours. Des policiers équipés de gilet lourd de protection étaient montés sur le toit et surveillaient les environs.
Quelques instants après nous pénétrâmes dans l'hotel de Police. Des grilles anti-emeutes descendirent derrière nous. Tout cela avait été mis en place suite à la hausse grandissante de la délinquance. Les commissariats devenaient dans certaines villes de véritable bunker en apparence. Car comme pour tout, le gouvernement avait tenté de débloquer de l'argent pour la sécurité mais rien n'était arrivé comme il le
fallait. Les générateurs de secours fonctionnaient bien et fournissaient assez d'électricité pour
l'éclairage de service, les projecteurs de toit et les différentes radios de secours. Tout le reste avait semble t-il grillé.
J'appris par la suite qu'aucune communication n'avait pu être passée avec la Gendarmerie.
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