Ce Monde et l'autre.
Par : Darkonyds
Genre : Science-Fiction , Fantastique
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 2
Rencontre. Première partie.
Publié le 24/01/13 à 21:25:55 par Darkonyds
Chapitre 2 : Rencontre, Première Partie.
Nous entrâmes dans la salle de classe, l'ambiance était agitée, les élèves discutaient bruyamment tout en chahutant pendant que le professeur prenait sur lui. D'un mouvement ferme de la main, il fît un geste demandant le calme et le silence, l'assemblée ne ce fût attendre, tous le monde s'assirent. J’aperçus alors la demoiselle elfique à la très longue chevelure blonde assise devant dans la classe, seul. Ce blond était d'une rare intensité, j'étais comme envoûté par la couleur.
Instinctivement je me levais, pris mes affaires et m'assis à ses coté. Tous le monde restait bouche-bée et les yeux écarquillés, alors que le professeur me demandais qui m'avais donné l'autorisation de me déplacer. Je le regardais droit dans les yeux, tout en lui disant que je me portais volontaire pour servir de guide et d'aide à l'intégration au lycée de cette jeune femme. Il hocha la tête, fît demi-tour et marquait la date du jour au tableau. Ma camarade me dévisagea pendant de longues minutes, elle me fixait, ses yeux sortant presque de leurs orbites. Puis elle tourna sa table de façon à ce que je ne puisse la voir et lui parler. Étrangement le professeur ne fît aucune remarque. Elle semblait avoir peur mais tout en étant fasciné, surprise de mon acte doutais-je. La sonnerie retentai à nouveau nous changions de salle et reprîmes les cours comme lors de l'heure précédente. En regardant sur ma gauche je ne pouvais qu'apercevoir sa longue et soyeuse chevelure dorée.
Ce fût enfin la pause, à peine avait-il sonné qu'elle n'était déjà plus présente dans la salle... je me dépêchais alors de ranger mes affaires, je sortis de la salle regardant à gauche puis à droite et en scrutant attentivement l'horizon je la vis, tout au fond du couloir, elle marchait au milieu de la foule d'élève . Je courais pour la rattraper mais ma course fût difficile, devant slalomer entre tout ce monde. Avec mes efforts je réussi à arriver à son chevet. L'empoigna par la main et la retourna dans ma direction, face à moi. En une fraction de seconde, à une vitesse inimaginable elle me gifla sans que je ne sache pourquoi. Mais quelque chose me choquas dès que je vis son visage,elle avait les yeux rouges et des larmes coulaient le long de sa joue. Elle me hurla dessus une phrase dans un langage qui m'étais incompréhensible et elle partit en courant. Moi je restais sur place comme pétrifié, sous l'effet du choque, statique et songeant. Pourquoi ? Pourquoi m'avoir frappé ? Mais plus important... pourquoi pleurait-elle ? Avais-je fais quelque de déplacé ? De vexant ?
Je me ressassais cette mésaventure toute la journée sans trouver de possibles explications.
Arrivai la fin de journée et, depuis cette évènement marquant mon esprit je ne revis pas l'elfette.
J'étais sur le chemin du retour et arrivant devant chez moi, je vis quelqu'un. Une silhouette sombre caché par le mur de l'entrée, cette personne m'attendais, mais qui était-ce ?
Au fur et à mesure que je me rapprochais, le corps et la visage ce dessinai. J’aperçus tout d'abord les pieds, c'était des pieds de petites tailles qui se trouvai dans des escarpins à la couleur argentée. Tout en remontant le regard je voyais ses jambes, fines mais incroyablement musclés pour une femme de cette âge et même pour n'importe qu'elle femme, mais ils restaient agréable à regarder.Elle portait une robe assez courte en un tissu léger mais qui semblai fort résistant. Le vêtement était quant à lui d'un jaune doré et pailleté, n'oublions pas la dentelle blanche au niveau du cou redescendant vers la poitrine laissant apparaître un léger décolleté cédant place à une peau d'un blanc insolite pour un teint, Et puis je vis son visage et compris qu'il s’agissait de la fille qui m'avais giflé. Le visage long et raffiné, un menton difficile à distinguer m'étant en avant ses lèvres délicate et affiné. Mon regard croisa alors à cet instant même le sien. Plongeant comme dans un océan dans ses yeux bleu verdâtre. Et comment ne pas voir ses oreilles ? Cela lui donnait un certain charme attractif. L'une d'elles étaient cachés par sa chevelure blonde telle une toison, on aurai dit du crin.
