Ce Monde et l'autre.
Par : Darkonyds
Genre : Science-Fiction , Fantastique
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 3
Rencontre. Deuxième partie.
Publié le 26/01/13 à 00:29:01 par Darkonyds
Chapitre 2 : Rencontre. Deuxième parie.
Au fur et à mesure que je me rapprochais, le corps et le visage ce dessinai. J’aperçus tout d'abord les pieds, c'était des pieds de petites tailles qui se trouvaient dans des escarpins à la couleur argentée. Tout en remontant le regard je voyais ses jambes, fines mais incroyablement musclés pour une femme de cette âge et même pour n'importe qu'elle femme, mais ils restaient agréable à regarder.Elle portait une robe assez courte en un tissu léger mais qui semblai fort résistant. Le vêtement était quant à lui d'un jaune doré et pailleté, n'oublions pas la dentelle blanche au niveau du cou redescendant vers la poitrine laissant apparaître un léger décolleté cédant place à une peau d'un blanc insolite pour un teint, Et puis je vis son visage et compris qu'il s’agissait de la fille qui m'avais giflé. Le visage long et raffiné, un menton difficile à distinguer m'étant en avant ses lèvres délicates et affinés. Mon regard croisa alors à cet instant même le sien. Plongeant comme dans un océan dans ses yeux bleus verdâtre. Et comment ne pas voir ses oreilles ? Cela lui donnait un certain charme attractif. L'une d'elles étaient cachés par sa chevelure blonde telle une toison, on aurai dit du crin.
J'hésitais un court moment puis continua mon avancé vers l'immeuble, méditant aux possibles excuses qu'elle allait sans doute me faire.
Je m'arrêtais devant elle et la salua :
« -Euh … salut, ça va ? Dis-je avec un sourire perplexe.
-Bonjour … me répondit-elle poliment avec une faible voix.
-Que fais-tu là ? Tu habite ici ? Je ne le savais pas. Déclarais-je tentant de ne pas montrer mes doutes sur son attention.
-Je voulais te … te parler. Souffla-t-elle de ça maigre voix. A propos de toute à l'heure. Je regrette sincèrement. Je ne voulais pas mais le coup parti tout seul par réflexe.
Réflexe ? Avait-elle pour habitude de baffer les gens ?
-Commence donc par me donner ton nom, ce sera plus simple pour discuter. A moins que ne le désire pas bien entendu, je ne veux pas de forcer à me le dire.
-Je me nomme « Niniel ». Rougit-elle.
-J'accepte tes excuses ne tant souci pas de cela Niniel. Je ne vais pas en vouloir à une aussi jolie demoiselle.
-Ne dis plus ça ! Je ne me suis excusé uniquement pour le coup. A toi de me présenter tes excuses maintenant ! Haussa-t-elle le ton.
Je ne dis pas un mot pendant plusieurs secondes puis je l’interrogeais.
-M'excuser ? De quoi ? Je n’aie donc rien fait de mal si ?
-Tu es venue à mes cotés sans me l'avoir demandé ! Et tu désire être mon aide hein ? Mon guide ? Aucun de ma race n'a besoin de tout ceci. Nous sommes capables de nous débrouiller seuls, Vociféra-t-elle.
Interloqué, n'en croyant pas mes oreilles je failli m'énerver mais je ne savais pas si cela avait en rapport avec ses origines.
-Tu rigoles j’espère ? Il n'y a rien de plus courtois !
-Pas chez nous Tu ne sais rien de nos cultures ! Cesse de parler de ce que tu ne connais pas. Et …
Je la coupa en plein élan, et lui déclamais :
-Parle moi alors de lui, de sa culture et ses valeurs ! De ton peuple ! Et je ne pourrais plus t’offenser.
Le silence régna … .
Au fur et à mesure que je me rapprochais, le corps et le visage ce dessinai. J’aperçus tout d'abord les pieds, c'était des pieds de petites tailles qui se trouvaient dans des escarpins à la couleur argentée. Tout en remontant le regard je voyais ses jambes, fines mais incroyablement musclés pour une femme de cette âge et même pour n'importe qu'elle femme, mais ils restaient agréable à regarder.Elle portait une robe assez courte en un tissu léger mais qui semblai fort résistant. Le vêtement était quant à lui d'un jaune doré et pailleté, n'oublions pas la dentelle blanche au niveau du cou redescendant vers la poitrine laissant apparaître un léger décolleté cédant place à une peau d'un blanc insolite pour un teint, Et puis je vis son visage et compris qu'il s’agissait de la fille qui m'avais giflé. Le visage long et raffiné, un menton difficile à distinguer m'étant en avant ses lèvres délicates et affinés. Mon regard croisa alors à cet instant même le sien. Plongeant comme dans un océan dans ses yeux bleus verdâtre. Et comment ne pas voir ses oreilles ? Cela lui donnait un certain charme attractif. L'une d'elles étaient cachés par sa chevelure blonde telle une toison, on aurai dit du crin.
J'hésitais un court moment puis continua mon avancé vers l'immeuble, méditant aux possibles excuses qu'elle allait sans doute me faire.
Je m'arrêtais devant elle et la salua :
« -Euh … salut, ça va ? Dis-je avec un sourire perplexe.
-Bonjour … me répondit-elle poliment avec une faible voix.
-Que fais-tu là ? Tu habite ici ? Je ne le savais pas. Déclarais-je tentant de ne pas montrer mes doutes sur son attention.
-Je voulais te … te parler. Souffla-t-elle de ça maigre voix. A propos de toute à l'heure. Je regrette sincèrement. Je ne voulais pas mais le coup parti tout seul par réflexe.
Réflexe ? Avait-elle pour habitude de baffer les gens ?
-Commence donc par me donner ton nom, ce sera plus simple pour discuter. A moins que ne le désire pas bien entendu, je ne veux pas de forcer à me le dire.
-Je me nomme « Niniel ». Rougit-elle.
-J'accepte tes excuses ne tant souci pas de cela Niniel. Je ne vais pas en vouloir à une aussi jolie demoiselle.
-Ne dis plus ça ! Je ne me suis excusé uniquement pour le coup. A toi de me présenter tes excuses maintenant ! Haussa-t-elle le ton.
Je ne dis pas un mot pendant plusieurs secondes puis je l’interrogeais.
-M'excuser ? De quoi ? Je n’aie donc rien fait de mal si ?
-Tu es venue à mes cotés sans me l'avoir demandé ! Et tu désire être mon aide hein ? Mon guide ? Aucun de ma race n'a besoin de tout ceci. Nous sommes capables de nous débrouiller seuls, Vociféra-t-elle.
Interloqué, n'en croyant pas mes oreilles je failli m'énerver mais je ne savais pas si cela avait en rapport avec ses origines.
-Tu rigoles j’espère ? Il n'y a rien de plus courtois !
-Pas chez nous Tu ne sais rien de nos cultures ! Cesse de parler de ce que tu ne connais pas. Et …
Je la coupa en plein élan, et lui déclamais :
-Parle moi alors de lui, de sa culture et ses valeurs ! De ton peuple ! Et je ne pourrais plus t’offenser.
Le silence régna … .
Vous devez être connecté pour poster un commentaire