Entre poussière et ruines
Par : Spyko
Genre : Action , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Publié le 25/08/12 à 18:50:26 par Spyko
Chapitre 3 :
Même si David n'avait vu l'affrontement entre le chauffeur et son passager que l'espace d'une seconde, cette image resta gravée dans sa mémoire, alors que le véhicule, lancé à beaucoup plus que les 50 kilomètres à l'heure réglementaires, traversait le quai en une masse grondante, arrachant une portion du auvent dans sa course.
Le bus eut un sursaut lorsque l'une de ses roues passa sur la surélévation qui entourait un arbre, et il se retrouva momentanément sur deux roues. Il demeura dans cette position jusqu'à ce que, moins de d'une seconde plus tard, il s'encastra dans le flanc du wagon d'où l'homme en costard s'était enfuit. Le choc qui suivit fut d'une violence que David n'aurait autrement vu que dans des films.
La paroi du train s'enfonça comme une vulgaire plaque de tôle, alors que l'avant du bus, lui, faisait l'accordéon en s'écrasant sur deux bons mètres. Des hurlements brefs s'échappèrent du transport lors du contact, et des morceaux de vitres éclatèrent, projetés en tout sens. A travers, le jeune homme pu sans peine voir deux corps voler sur toute la longueur du bus.
« Putain de..., commença t-il. »
Mais le choc ne fut que le premier acte de cette tragique scène. L'écrasement brutal du moteur produisit probablement une étincelle de trop. Les réservoirs, placés dans une coque sur le toit de ce modèle de bus, se retrouvèrent au-dessus de la zone de collision en raison du broyage de la cabine. Alors que le jeune homme pensait le drame terminé, les centaines de litres de carburant s'enflammèrent et explosèrent, projetant le toit de la carcasse dans les air et avalant tout le wagon dans une boule de feu.
La violence de la déflagration et la chaleur qui s'en dégagea firent reculer le jeune homme, qui se plaqua contre le mur frais de la gare. L'un des arbres, à proximité, finit par s'enflammer, se transformant en une gigantesque torche à côté du brasier.
Puis les flammes commencèrent à progresser le long du train.
Essayant de ne pas penser aux gens, fous ou non, piégés à l'intérieur, David longea le mur du bâtiment, jusqu'à rejoindre l'endroit où le véhicule avait enfoncé les barrières. Une épaisse fumée noire s'élevait en panaches difformes au-dessus de l'accident. Le jeune homme enjamba précautionneusement les grillages pour ne pas se prendre le pied dedans et se tordre la cheville, et rejoignit la bande d'herbe qui séparait le quai de la route.
A cette heure où les gens commençaient à partir au travail, la folie qui avait gagné la ville faisait de plus en plus de victimes. Deux voitures étaient encastrées dans des arbres, leurs propriétaires dissimulés derrière les airbag, mais très certainement morts. Quelques cadavres gisaient dans la rue, et de nombreuses personnes fuyaient les environs en courant. Certaines étaient poursuivies par des gens qui se déplaçaient de façon certes maladroite, mais tout de même rapide.
A l'angle du bâtiment de la gare, David s'arrêta, observant les environs pour s'assurer pouvoir partir sans risques. Aucun des fous ne semblait l'avoir remarqué.
Il fit quelques pas, avant qu'un raclement de gorge ne le fige sur place. A quelques mètres sur la droite, juste à côté de la porte d'entrée, un homme se tenait immobile, regardant fixement la route en face de lui. L'étudiant aurait en temps normal arrêté ses observations à l'âge de la personne, qui semblait avoir une bonne soixantaine d'année. Mais cette fois-ci, son regard n'accrocha que deux détails. Les mains couvertes de sang de l'homme, et le liquide qui dégoulinait toujours de sa bouche, rougissant sa barbe.
Il tenait un lambeaux de chair entre ses doigts. Et David avait l''horrible certitude qu'il aurait trouvé sa place dans la gorge d'Audrey.
