Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 34
Lunettes
Publié le 05/01/13 à 20:41:37 par lls
-Tu sais que j’aime pas quand tu regardes, me dit Cécilia, un petit sourire gêné aux lèvres.
-Mais tu es magnifique, pourtant.
Je détourne cependant les yeux, fixant le robinet auquel je m’appuie. Ma belle italienne remet Courage dans sa bouche, et je tremble de plaisir.
On est lundi, et un mec de ma promo organise une soirée chez lui, pour fêter nos post partiels. Comme Cécilia a réussi son devoir de maths, elle a voulu m’accompagner. Ana est restée à la maison pour réviser, vu qu’elle est encore en concours blanc. Quant à Yun, elle est un peu fatiguée en ce moment, et doit rendre un projet avant vendredi. Du coup, je me retrouve dans la salle de bains du gars, un peu ivre, avec une Cécilia également éméchée à genoux devant moi. Je défie son autorité et risque un autre coup d’œil vers elle.
Elle est trop jolie. Ses cheveux châtains sont bien lisses et tous ramenés d’un côté de son visage rosi par l’alcool, la chaleur, et le plaisir d’être seule avec moi pour un moment intime. Cécilia porte des lunettes avec de grosses montures noires depuis une ou deux semaines, et si je ne la connaissais pas, je crois que ça lui donnerait un air de vraie salope. Je pense que pas mal de mecs de sa classe doivent bien fantasmer sur elle. Les pauvres.
Elle sent mon regard sur elle, et lève les yeux par-dessus ses lunettes.
-Mmmh ? fait-elle, comme si elle m’intimait l’ordre de me détourner à nouveau.
Puis elle semble oublier sa gêne, et s’excite un peu. Elle lâche la main qui tenait Courage, et m’enlace tout en accélérant les mouvements avec sa bouche. Ses yeux bleus sont toujours dans les miens, et ses sourcils sont levés, mimant un parfait dédain. Okay, là elle a vraiment un air de salope.
Je ne peux pas résister, et prends son visage entre mes mains. Je caresse son menton, le tirant vers moi. Courage s’enfonce presque à moitié, et elle résiste, les yeux fermés à demi sous l’effort. Je raffermis ma prise et m’approche, rentrant entièrement dans sa bouche. Elle écarquille les yeux de surprise derrière ses lunettes, et tousse. Je la libère, et elle me jette un regard faussement vexé, avant de se lever. Elle tournoie sur elle-même comme pour poser, pour me faire admirer ses courbes. Je l’arrête pour qu’elle soit dos à moi, et elle se penche en avant, attrapant le lavabo devant elle. Dans le miroir, je la vois balancer ses cheveux en arrière d’un mouvement de la tête, avant de rajuster ses lunettes. Une étincelle lubrique brille déjà dans ses yeux, et lorsqu’elle croise mon regard dans la glace, elle commence à mordiller sa lèvre inférieure.
Je lève sa robe verte avec précaution pour ne pas la froisser et fais glisser un peu ses bas noirs, pour caresser la peau douce et chaude de ses cuisses. Puis je descends sa culotte, et je l’entends qui prend sa respiration. Cécilia adore se préparer à l’impact, pour le vivre pleinement.
Je saisis donc ses grosses fesses bien fermes, et m’invite en elle délicatement. Mes mains attrapent tantôt ses hanches, tantôt ses cuisses, alors que j’accélère. Il y a de la musique un peu partout dans la maison, mais Cécilia évite de faire du bruit. Dans le miroir, je vois ses yeux qui partent au ciel avant de se voiler, sans qu’elle puisse les contrôler. Malgré son soutien-gorge serré, ses seins imposants remuent délicieusement sous sa robe. Elle a mis un doigt dans sa bouche et le suçote pour s’empêcher de crier. Elle me regarde toujours dans la glace, et lèche ses lèvres. Mes mains quittent ses fesses et elle se redresse un peu, tendant ses bras derrière elle. Ses doigts se fixent entre les miens, et le rythme devient rapide. Elle est toujours penchée en avant, mais c’est moi qui la tiens. Elle ne me quitte pas des yeux, me regardant par-dessus ses lunettes, la bouche grande ouverte en un cri qu’elle veut muet.