J'hésitais un court moment puis continua mon avancé vers l'immeuble, méditant aux possibles excuses qu'elle allait sans doute me faire.
Je m'arrêtais devant elle et la salua :
« -Euh … salut, ça va ? Dis-je avec un sourire perplexe.
-Bonjour … me répondit-elle poliment avec une faible voix.
-Que fais-tu là ? Tu habite ici ? Je ne le savais pas. Déclarais-je tentant de ne pas montrer mes doutes sur son attention.
-Je voulais te … te parler. Souffla-t-elle de ça maigre voix. A propos de toute à l'heure. Je regrette sincèrement. Je ne voulais pas mais le coup parti tout seul par réflexe.
Réflexe ? Avait-elle pour habitude de baffer les gens ?
-Commence donc par me donner ton nom, ce sera plus simple pour discuter. A moins que ne le désire pas bien entendu, je ne veux pas de forcer à me le dire.
-Je me nomme « Niniel ». Rougit-elle.
-J'accepte tes excuses ne tant souci pas de cela. Je ne vais pas en vouloir à une aussi jolie demoiselle.
-Ne dis plus ça ! Je ne me suis excusé uniquement pour le coup. A toi de me présenter tes excuses maintenant ! Haussa-t-elle le ton.
Je ne dis pas un mot pendant plusieurs secondes puis je l’interrogeais.
-M'excuser ? De quoi ? Je n’aie donc rien fait de mal si ?
-Tu es venue à mes cotés sans me l'avoir demandé ! Et tu désire être mon aide hein ? Mon guide ? Aucun de ma race n'a besoin de tout ceci. Nous sommes capables de tout ceci, Vociféra-t-elle.
Interloqué, n'en croyant pas mes oreilles je failli m'énerver mais je ne n'avais pas si cela avait en rapport avec ses origines.
-Tu rigoles j’espère ? Il n'y a rien de plus courtois !
-Pas chez nous Tu ne sais rien de nos cultures ! Cesse de parler de ce que tu ne connais pas. Et …
Je la coupa en plein élan, et lui déclamais :
-Parle moi alors de lui, de sa culture et ses valeurs ! De ton peuple ! Et je ne pourrais plus t’offenser.
Le silence régna … .
Ce long et pénible silence me nouas l'estomac. Je cogitais espérant une bonne réaction de sa part.
« -Tu veux que je te raconte l'histoire de mon peuple ? »
Des larmes se mirent à monter dans ses yeux. L'émotion ? La tristesse ou la colère ? »
« - Vous êtes tous pareils les humains ! Vous désirez tout savoir mais en fin de compte vous vous en fichez ! Regarde ! Regarde votre planète ! Elle meure … . Viens donc une fois sur la mienne, elle périt, elle souffre. »
Je crois bien que je ne réalisais pas pas tout de suite ce qu'elle venait de dire. Sa planète ? Cela voulez donc dire que en effet ils ne viennent pas de ce monde. Ces êtres sont donc des étrangés sur cette terre ravagé et en désolation par l'Homme. Et que entendait-elle par « elle périt », « elle souffre » ont aurai dit que son monde était en vie, qu'elle ressentait ce que sa planète subissait. Mais que subissait sa planète ? Pourquoi quitter la leurs et venir chez nous ? Je me posais autant de question à présent que les questions existentielles auquel je n'arrive pas à trouver des réponses.
Je la regardais alors l'air incohérent.
