Timefact: Le secret des Temps
Par : Royce
Genre : Science-Fiction , Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 19
Publié le 18/01/13 à 15:49:15 par Royce
-« Tous va bien, vous pouvez descendre ! » Annonça Jonathan après quelques instants.
Maria regarda Lisa et Richard puis commença à descendre les escaliers, avec une petite appréhension à l'idée d'être plongée dans le noir complet mais parvint à surmonter sa crainte, s'attendant à retrouver Jonathan et Peter prêts à l'accueillir.
Lorsque la jeune femme mit pieds à terre, elle trouva Jonathan qui l'y attendait, affichant un grand sourire de satisfaction, les yeux pétillants d'excitation.
-« Vous n'allez pas être déçue ! » Lui dit-il.
Tous deux s'avancèrent dans un long couloir blanc qui s'allumait un peu plus au fur et à mesure qu'on le traversait.
Encore un pas et ils arrivèrent dans une vaste salle.
Celle-ci était éblouissante sous l'éclat des innombrables lumières qui la plongeait dans une atmosphère comme jamais ils n'en avaient connu.
De petites lumières blanches éclairaient les murs, appuyés par de puissants éclats jaunes dans chaque angle qui donnaient une impression de jour dans cet édifice souterrain.
Le sol était tapissé de rouge vif, comme du velours, également parsemé de piliers d'or qui soutenaient un plafond profond.
Celui ci était une coupole d'un bleu évoquant le rythme paisible et enivrant de l'eau, tel un royaume engloutit par l'Océan.
Maria contemplait la scène, émerveillée, ne sachant où regarder.
-« Et ce n'est pas tout ! » Annonça fièrement Peter en arrivant d'un autre couloir.
La salle principale se prolongeait par trois autres corridors.
-« Magnifique ! Merveilleux ! » S'exclama Richard qui venait d'arriver à la suite de Lisa.
Maria suivi Jonathan jusqu'à une seconde salle légèrement plus petite que la première. Les murs de celle-ci à l'exception d'un seule étaient en or.
Le dernier était un miroir. Le centre de la pièce était occupé par une sorte d'autel cubique couleur bronze segmenté par 5 pavés.
-« Qu'est ce que c'est que ca ? » Demanda Maria en s'approchant.
-« Vu d'ici on dirait une table de sacrifice. » Plaisanta Peter.
L'archéologue se pencha sur les pavés, essayant de lire l'une des inscriptions qui l'ornait.
Cependant Peter fut obligé de s'appuyer pour discerner les derniers caractères et enfonça le pavé le plus à gauche, tourné vers le mur miroir.
Un nouveau paysage apparu sur ce dernier, celui-ci était flou comme si l'on regardait à travers une vitre.
Ce paysage était apparemment une rue qu'arpentaient de nombreux passants.
Il était cependant impossible de les discerner clairement.
-« Mais qu'est ce que ca veut dire ? » Se demanda Lisa.
Tous s'étaient à présent retrouvés dans cette salle, contemplant le mur et son paysage qui s'animait avec frénésie. Tout cela leur semblait réel. Mais était-ce le cas ?
La jeune femme aux cheveux bruns, s'approcha du mur pour l'observait de plus près, apposant sa main contre la surface. Ce fut comme effleurer la surface d'une eau douce et fraiche, une sensation agréable et rassurante. Il y avait apparemment quelque chose de l'autre côté.
La beauté du moment fut troublée par un bruit pesant, provenant du plafond.
Le bruit se déplaçait, comme si quelqu'un marchait à la surface avec un grand fracas.
Le bruit de pas troubla le sentiment de bien être qui se dégageait de la pièce aux murs d'or.
-« Il y a quelqu'un au dessus ! » S'exclama Peter, relevant son fusil.
Tous ses compagnons retournèrent dans la pièce principale, guettant le couloir par lequel ils étaient arrivés.
Ils entendirent quelque chose descendre les marches, accompagné par u bruit de percussions.
-« Reculez-vous ! » Ordonna Peter en chuchotant, épaulant son arme.
On pouvait lire dans ses yeux une expression guerrière accompagnée d'inquiétude. Ce bruit de percussions ne lui était pas étranger. Il avait également précédé l'arrivée des « monstres » sur Terre, ceux qui se faisaient appeler « les Skarians ».
-« Venez ! » Dit Richard en faisant un effort pour garder son calme en entrainant Jonathan et Lisa vers la salle d'or.
Le bruit de pas s'était arrêté, mais les percussions retentissaient toujours.
Peter ne vit rien venir, un choc d'une grande violence le projeta à terre, l'obligeant à lâcher son arme.
C'est alors que la créature se découvrit, sans le camouflage de ses percussions :
Un être hideux, protégé d'une armure de métal froid, acérée de nombreuses pointes.
Sa visière rattachée à son casque aux cinq grandes griffes lui ôtait toute apparence humaine.
Une fois son adversaire désarmé, l'être les contempla comme pour s'assurer que personne d'autre ne pouvait le menacer.
L'archéologue rampa à quatre pattes pour rejoindre ses compagnons, encore étourdi par le coup de poing.
La créature s'approchait de lui, lentement, pensant sa proie prise au piège.
Comprenant les intentions de son agresseur, Peter se remit debout et couru aussi vite qu'il le pouvait vers la salle d'or où une autre surprise l'attendait.
Seul Jonathan était encore dans la pièce, il le regardait avec une expression de peur mêlée à l'excitation :
-« Suis-moi, vite ! » Lui dit-il en traversant le mur transparent.
