Le manoir de Mister Jack.
Par : Leyoh
Genre : Horreur , Science-Fiction
Status : Terminée
Note :
Chapitre 8
Publié le 16/07/12 à 21:50:50 par Leyoh
19 Janvier 2019, 14h12. Nos amis se sont enfuit puis réfugiés dans un chambre, prit en chasse par une horde de mort-vivants affamés.
A peine entré dans la chambre, que déjà nous la bloquions. Nous étions tous terrorisés, qu'est-ce qu'on foutait là ? Ou plutôt, qu'est-ce que ça foutait là ? C'était totalement dénué de sens... Des zombies ? Pourquoi ? Toute ces questions qui se posaient dans ma tête me la faisais tourner. J'alluma la lumière, et constata que nous étions dans une chambre, avec seulement deux lit simple dedans. Je pris place sur l'un d'eux, et confia ma tête à mes mains, fermant les yeux. Je sentis Valentine passer une main dans mes cheveux, comme pour me rassurer. Je la repoussa, violemment. Je ne supporte pas qu'on me touche, du moins, dans ce genre de situations, bien qu'une telle absurdité, qu'une telle horreur ne me soit jamais arrivé auparavant.
"Je voulais seulement être gentille avec toi..." me dit elle. Je ne pu m'empêcher de lui répondre que c'était bien la première fois et que je n'avais que faire de ses petites attentions lorsque ma famille et une de mes connaissance venaient de se faire tuer. Elle ne dit rien, et partie en pleurant dans les bras de Mister Badass. Je n'avais que faire d'elle, de toutes manières.
La chambre était paisible, l'ambiance était apaisante, et on se sentaient étrangement bien à l'intérieur, malgré les faits. Personne ne parlait, mais, le silence ne régnait pas pour autant. Dans le couloir, on entendais les morts vivant hurler, sans grande raison apparente. Puis soudain, les claquements de la bête aux lames se firent de nouveau entendre. Les zombies hurlaient encore, mais de façon différente. On entendait de la chair humaine se faire arracher violemment, on jetait des trucs lourds sur les murs. Ce vacarme dura environ 5 minutes. Puis, plus rien. Personne à l'intérieur n'osait bouger ou faire quoique ce soit, nous étions terrorisés. C'est alors que les claquement reprirent de plus belle, pour s'approcher de la porte. George éteignit la lumière. La bête s'arrêta devant la porte. Une voix grave, métallique et vibrante résonna alors à travers la porte.
"Je sais... Que vous êtes là...
- Qui êtes vous !? Que nous voulez vous !? répliqua George, le plus courageux d'entre nous.
- Vous le saurez... Bien assez tôt... Méfiez vous... Des apparences..." Sur ces mots, les claquements reprirent, s'éloignant, cette fois. La bête pouvait donc parler ? Mais qu'était-ce enfin que cette chose là ? Personne ne savait, et, apparemment, personne ne voulait savoir. Mais, ce qui m'intriguait le plus, c'est ce qu'elle nous avait dit... "Méfiez vous des apparences". Qu'est-ce que cela avait avoir avec notre situation ? Un traitre parmi nous ? Ou peut-être nous prévenait-elle d'un danger à venir ? Ces questions finirent par me refaire tourner la tête, et je finis par m'allonger sur le lit. George vint alors me secouer.
"C'est pas le temps de dormir, faut qu'on se casse ! me hurla il.
- Tu plaisante ? lui répondis-je, Il faut qu'on retrouve les autres, et qu'on les sauve !
- Les autres ?
- Oui, les autres adultes invités !
- Écoute... commença Marwan, Vu comment on finit tes parents et ta soeur...
- Et Alexandra... l'interrompit George, les larmes aux yeux.
- On se doute bien que nos familles ne sont pas dans un meilleurs état...
- Marwan et George ont raison, dit Luc, il faut qu'on se casse d'ici !"
C'est à contre-cœur que j'accepta de partir, bien que j'avais un sentiment de haine, un désir de vengeance immense envers Mister Jack.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Hey ! Bon, déjà, avant de m'engueuler... Sachez que je ne vous ai pas oublié, j'ai juste pris une pause... Et que j'ai oublier de vous prévenir... Et qui a duré plus longtemps que prévu... Mais je m'y remet, ne vous en faites pas !