« -Ta … ta planète ? Tu veux dire que ne viens pas d'ici et ton peuple non plus ?! Explique-moi ! » déclamais-je.
« -Tu es entrain de tout gâcher ! Pourquoi l'Homme veut-il toujours tout savoir de ce don ils doivent ignorer l’existence. ? Oui je ne viens pas de la Terre et nous ne venons pas de plein gré ! Mais je ne peux t'en dire d'avantage. Du moins pas ici. » me dit-elle.
« -Pas ici ? Mais où alors ? Je suis conscient que moi envie de savoir soit avide de cette connaissance mais vois-tu, depuis l'âge auquel j'ai découvert les livres parlant des Elfes j'ai toujours étais fasciné par eux. Ils sont parfait ! Plus grand, plus fort, plus rapide et aussi plus beau que l'Homme.
C'est vrai, nous ne sommes pas parfait mais ce sont avec des erreurs que l'on devient meilleur.
-Il y a des erreurs irréparable... . Me coupa-t-elle.
Soit, tu veux connaître l’histoire de mon peuple ? Le pourquoi du comment ? D'accord mais il y a des conditions.
-Des conditions ? Les quelles ? Demandais-je.
-Premièrement, tu ne me quitte pas une seul seconde.
Deuxièmement, tu ne parle uniquement si je te le demande.
Troisièmement, il va falloir changer de tenue.
Et quatrièmement, tu ne dis rien de que tu ma apprendre à quiconque.
-Euh … oké.
-Bien suit moi. »
Je la suivis donc, elle me mena dans un champ de blé au centre de là ou nous nous trouvons, un croc-circule gargantuesque, l'air était in-normalement pur et un calme de grand qualité régnai. Elle me demanda de m’asseoir et elle en fît de même , assis l'un en face de l'autre elle ferma les yeux et prit une grande inspiration, elle commença : … .
Nous entrâmes dans la salle de classe, l'ambiance était agitée, les élèves discutaient bruyamment tout en chahutant pendant que le professeur prenait sur lui. D'un mouvement ferme de la main, il fît un geste demandant le calme et le silence, l'assemblée ne ce fût attendre, tous le monde s'assirent. J’aperçus alors la demoiselle elfique à la très longue chevelure blonde assise devant dans la classe, seul. Ce blond était d'une rare intensité, j'étais comme envoûté par la couleur.
Instinctivement je me levais, pris mes affaires et m'assis à ses coté. Tous le monde restait bouche-bée et les yeux écarquillés, alors que le professeur me demandais qui m'avais donné l'autorisation de me déplacer. Je le regardais droit dans les yeux, tout en lui disant que je me portais volontaire pour servir de guide et d'aide à l'intégration au lycée de cette jeune femme. Il hocha la tête, fît demi-tour et marquait la date du jour au tableau. Ma camarade me dévisagea pendant de longues minutes, elle me fixait, ses yeux sortant presque de leurs orbites. Puis elle tourna sa table de façon à ce que je ne puisse la voir et lui parler. Étrangement le professeur ne fît aucune remarque. Elle semblait avoir peur mais tout en étant fasciné, surprise de mon acte doutais-je. La sonnerie retentai à nouveau nous changions de salle et reprîmes les cours comme lors de l'heure précédente. En regardant sur ma gauche je ne pouvais qu'apercevoir sa longue et soyeuse chevelure dorée.
Ce fût enfin la pause, à peine avait-il sonné qu'elle n'était déjà plus présente dans la salle... je me dépêchais alors de ranger mes affaires, je sortis de la salle regardant à gauche puis à droite et en scrutant attentivement l'horizon je la vis, tout au fond du couloir, elle marchait au milieu de la foule d'élève . Je courais pour la rattraper mais ma course fût difficile, devant slalomer entre tout ce monde. Avec mes efforts je réussi à arriver à son chevet. L'empoigna par la main et la retourna dans ma direction, face à moi. En une fraction de seconde, à une vitesse inimaginable elle me gifla sans que je ne sache pourquoi. Mais quelque chose me choquas dès que je vis son visage,elle avait les yeux rouges et des larmes coulaient le long de sa joue. Elle me hurla dessus une phrase dans un langage qui m'étais incompréhensible et elle partit en courant. Moi je restais sur place comme pétrifié, sous l'effet du choque, statique et songeant. Pourquoi ? Pourquoi m'avoir frappé ? Mais plus important... pourquoi pleurait-elle ? Avais-je fais quelque de déplacé ? De vexant ?
