Entre poussière et ruines
Par : Spyko
Genre : Action , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 16/08/12 à 23:18:20 par Spyko
Avant de vous laisser avec l'introduction sur cette même page, je tiens à glisser quelques mots.
Tout d'abord, il s'agit d'une fic de « survie ». Je ne penses pas pouvoir réellement parler de ''zombies'', mais le concept s'en rapprochera assez. Pardonnez donc le manque apparent d'originalité, je me suis surtout habitué à écrire des fan fictions avec un univers déjà prédéfini, et également à la 1ère personne.
Le passage à la véritable fiction, qui plus est à la 3ème personne, risque ainsi d'être assez rude, et j'espère donc qu'il n'y aura pas trop d'erreurs, de toute sortes. Auquel cas, je vous remercie si vous me les faites remarquer, afin que je ne les répète pas par la suite.
Ensuite, il s'agira d'une fic en deux parties. La première fera office de ''lancement'' et devrait par conséquent être assez courte, tandis que la seconde justifiera davantage le titre.
Et, enfin et surtout, je me base sur un lieu que je connais pour le début. Par conséquent, il est possible que certaines descriptions soient trop fournies, tandis que d'autres ne le seront pas assez, en fonction du fait que je connaisse ou non un endroit précis, et j'espère que vous me pardonnerez ce décalage. Quant à la seconde partie, elle se déroulera dans un endroit que je ne connais qu'à peine. Par conséquent, afin d'éviter un maximum les incohérences, je risque de fonctionner avec un logiciel style Google Map sous le nez, ce qui n'est pas des plus précis, et risque donc d'entraîner d'autres ''bugs'' au niveau spatial.
Il faut également que je précise que, bien que je connaisse les lieux, aucune des personnes rencontrée n'existe réellement. Mettons que le héros croise le chef de la police, le véritable chef de la police de cette ville n'y sera absolument pas conforme
Voila, j'espère que cette fiction plaira :)
Partie I : Épidémie.
Introduction :
L'événement qui prendrait en peu de temps le surnom banal d ''Épidémie'', donné par les rescapés, débuta dans la nuit du dimanche 13 au lundi 14 mai 2012, si bien que personne, qu'il s'agisse des contaminés ou des simples spectateurs, ne s'en rendit compte. Et lorsque la première crise frappa, il était déjà trop tard pour nombre d'entre eux pour réagir.
Si des scientifiques avaient survécu et étudié le début de cette infection, ils en seraient arrivés à la même conclusion, pourtant sans la moindre explication rationnelle. Un virus relâché dans l'air, qui s'attaquait aléatoirement à la population selon la présence ou l'absence de certains gènes, réduisant à néant les espoirs des survivants de comprendre qui pouvait être ou ne pas être contaminé.
Ce virus passa comme un nuage sur l'Europe durant cette nuit, et atteignit progressivement les autres parties du monde, qui, au moment où elles accueillaient ce terrible fléau dans leur frontières, dormaient elles aussi d'un sommeil paisible, alors que d'autres populations infectées se réveillaient.
Ces même scientifiques auraient sans doute pu calculer que près de 60% de la population mondiale avait été touchée, ce qui laissait un chiffre non négligeable de plus de quatre milliards de contaminés, dont une moitié ne survivrait pas aux premières semaines. De même que plus des trois quart des trois milliards restant.
Ils auraient relevé que ce nuage s'était dissipé en peu de temps, et auraient ainsi travaillé sur les modes de transmission de ce virus, afin d'avertir les populations survivantes que ce virus muterait rapidement et que, s'ils avaient été immunisés face au premier nuage, ils pourraient être infectés par l'un des autres contaminés par d'autres procédés.
Seulement, à l'heure où ces scientifiques auraient été en train d'étudier cette épidémie dans leur laboratoire confinés dans quelque lieu protégé par l'armée, ils étaient déjà morts, ou en fuite.