Le jeune homme recula lentement, veillant à ne pas trébucher sur le grillage. Il n'avait plus qu'une envie ; retourner chez lui, rejoindre sa mère et son petit frère. Et ne pas penser à l'horrible éventualité qui tentait de s'imposer dans sa tête.
Après...
Après, on verra ce qu'on fait. Pour l'instant, j'en suis pas là, se dit-il, refusant de se laisser dériver. Il n'était pas taillé pour une situation de ce genre. Personne ne l'était. Le hasard avait décidé de qui deviendrait fou, et la chance de qui, parmi les gens sains, pourrait échapper à ses agresseurs.
Il n'y avait nul exploit dans cette situation, et David le savait.
Le vieil homme tourna lentement la tête vers lui, le sang continuant à goutter de son menton. Il laissa tomber le morceau de gorge, qui produisit un bruit spongieux en touchant le sol. L'étudiant déglutit, reculant de plusieurs pas pour tester la réaction du fou furieux. Celui-ci ne fit qu'un pas vacillant en avant, avant de s'appuyer contre le mur.
David ne chercha pas à attendre autre chose. Il fit demi-tour, et se mit à courir pour rejoindre le sentier de gravier entre les deux langues d'herbe. Un regard en arrière risquait de le faire trébucher ou d'augmenter son stress s'il venait à voir qu'il était poursuivit, mais il ne résista pas à la tentation. Au bout d'une vingtaine de mètres, il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule, avant de ralentir.
L'homme n'avait fait que quelques pas, avant de s'écrouler. Il gisait désormais inerte, à plat ventre.
Le jeune homme commença à marcher à une vitesse soutenue, son sac rebondissant légèrement sur son dos. La zone était de nouveau déserte. Il jeta un œil à sa montre. 7h20.
De l'autre côté de la rue, la majorité des boutiques étaient désertes. Leurs propriétaires habitaient généralement au-dessus, et plusieurs fenêtres étaient allumées. Mais les personnes qui se trouvaient dans ces appartements n'étaient peut-être plus en état de descendre travailler. La ville comptait plus de 14.000 habitants, dont une bonne moitié d'enfants en bas âge ou de vieillards. Ce qui devait laisser près de 7000 adultes ou adolescents. Et à cette heure, peu d'entre eux étaient dans les rues. La sortie de la ville, qui donnait accès à l'autoroute, de l'autre côté de la cité, devait être nettement moins accueillante que la gare.
David mit ses réflexions de côté le temps de traverser la route, afin de ne pas se faire aplatir par un cinglé qui aurait eu sa crise au volant. Deux routes plus loin, il pourrait tourner à l'angle, afin de rejoindre l'un des gymnases de la ville, ce qui lui permettrait d'atteindre sa maison, une vingtaine de mètres après. Et de là...
Un hurlement résonna, deux étages au-dessus de lui, le faisant sursauter. Je devrais pas rester dans le coin. Il commença donc à courir tranquillement, franchissant la première, puis la deuxième route. A la troisième, il tourna à l'angle.
Le jeune homme percuta de plein fouet un autre travailleur qui arrivait en sens inverse. David partit en crabe sur deux pas, avant de heurter le mur. L'une des lanières de son sac glissa de son épaule, et la seconde manqua de faire de même. Une main sur la surface poreuse, il referma l'autre sur le sac, avant de se retourner vers l'homme qu'il avait bousculé, qui était tombé à genoux.
« Désolé, vous allez bien ? S'inquiéta t-il. »
L'homme se releva en posant les mains au sol, avec difficulté. A demi-levé, il vomit un généreux jet de sang au sol. David, qui avait levé un bras dans le but de le poser sur l'épaule du malheureux qu'il venait de mettre à terre, se figea dans sa position. Il baissa lentement son avant-bras, gardant la main droite crispée sur la lanière du sac, qui traînait par terre.