Je me ressassais cette mésaventure toute la journée sans trouver de possibles explications.
Arrivai la fin de journée et, depuis cette évènement marquant mon esprit je ne revis pas l'elfette.
J'étais sur le chemin du retour et arrivant devant chez moi, je vis quelqu'un. Une silhouette sombre caché par le mur de l'entrée, cette personne m'attendais, mais qui était-ce ?
Au fur et à mesure que je me rapprochais, le corps et la visage ce dessinai. J’aperçus tout d'abord les pieds, c'était des pieds de petites tailles qui se trouvai dans des escarpins à la couleur argentée. Tout en remontant le regard je voyais ses jambes, fines mais incroyablement musclés pour une femme de cette âge et même pour n'importe qu'elle femme, mais ils restaient agréable à regarder.Elle portait une robe assez courte en un tissu léger mais qui semblai fort résistant. Le vêtement était quant à lui d'un jaune doré et pailleté, n'oublions pas la dentelle blanche au niveau du cou redescendant vers la poitrine laissant apparaître un léger décolleté cédant place à une peau d'un blanc insolite pour un teint, Et puis je vis son visage et compris qu'il s’agissait de la fille qui m'avais giflé. Le visage long et raffiné, un menton difficile à distinguer m'étant en avant ses lèvres délicate et affiné. Mon regard croisa alors à cet instant même le sien. Plongeant comme dans un océan dans ses yeux bleu verdâtre. Et comment ne pas voir ses oreilles ? Cela lui donnait un certain charme attractif. L'une d'elles étaient cachés par sa chevelure blonde telle une toison, on aurai dit du crin.
J'hésitais un court moment puis continua mon avancé vers l'immeuble, méditant aux possibles excuses qu'elle allait sans doute me faire.
Je m'arrêtais devant elle et la salua :
« -Euh … salut, ça va ? Dis-je avec un sourire perplexe.
-Bonjour … me répondit-elle poliment avec une faible voix.
-Que fais-tu là ? Tu habite ici ? Je ne le savais pas. Déclarais-je tentant de ne pas montrer mes doutes sur son attention.
-Je voulais te … te parler. Souffla-t-elle de ça maigre voix. A propos de toute à l'heure. Je regrette sincèrement. Je ne voulais pas mais le coup parti tout seul par réflexe.
Réflexe ? Avait-elle pour habitude de baffer les gens ?
-Commence donc par me donner ton nom, ce sera plus simple pour discuter. A moins que ne le désire pas bien entendu, je ne veux pas de forcer à me le dire.
-Je me nomme « Niniel ». Rougit-elle.
-J'accepte tes excuses ne tant souci pas de cela. Je ne vais pas en vouloir à une aussi jolie demoiselle.
-Ne dis plus ça ! Je ne me suis excusé uniquement pour le coup. A toi de me présenter tes excuses maintenant ! Haussa-t-elle le ton.
Je ne dis pas un mot pendant plusieurs secondes puis je l’interrogeais.
-M'excuser ? De quoi ? Je n’aie donc rien fait de mal si ?
-Tu es venue à mes cotés sans me l'avoir demandé ! Et tu désire être mon aide hein ? Mon guide ? Aucun de ma race n'a besoin de tout ceci. Nous sommes capables de tout ceci, Vociféra-t-elle.
Interloqué, n'en croyant pas mes oreilles je failli m'énerver mais je ne n'avais pas si cela avait en rapport avec ses origines.