A peine entré dans la chambre, que déjà nous la bloquions. Nous étions tous terrorisés, qu'est-ce qu'on foutait là ? Ou plutôt, qu'est-ce que ça foutait là ? C'était totalement dénué de sens... Des zombies ? Pourquoi ? Toute ces questions qui se posaient dans ma tête me la faisais tourner. J'alluma la lumière, et constata que nous étions dans une chambre, avec seulement deux lit simple dedans. Je pris place sur l'un d'eux, et confia ma tête à mes mains, fermant les yeux. Je sentis Valentine passer une main dans mes cheveux, comme pour me rassurer. Je la repoussa, violemment. Je ne supporte pas qu'on me touche, du moins, dans ce genre de situations, bien qu'une telle absurdité, qu'une telle horreur ne me soit jamais arrivé auparavant.
"Je voulais seulement être gentille avec toi..." me dit elle. Je ne pu m'empêcher de lui répondre que c'était bien la première fois et que je n'avais que faire de ses petites attentions lorsque ma famille et une de mes connaissance venaient de se faire tuer. Elle ne dit rien, et partie en pleurant dans les bras de Mister Badass. Je n'avais que faire d'elle, de toutes manières.
La chambre était paisible, l'ambiance était apaisante, et on se sentaient étrangement bien à l'intérieur, malgré les faits. Personne ne parlait, mais, le silence ne régnait pas pour autant. Dans le couloir, on entendais les morts vivant hurler, sans grande raison apparente. Puis soudain, les claquements de la bête aux lames se firent de nouveau entendre. Les zombies hurlaient encore, mais de façon différente. On entendait de la chair humaine se faire arracher violemment, on jetait des trucs lourds sur les murs. Ce vacarme dura environ 5 minutes. Puis, plus rien. Personne à l'intérieur n'osait bouger ou faire quoique ce soit, nous étions terrorisés. C'est alors que les claquement reprirent de plus belle, pour s'approcher de la porte. George éteignit la lumière. La bête s'arrêta devant la porte. Une voix grave, métallique et vibrante résonna alors à travers la porte.
"Je sais... Que vous êtes là...
- Qui êtes vous !? Que nous voulez vous !? répliqua George, le plus courageux d'entre nous.
- Vous le saurez... Bien assez tôt... Méfiez vous... Des apparences..." Sur ces mots, les claquements reprirent, s'éloignant, cette fois. La bête pouvait donc parler ? Mais qu'était-ce enfin que cette chose là ? Personne ne savait, et, apparemment, personne ne voulait savoir. Mais, ce qui m'intriguait le plus, c'est ce qu'elle nous avait dit... "Méfiez vous des apparences". Qu'est-ce que cela avait avoir avec notre situation ? Un traitre parmi nous ? Ou peut-être nous prévenait-elle d'un danger à venir ? Ces questions finirent par me refaire tourner la tête, et je finis par m'allonger sur le lit. George vint alors me secouer.
"C'est pas le temps de dormir, faut qu'on se casse ! me hurla il.
- Tu plaisante ? lui répondis-je, Il faut qu'on retrouve les autres, et qu'on les sauve !
- Les autres ?
- Oui, les autres adultes invités !
- Écoute... commença Marwan, Vu comment on finit tes parents et ta soeur...
- Et Alexandra... l'interrompit George, les larmes aux yeux.
- On se doute bien que nos familles ne sont pas dans un meilleurs état...
- Marwan et George ont raison, dit Luc, il faut qu'on se casse d'ici !"
C'est à contre-cœur que j'accepta de partir, bien que j'avais un sentiment de haine, un désir de vengeance immense envers Mister Jack.
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Hey ! Bon, déjà, avant de m'engueuler... Sachez que je ne vous ai pas oublié, j'ai juste pris une pause... Et que j'ai oublier de vous prévenir... Et qui a duré plus longtemps que prévu... Mais je m'y remet, ne vous en faites pas !
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