Lorsque la tête de son interlocuteur pivota, il posa un regard infiniment malheureux sur l'étudiant. Le jeune homme resta fixé sur lui quelque secondes, le regardant droit dans les yeux. Autour de l'iris, il voyait les vaisseaux sanguins éclater uns par uns, faisant vite virer l’œil au rouge.
« Aidez-moi.... siffla le malheureux. S'il vous plaît... »
« Je... je ne peux.... je suis désolé... bégaya David en reculant, traînant le sac sur le sol. Je ne peux pas vous aider. »
« S'il vous plaît ! Gémit l'autre, s'accrochant aux bras de l'étudiant. Je vous en supplie ! »
Le jeune homme essaya de se dégager, sans parvenir à se soustraire à la poigne de l'homme. Il avait les yeux exorbités, devenant de plus en plus rouges, et des filets de sang coulaient sur son menton. Il ne tarderait pas à devenir fou comme les autres, c'était une certitude.
Et il va finir par en attirer d'autres, ajouta t-il mentalement à ces pensées. Il fallait prendre une décision plus radicale. Déglutissant lentement, il envoya un coup de tête à l'homme, avant de dégager son bras droit. Le nez du malheureux émit un craquement sonore, et il partit en arrière avec un beuglement de douleur. En fermant les yeux, David lui envoya son sac au visage, espérant pouvoir arracher son autre bras.
L'homme attrapa le projectile, et le lui arracha des mains avec un grognement qui n'avait plus rien d'humain.
Le jeune homme recula, profitant de l'écart que venait de faire le fou furieux, et se remit à courir.
Il était déjà sept heures et demi, et, à un kilomètre de là, les bus scolaires arrivaient au lycée proche, qui accueillait plus de 1500 élèves. Plusieurs d'entre eux avaient eu des accidents mortels sur le chemin, mais une grande partie était arrivé à destination, ou n'en étaient plus très loin.
Dans ces bus, de nombreux adolescents étaient atteints d'une toux virulente.
Plusieurs d'entre eux étaient totalement amorphes.
Même si David n'avait vu l'affrontement entre le chauffeur et son passager que l'espace d'une seconde, cette image resta gravée dans sa mémoire, alors que le véhicule, lancé à beaucoup plus que les 50 kilomètres à l'heure réglementaires, traversait le quai en une masse grondante, arrachant une portion du auvent dans sa course.
Le bus eut un sursaut lorsque l'une de ses roues passa sur la surélévation qui entourait un arbre, et il se retrouva momentanément sur deux roues. Il demeura dans cette position jusqu'à ce que, moins de d'une seconde plus tard, il s'encastra dans le flanc du wagon d'où l'homme en costard s'était enfuit. Le choc qui suivit fut d'une violence que David n'aurait autrement vu que dans des films.
La paroi du train s'enfonça comme une vulgaire plaque de tôle, alors que l'avant du bus, lui, faisait l'accordéon en s'écrasant sur deux bons mètres. Des hurlements brefs s'échappèrent du transport lors du contact, et des morceaux de vitres éclatèrent, projetés en tout sens. A travers, le jeune homme pu sans peine voir deux corps voler sur toute la longueur du bus.
« Putain de..., commença t-il. »
Mais le choc ne fut que le premier acte de cette tragique scène. L'écrasement brutal du moteur produisit probablement une étincelle de trop. Les réservoirs, placés dans une coque sur le toit de ce modèle de bus, se retrouvèrent au-dessus de la zone de collision en raison du broyage de la cabine. Alors que le jeune homme pensait le drame terminé, les centaines de litres de carburant s'enflammèrent et explosèrent, projetant le toit de la carcasse dans les air et avalant tout le wagon dans une boule de feu.
La violence de la déflagration et la chaleur qui s'en dégagea firent reculer le jeune homme, qui se plaqua contre le mur frais de la gare. L'un des arbres, à proximité, finit par s'enflammer, se transformant en une gigantesque torche à côté du brasier.
Puis les flammes commencèrent à progresser le long du train.
