Robert était dans une situation vraiment embarrassante.
D'une minute à l'autre les médecins pouvaient revenir, surement avec la police.
Il devait vite s'enfuir, il n'avait pas d'autres solutions.

Mais parallèlement, il devait s'occuper du cas de ses jeunes skatteur, sinon ça allait le hanter toute la journée, toute sa vie même.
Le dilemme était affreux mais la solution fut vite trouvé.

- Les enfants, vous voulez voir mon pénis ?

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Ma découverte de l'IRL - Episode 26

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- D'abord toute mes condoléances.
- Arf, ouais j'y pensais plus à ça.
- Désolé de te l'avoir rappelé.
- Pff, arrêtez je suis sur que c'est vous qui l'avez.
- .. que... quoi ?
- Mon ordinateur, c'est vous qui l'avez hein.
- Ton ordina .. que .. euh ... oui c'est nous qui l'avons.
- Vous allez me le rendre ?
- C'est une pièce à conviction pour l'enquête désolé.
Bon je sais que tu viens subir une grande perte.
- Ça c'est sur.
- Mais je dois te poser quelques questions.
Que sais-tu de Robert Cisleauk ?
- Euh ... je ne le connais pas.
- Ne mens pas, tu a était arrêté avec lui hier soir, c'est la dernière chose écrite sur les registres de la police.
Ce que je veux savoir c'est ce qui n'est pas écrit.
Et tu va me le dire , pour ton plus grand intérêt.
- Je .. euh ... je ne suis pas un pédophile monsieur.
- Je t'ai posé cette question ?
- Non mais euh ...
- QUE S'EST-IL PASSE APRÈS QUE TOI ET ROBERT AIT ÉTAIT ARRÊTÉ. ?!!
- Bon le troll, on va régler les choses. T'arrête tout de son ton Caps lock et tu me parle correctement. Sinon ça va pas le faire vieil homme m'voyez.
- Très bien. Parle où ton ordinateur passe au broyeur.
- je me suis évadé. Mais j'étais obligé.
- Comment t'es tu retrouvé avec Cisleauk si tu n'est pas son complice ?

Pour mon propre intérêt, il fallait mieux que je zappe toute la partie concernant le billet.
Je voulais pas être embarqué pour complicité.

- Je cherchais un hôtel pour la nuit, quand je vis ce camion. Il m'avait surpris car ce n'était pas un camion de police banal.
Je l'ai donc examiné de plus près quand cet homme est arrivé avec deux enfants.
je me suis caché sous le camion, les flics sont arrivées et je fus emmené en garde à vue avec lui.
- Je te crois, Marcel avait marqué ça sur le rapport.
Il est aussi mentionné d'un billet de 500€, nous l'avons même en pièce à conviction.
Quel est ce billet ?
- Ben c'est mon argent, j'étais partis acheter un jeux à Carrefour.
- Bien. donc tu a était entrainé malgré toi en garde à vue avec Robert Cisleauk et tu t'es évadé. Sache que je te crois, mais pas sur toute la ligne.
- Pourtant j'ai dis la vérité.
- Il y a des zones d'ombre que je voudrais éclaircir.

Et là je fus estomaqué.
Cette salope de Kikoo-th fit son entrée dans la pièce.

Elle avait un énorme pansement-plâtre sur laggle, c'était très drôle.
Son mascara dégoulinait, elle avait bien une tête de kikoo-th dépressive.
Je dut lutter intérieurement pour ne pas lancer un "Ah ok "

Elle s'assit à la table et me regarda longuement avec un regard pleins de méprit, mais bizarrement aussi, plein de compassions.

- Bonjour Stéphanie.
- bjr
- Stéphanie m'a tout expliqué ce qu'il s'était passé hier.
Elle dit que tu savais que Robert avait tué son frère, tu lui avait même dit.
Comment expliques-tu cela ? Comment le savais tu ?
- je euh ... il me la dit dans la cellule en garde à vue.
Écoutez je suis innocent, laissez moi partir sil vous plait.
- Très bien.
- Merci

Emilio savait très bien qu'il ne devait pas le laisser partir.
Son histoire tenait debout et il disait probablement la vérité.
Pourtant il devait purger une peine, ne serais-ce que pour coup et blessure sur la jeune Stéphanie ou pour s'être évadé de garde à vue.

Mais ce n'est pas de la prison qu'il devait faire, c'était beaucoup plus grave.

Il fallait l'interner, visiblement il souffrait d'un grave problème de cyberdépendance doublé d'un problème de perception entre la réalité et le virtuel.
S'il le laissait partir c'était pour mieux l'observer.
En effet, si ses doutes étaient fondés, il fallait l'interner d'urgence.


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Je sortis de ce centre de police abasourdit.
Encore cette kikoo-th, qu'elle chienne !
Je rentrai chez moi en vitesse, et me souvenus que j'avais laissé mon chien chez mon voisin.

Au moment de sonner à sa porte, je remarquai un détails qui fit exploser mon cœur dans ma poitrine.

Sur la boite au lettre de ce dernier, était marqué "Cisleauk Thomas" au feutre noir.

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To be continued...