Le lendemain de ce fléau, alors que personne n'en ressentait encore les effets, un jeune homme d'une vingtaine d'année descendit les marches de la maison familiale, un sac sur l'épaule, avant de partir dans la fraîcheur matinale. Ce jeune homme s'appelait David Genêt, et il se dirigeait vers la gare de son village, où il prendrait la route de Lyon pour ses études. Vêtu d'un simple jean noir, de baskets et d'un t-shirt sur lequel il avait passé un blouson en cette matinée relativement fraîche, il mesurait près d'un mètre quatre vingt mais n'était en revanche pas très épais. Si quelques années d'escalade l'avaient suffisamment musclé pour qu'il ne soit pas une simple brindille qu'on pourrait penser prête à casser, il n'avait pas les bras ou le torse surdéveloppés.
Un coup de vent balaya la rue presque déserte et encore un peu sombre.
Il leva un bras pour couvrir ses yeux teintés d'une pointe de marron entouré d'une couronne verte, et ses cheveux d'un châtain court s'agitèrent légèrement. Il plissa légèrement les yeux, attendant que la rafale passe. Il avait un visage assez étroit et un nez court, surplombant une bouche mince.
Bientôt, la gare apparut à travers le brouillard qui rampait sur la route seulement traversée par quelques travailleurs matinaux. David regarda sa montre, qui indiquait 6h30. Le train passait à 7h, mais mieux valait avoir un peu d'avance, au cas où. Il regarda brièvement de chaque côté de la voie si une voiture arrivait, puis traversa, mettant le cap sur l'entrée du bâtiment, qui ressemblait à une grange remodelée pour lui donner un aspect plus esthétique, avec des murs de pierre.
Un homme d'une soixantaine d'année se tenait debout devant l'un des panneaux d'affichage.
Il eut une brutale quinte de toux, avant de cracher un jet de salive sanglante dans un mouchoir. L'expression étonnée de l'homme ne perturba pas David qui, faisant glisser son sac pour y attraper son porte-feuille, s'engouffra dans le bâtiment.
Tout d'abord, il s'agit d'une fic de « survie ». Je ne penses pas pouvoir réellement parler de ''zombies'', mais le concept s'en rapprochera assez. Pardonnez donc le manque apparent d'originalité, je me suis surtout habitué à écrire des fan fictions avec un univers déjà prédéfini, et également à la 1ère personne.
Le passage à la véritable fiction, qui plus est à la 3ème personne, risque ainsi d'être assez rude, et j'espère donc qu'il n'y aura pas trop d'erreurs, de toute sortes. Auquel cas, je vous remercie si vous me les faites remarquer, afin que je ne les répète pas par la suite.
Ensuite, il s'agira d'une fic en deux parties. La première fera office de ''lancement'' et devrait par conséquent être assez courte, tandis que la seconde justifiera davantage le titre.
Et, enfin et surtout, je me base sur un lieu que je connais pour le début. Par conséquent, il est possible que certaines descriptions soient trop fournies, tandis que d'autres ne le seront pas assez, en fonction du fait que je connaisse ou non un endroit précis, et j'espère que vous me pardonnerez ce décalage. Quant à la seconde partie, elle se déroulera dans un endroit que je ne connais qu'à peine. Par conséquent, afin d'éviter un maximum les incohérences, je risque de fonctionner avec un logiciel style Google Map sous le nez, ce qui n'est pas des plus précis, et risque donc d'entraîner d'autres ''bugs'' au niveau spatial.
Il faut également que je précise que, bien que je connaisse les lieux, aucune des personnes rencontrée n'existe réellement. Mettons que le héros croise le chef de la police, le véritable chef de la police de cette ville n'y sera absolument pas conforme
Voila, j'espère que cette fiction plaira :)
Partie I : Épidémie.
Introduction :
L'événement qui prendrait en peu de temps le surnom banal d ''Épidémie'', donné par les rescapés, débuta dans la nuit du dimanche 13 au lundi 14 mai 2012, si bien que personne, qu'il s'agisse des contaminés ou des simples spectateurs, ne s'en rendit compte. Et lorsque la première crise frappa, il était déjà trop tard pour nombre d'entre eux pour réagir.