Essayant de ne pas penser aux gens, fous ou non, piégés à l'intérieur, David longea le mur du bâtiment, jusqu'à rejoindre l'endroit où le véhicule avait enfoncé les barrières. Une épaisse fumée noire s'élevait en panaches difformes au-dessus de l'accident. Le jeune homme enjamba précautionneusement les grillages pour ne pas se prendre le pied dedans et se tordre la cheville, et rejoignit la bande d'herbe qui séparait le quai de la route.
A cette heure où les gens commençaient à partir au travail, la folie qui avait gagné la ville faisait de plus en plus de victimes. Deux voitures étaient encastrées dans des arbres, leurs propriétaires dissimulés derrière les airbag, mais très certainement morts. Quelques cadavres gisaient dans la rue, et de nombreuses personnes fuyaient les environs en courant. Certaines étaient poursuivies par des gens qui se déplaçaient de façon certes maladroite, mais tout de même rapide.
A l'angle du bâtiment de la gare, David s'arrêta, observant les environs pour s'assurer pouvoir partir sans risques. Aucun des fous ne semblait l'avoir remarqué.
Il fit quelques pas, avant qu'un raclement de gorge ne le fige sur place. A quelques mètres sur la droite, juste à côté de la porte d'entrée, un homme se tenait immobile, regardant fixement la route en face de lui. L'étudiant aurait en temps normal arrêté ses observations à l'âge de la personne, qui semblait avoir une bonne soixantaine d'année. Mais cette fois-ci, son regard n'accrocha que deux détails. Les mains couvertes de sang de l'homme, et le liquide qui dégoulinait toujours de sa bouche, rougissant sa barbe.
Il tenait un lambeaux de chair entre ses doigts. Et David avait l''horrible certitude qu'il aurait trouvé sa place dans la gorge d'Audrey.
Le jeune homme recula lentement, veillant à ne pas trébucher sur le grillage. Il n'avait plus qu'une envie ; retourner chez lui, rejoindre sa mère et son petit frère. Et ne pas penser à l'horrible éventualité qui tentait de s'imposer dans sa tête.
Après...
Après, on verra ce qu'on fait. Pour l'instant, j'en suis pas là, se dit-il, refusant de se laisser dériver. Il n'était pas taillé pour une situation de ce genre. Personne ne l'était. Le hasard avait décidé de qui deviendrait fou, et la chance de qui, parmi les gens sains, pourrait échapper à ses agresseurs.
Il n'y avait nul exploit dans cette situation, et David le savait.
Le vieil homme tourna lentement la tête vers lui, le sang continuant à goutter de son menton. Il laissa tomber le morceau de gorge, qui produisit un bruit spongieux en touchant le sol. L'étudiant déglutit, reculant de plusieurs pas pour tester la réaction du fou furieux. Celui-ci ne fit qu'un pas vacillant en avant, avant de s'appuyer contre le mur.
David ne chercha pas à attendre autre chose. Il fit demi-tour, et se mit à courir pour rejoindre le sentier de gravier entre les deux langues d'herbe. Un regard en arrière risquait de le faire trébucher ou d'augmenter son stress s'il venait à voir qu'il était poursuivit, mais il ne résista pas à la tentation. Au bout d'une vingtaine de mètres, il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule, avant de ralentir.
L'homme n'avait fait que quelques pas, avant de s'écrouler. Il gisait désormais inerte, à plat ventre.
Le jeune homme commença à marcher à une vitesse soutenue, son sac rebondissant légèrement sur son dos. La zone était de nouveau déserte. Il jeta un œil à sa montre. 7h20.
De l'autre côté de la rue, la majorité des boutiques étaient désertes. Leurs propriétaires habitaient généralement au-dessus, et plusieurs fenêtres étaient allumées. Mais les personnes qui se trouvaient dans ces appartements n'étaient peut-être plus en état de descendre travailler. La ville comptait plus de 14.000 habitants, dont une bonne moitié d'enfants en bas âge ou de vieillards. Ce qui devait laisser près de 7000 adultes ou adolescents. Et à cette heure, peu d'entre eux étaient dans les rues. La sortie de la ville, qui donnait accès à l'autoroute, de l'autre côté de la cité, devait être nettement moins accueillante que la gare.