-Tu rigoles j’espère ? Il n'y a rien de plus courtois !
-Pas chez nous Tu ne sais rien de nos cultures ! Cesse de parler de ce que tu ne connais pas. Et …
Je la coupa en plein élan, et lui déclamais :
-Parle moi alors de lui, de sa culture et ses valeurs ! De ton peuple ! Et je ne pourrais plus t’offenser.
Le silence régna … .
Ce long et pénible silence me nouas l'estomac. Je cogitais espérant une bonne réaction de sa part.
« -Tu veux que je te raconte l'histoire de mon peuple ? »
Des larmes se mirent à monter dans ses yeux. L'émotion ? La tristesse ou la colère ? »
« - Vous êtes tous pareils les humains ! Vous désirez tout savoir mais en fin de compte vous vous en fichez ! Regarde ! Regarde votre planète ! Elle meure … . Viens donc une fois sur la mienne, elle périt, elle souffre. »
Je crois bien que je ne réalisais pas pas tout de suite ce qu'elle venait de dire. Sa planète ? Cela voulez donc dire que en effet ils ne viennent pas de ce monde. Ces êtres sont donc des étrangés sur cette terre ravagé et en désolation par l'Homme. Et que entendait-elle par « elle périt », « elle souffre » ont aurai dit que son monde était en vie, qu'elle ressentait ce que sa planète subissait. Mais que subissait sa planète ? Pourquoi quitter la leurs et venir chez nous ? Je me posais autant de question à présent que les questions existentielles auquel je n'arrive pas à trouver des réponses.
Je la regardais alors l'air incohérent.
« -Ta … ta planète ? Tu veux dire que ne viens pas d'ici et ton peuple non plus ?! Explique-moi ! » déclamais-je.
« -Tu es entrain de tout gâcher ! Pourquoi l'Homme veut-il toujours tout savoir de ce don ils doivent ignorer l’existence. ? Oui je ne viens pas de la Terre et nous ne venons pas de plein gré ! Mais je ne peux t'en dire d'avantage. Du moins pas ici. » me dit-elle.
« -Pas ici ? Mais où alors ? Je suis conscient que moi envie de savoir soit avide de cette connaissance mais vois-tu, depuis l'âge auquel j'ai découvert les livres parlant des Elfes j'ai toujours étais fasciné par eux. Ils sont parfait ! Plus grand, plus fort, plus rapide et aussi plus beau que l'Homme.
C'est vrai, nous ne sommes pas parfait mais ce sont avec des erreurs que l'on devient meilleur.
-Il y a des erreurs irréparable... . Me coupa-t-elle.
Soit, tu veux connaître l’histoire de mon peuple ? Le pourquoi du comment ? D'accord mais il y a des conditions.
-Des conditions ? Les quelles ? Demandais-je.
-Premièrement, tu ne me quitte pas une seul seconde.
Deuxièmement, tu ne parle uniquement si je te le demande.
Troisièmement, il va falloir changer de tenue.
Et quatrièmement, tu ne dis rien de que tu ma apprendre à quiconque.
-Euh … oké.
-Bien suit moi. »
Je la suivis donc, elle me mena dans un champ de blé au centre de là ou nous nous trouvons, un croc-circule gargantuesque, l'air était in-normalement pur et un calme de grand qualité régnai. Elle me demanda de m’asseoir et elle en fît de même , assis l'un en face de l'autre elle ferma les yeux et prit une grande inspiration, elle commença : … .
25/01/13 à 14:40:33
Chose bizarre, ce n'est rien qu'une Elfe, et pourtant ton personnage donne l'impression d'être un effrayant xenophile obsédé
Plus sérieusement, tu cherches à faire de belles phrases et je me rends bien compte que tu fais de gros efforts sur ton texte (ce qui est pas mal), mais les fautes gâchent un peu tout cela. J'ai également la grosse impression que tu emploies mal les temps, en plus de te tromper dans tes terminaisons.
Suite, en essayant d'améliorer le tout
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