Peter ne prit pas le temps de réfléchir et le suivi à l'instant précis où son ennemi ouvrait le feu...
Maria regarda Lisa et Richard puis commença à descendre les escaliers, avec une petite appréhension à l'idée d'être plongée dans le noir complet mais parvint à surmonter sa crainte, s'attendant à retrouver Jonathan et Peter prêts à l'accueillir.
Lorsque la jeune femme mit pieds à terre, elle trouva Jonathan qui l'y attendait, affichant un grand sourire de satisfaction, les yeux pétillants d'excitation.
-« Vous n'allez pas être déçue ! » Lui dit-il.
Tous deux s'avancèrent dans un long couloir blanc qui s'allumait un peu plus au fur et à mesure qu'on le traversait.
Encore un pas et ils arrivèrent dans une vaste salle.
Celle-ci était éblouissante sous l'éclat des innombrables lumières qui la plongeait dans une atmosphère comme jamais ils n'en avaient connu.
De petites lumières blanches éclairaient les murs, appuyés par de puissants éclats jaunes dans chaque angle qui donnaient une impression de jour dans cet édifice souterrain.
Le sol était tapissé de rouge vif, comme du velours, également parsemé de piliers d'or qui soutenaient un plafond profond.
Celui ci était une coupole d'un bleu évoquant le rythme paisible et enivrant de l'eau, tel un royaume engloutit par l'Océan.
Maria contemplait la scène, émerveillée, ne sachant où regarder.
-« Et ce n'est pas tout ! » Annonça fièrement Peter en arrivant d'un autre couloir.
La salle principale se prolongeait par trois autres corridors.
-« Magnifique ! Merveilleux ! » S'exclama Richard qui venait d'arriver à la suite de Lisa.
Maria suivi Jonathan jusqu'à une seconde salle légèrement plus petite que la première. Les murs de celle-ci à l'exception d'un seule étaient en or.
Le dernier était un miroir. Le centre de la pièce était occupé par une sorte d'autel cubique couleur bronze segmenté par 5 pavés.
-« Qu'est ce que c'est que ca ? » Demanda Maria en s'approchant.
-« Vu d'ici on dirait une table de sacrifice. » Plaisanta Peter.
L'archéologue se pencha sur les pavés, essayant de lire l'une des inscriptions qui l'ornait.
Cependant Peter fut obligé de s'appuyer pour discerner les derniers caractères et enfonça le pavé le plus à gauche, tourné vers le mur miroir.
Un nouveau paysage apparu sur ce dernier, celui-ci était flou comme si l'on regardait à travers une vitre.
Ce paysage était apparemment une rue qu'arpentaient de nombreux passants.
Il était cependant impossible de les discerner clairement.
-« Mais qu'est ce que ca veut dire ? » Se demanda Lisa.
Tous s'étaient à présent retrouvés dans cette salle, contemplant le mur et son paysage qui s'animait avec frénésie. Tout cela leur semblait réel. Mais était-ce le cas ?
La jeune femme aux cheveux bruns, s'approcha du mur pour l'observait de plus près, apposant sa main contre la surface. Ce fut comme effleurer la surface d'une eau douce et fraiche, une sensation agréable et rassurante. Il y avait apparemment quelque chose de l'autre côté.
La beauté du moment fut troublée par un bruit pesant, provenant du plafond.
Le bruit se déplaçait, comme si quelqu'un marchait à la surface avec un grand fracas.
Le bruit de pas troubla le sentiment de bien être qui se dégageait de la pièce aux murs d'or.
-« Il y a quelqu'un au dessus ! » S'exclama Peter, relevant son fusil.
Tous ses compagnons retournèrent dans la pièce principale, guettant le couloir par lequel ils étaient arrivés.
Ils entendirent quelque chose descendre les marches, accompagné par u bruit de percussions.
-« Reculez-vous ! » Ordonna Peter en chuchotant, épaulant son arme.
On pouvait lire dans ses yeux une expression guerrière accompagnée d'inquiétude. Ce bruit de percussions ne lui était pas étranger. Il avait également précédé l'arrivée des « monstres » sur Terre, ceux qui se faisaient appeler « les Skarians ».
-« Venez ! » Dit Richard en faisant un effort pour garder son calme en entrainant Jonathan et Lisa vers la salle d'or.
Le bruit de pas s'était arrêté, mais les percussions retentissaient toujours.
Peter ne vit rien venir, un choc d'une grande violence le projeta à terre, l'obligeant à lâcher son arme.
C'est alors que la créature se découvrit, sans le camouflage de ses percussions :
Un être hideux, protégé d'une armure de métal froid, acérée de nombreuses pointes.
Sa visière rattachée à son casque aux cinq grandes griffes lui ôtait toute apparence humaine.
Une fois son adversaire désarmé, l'être les contempla comme pour s'assurer que personne d'autre ne pouvait le menacer.
L'archéologue rampa à quatre pattes pour rejoindre ses compagnons, encore étourdi par le coup de poing.
La créature s'approchait de lui, lentement, pensant sa proie prise au piège.
Comprenant les intentions de son agresseur, Peter se remit debout et couru aussi vite qu'il le pouvait vers la salle d'or où une autre surprise l'attendait.
Seul Jonathan était encore dans la pièce, il le regardait avec une expression de peur mêlée à l'excitation :
-« Suis-moi, vite ! » Lui dit-il en traversant le mur transparent.
Peter ne prit pas le temps de réfléchir et le suivi à l'instant précis où son ennemi ouvrait le feu...
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