David mit ses réflexions de côté le temps de traverser la route, afin de ne pas se faire aplatir par un cinglé qui aurait eu sa crise au volant. Deux routes plus loin, il pourrait tourner à l'angle, afin de rejoindre l'un des gymnases de la ville, ce qui lui permettrait d'atteindre sa maison, une vingtaine de mètres après. Et de là...
Un hurlement résonna, deux étages au-dessus de lui, le faisant sursauter. Je devrais pas rester dans le coin. Il commença donc à courir tranquillement, franchissant la première, puis la deuxième route. A la troisième, il tourna à l'angle.
Le jeune homme percuta de plein fouet un autre travailleur qui arrivait en sens inverse. David partit en crabe sur deux pas, avant de heurter le mur. L'une des lanières de son sac glissa de son épaule, et la seconde manqua de faire de même. Une main sur la surface poreuse, il referma l'autre sur le sac, avant de se retourner vers l'homme qu'il avait bousculé, qui était tombé à genoux.
« Désolé, vous allez bien ? S'inquiéta t-il. »
L'homme se releva en posant les mains au sol, avec difficulté. A demi-levé, il vomit un généreux jet de sang au sol. David, qui avait levé un bras dans le but de le poser sur l'épaule du malheureux qu'il venait de mettre à terre, se figea dans sa position. Il baissa lentement son avant-bras, gardant la main droite crispée sur la lanière du sac, qui traînait par terre.
Lorsque la tête de son interlocuteur pivota, il posa un regard infiniment malheureux sur l'étudiant. Le jeune homme resta fixé sur lui quelque secondes, le regardant droit dans les yeux. Autour de l'iris, il voyait les vaisseaux sanguins éclater uns par uns, faisant vite virer l’œil au rouge.
« Aidez-moi.... siffla le malheureux. S'il vous plaît... »
« Je... je ne peux.... je suis désolé... bégaya David en reculant, traînant le sac sur le sol. Je ne peux pas vous aider. »
« S'il vous plaît ! Gémit l'autre, s'accrochant aux bras de l'étudiant. Je vous en supplie ! »
Le jeune homme essaya de se dégager, sans parvenir à se soustraire à la poigne de l'homme. Il avait les yeux exorbités, devenant de plus en plus rouges, et des filets de sang coulaient sur son menton. Il ne tarderait pas à devenir fou comme les autres, c'était une certitude.
Et il va finir par en attirer d'autres, ajouta t-il mentalement à ces pensées. Il fallait prendre une décision plus radicale. Déglutissant lentement, il envoya un coup de tête à l'homme, avant de dégager son bras droit. Le nez du malheureux émit un craquement sonore, et il partit en arrière avec un beuglement de douleur. En fermant les yeux, David lui envoya son sac au visage, espérant pouvoir arracher son autre bras.
L'homme attrapa le projectile, et le lui arracha des mains avec un grognement qui n'avait plus rien d'humain.
Le jeune homme recula, profitant de l'écart que venait de faire le fou furieux, et se remit à courir.
Il était déjà sept heures et demi, et, à un kilomètre de là, les bus scolaires arrivaient au lycée proche, qui accueillait plus de 1500 élèves. Plusieurs d'entre eux avaient eu des accidents mortels sur le chemin, mais une grande partie était arrivé à destination, ou n'en étaient plus très loin.
Dans ces bus, de nombreux adolescents étaient atteints d'une toux virulente.
Plusieurs d'entre eux étaient totalement amorphes.
30/08/12 à 16:23:50
Et ça fait toujours autant plaisir de voir ton commentaire
30/08/12 à 03:04:28
Toujours aussi bien écrit et aussi bon que les précédents chapitres :)
Continue comme ça !
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