Si des scientifiques avaient survécu et étudié le début de cette infection, ils en seraient arrivés à la même conclusion, pourtant sans la moindre explication rationnelle. Un virus relâché dans l'air, qui s'attaquait aléatoirement à la population selon la présence ou l'absence de certains gènes, réduisant à néant les espoirs des survivants de comprendre qui pouvait être ou ne pas être contaminé.
Ce virus passa comme un nuage sur l'Europe durant cette nuit, et atteignit progressivement les autres parties du monde, qui, au moment où elles accueillaient ce terrible fléau dans leur frontières, dormaient elles aussi d'un sommeil paisible, alors que d'autres populations infectées se réveillaient.
Ces même scientifiques auraient sans doute pu calculer que près de 60% de la population mondiale avait été touchée, ce qui laissait un chiffre non négligeable de plus de quatre milliards de contaminés, dont une moitié ne survivrait pas aux premières semaines. De même que plus des trois quart des trois milliards restant.
Ils auraient relevé que ce nuage s'était dissipé en peu de temps, et auraient ainsi travaillé sur les modes de transmission de ce virus, afin d'avertir les populations survivantes que ce virus muterait rapidement et que, s'ils avaient été immunisés face au premier nuage, ils pourraient être infectés par l'un des autres contaminés par d'autres procédés.
Seulement, à l'heure où ces scientifiques auraient été en train d'étudier cette épidémie dans leur laboratoire confinés dans quelque lieu protégé par l'armée, ils étaient déjà morts, ou en fuite.
Le lendemain de ce fléau, alors que personne n'en ressentait encore les effets, un jeune homme d'une vingtaine d'année descendit les marches de la maison familiale, un sac sur l'épaule, avant de partir dans la fraîcheur matinale. Ce jeune homme s'appelait David Genêt, et il se dirigeait vers la gare de son village, où il prendrait la route de Lyon pour ses études. Vêtu d'un simple jean noir, de baskets et d'un t-shirt sur lequel il avait passé un blouson en cette matinée relativement fraîche, il mesurait près d'un mètre quatre vingt mais n'était en revanche pas très épais. Si quelques années d'escalade l'avaient suffisamment musclé pour qu'il ne soit pas une simple brindille qu'on pourrait penser prête à casser, il n'avait pas les bras ou le torse surdéveloppés.
Un coup de vent balaya la rue presque déserte et encore un peu sombre.
Il leva un bras pour couvrir ses yeux teintés d'une pointe de marron entouré d'une couronne verte, et ses cheveux d'un châtain court s'agitèrent légèrement. Il plissa légèrement les yeux, attendant que la rafale passe. Il avait un visage assez étroit et un nez court, surplombant une bouche mince.
Bientôt, la gare apparut à travers le brouillard qui rampait sur la route seulement traversée par quelques travailleurs matinaux. David regarda sa montre, qui indiquait 6h30. Le train passait à 7h, mais mieux valait avoir un peu d'avance, au cas où. Il regarda brièvement de chaque côté de la voie si une voiture arrivait, puis traversa, mettant le cap sur l'entrée du bâtiment, qui ressemblait à une grange remodelée pour lui donner un aspect plus esthétique, avec des murs de pierre.
Un homme d'une soixantaine d'année se tenait debout devant l'un des panneaux d'affichage.
Il eut une brutale quinte de toux, avant de cracher un jet de salive sanglante dans un mouchoir. L'expression étonnée de l'homme ne perturba pas David qui, faisant glisser son sac pour y attraper son porte-feuille, s'engouffra dans le bâtiment.
22/08/12 à 21:49:05
Merci beaucoup, ça fait plaisir :)
22/08/12 à 04:38:57
Excellente fic, en plus j'adore les histoires de zombies (même si c'est pas spécialement le cas)
Vivement la suite :)
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