Je ralentis finalement, et la libère. Elle reprend son souffle, et retombe à genoux pour finir Courage. Pleine de vigueur, elle ne lui laisse aucune chance. Elle n’est pas habituée comme Yun et Ana, qui savent physiquement quels endroits me font plus plaisir que d’autres. Cécilia est plus hésitante et maladroite, mais l’effet est le même pour moi. Je sais que cette fille magnifique qui était si timide au début veut à tout prix m’achever, à l’instant. Et ça suffit, et ça marche.
Elle sort Courage de sa bouche, et je m’approche de l’évier. Elle le garde dans sa main, et l’agite délicieusement. Je crois que je vais tomber dans les pommes.
On ressort discrètement de la salle de bains, son bras accroché au mien. Je crois que personne ne nous a remarqués. D’un autre côté, la soirée n’est pas très très sage non plus. Au rez-de-chaussée, j’ai vu un groupe de types fumer des pétards et une fois en haut, on a discrètement poussé la porte d’une chambre. On a vu une fille à quatre pattes sur un lit en train de sucer un mec, pendant qu’un autre la prenait par derrière. Un troisième type les filmait avec son portable, comme si de rien n’était. J’ai reconnu la nana, elle est en deuxième année, et fait n’importe quoi quand elle est bourrée. Je me souviens d’une vidéo d’elle complètement torchée lors de la soirée de bizutage des premières années. On y voyait un gars de deuxième qui tenait un tube de dentifrice comme si c’était sa beat, et qui le lui vidait dans la bouche. Elle avait avalé tout le contenu du tube en regardant la caméra d’un air provocateur. Une vraie tarée.
À côté d’eux, on est des bisounours, Cécilia et moi.
On redescend tranquillement, on danse un peu, on boit, et on se pose sur un canapé. Je remarque que beaucoup de mecs reluquent mon italienne, et faut dire qu’elle est vraiment bonne. Je la vois rarement habillée comme ça, elle qui préfère être discrète, jean/converses et blouson. Là elle arbore une belle robe verte ultra sexy, qui offre une vue plongeante sur un décolleté de ouf. Des bas noirs, et des chaussures à talons vertes assorties. Je caresse ses cuisses, et elle m’embrasse dans le cou, avant de me proposer de rentrer. C’est vrai qu’il onze heures passées, et on a juste un peu cours le lendemain. Et surtout, on va devoir réconforter les deux folles restées à la maison un peu à contrecœur. On est pas couchés, du coup.
On récupère nos manteaux, on remercie l’hôte, et on file. C’est pas très loin de chez moi, dix minutes à pieds. Cécilia est bien pompette, et je dois la soutenir pour qu’elle ne tombe pas. Elle parle vite sans articuler, et on est morts de rire. Elle s’arrête pour masser sa cheville, et je me dis qu’elle doit souffrir le martyr dans des talons aussi hauts. Alors je glisse une main sous ses genoux, la retiens par le dos, et elle lâche un cri de surprise quand je la fais décoller. Elle est toute légère dans mes bras, et me dévore des yeux alors que je fais mon prince charmant.
On arrive rapidement devant la maison, et elle me lance le défi de ne pas la lâcher pour ouvrir la porte. Je lui demande d’atteindre les clés dans ma poche, et elle fait semblant de se tromper pour caresser Courage en me lançant un regard de braise derrière ses lunettes. Elle est vraiment bourrée.
Finalement, on entre en riant, et je vais la déposer sur le canapé, où nous attendent Ana et Yun. Elles sont nues l’une dans les bras de l’autre, et semblent particulièrement heureuses de nous voir enfin.
Je me redresse, mais mon italienne me retiens par les mains, et m’attire contre elle, avant de m’emprisonner avec ses jambes. Ana se penche pour l’embrasser, et Yun fait le tour pour monter à côté d’elle. Je sens les doigts de Cécilia sur ma braguette, et je l’aide à libérer le monstre.
J’attrape sa culotte et la fais glisser le long de ses belles jambes, et elle se débarrasse de ses chaussures pour que je retire ses bas. Je veux sentir sa peau douce contre moi. Pendant ce temps, Yun a fait descendre les bretelles vertes de sa robe, et Cécilia se redresse pour dégrafer son soutien-gorge, libérant sa poitrine chaude et généreuse. Elle ne lâche pas la bouche d’Ana, et invite ma coréenne sur sa poitrine. Soit elle n’a jamais été aussi bourrée, soit c’est LE changement de Cécilia. Yun ne se fait pas prier, et agite sa petite langue rose sur les tétons de ma belle à lunettes. Elle est trempée, et Courage glisse directement en elle, la faisant soupirer bruyamment. Ana écrase ses seins sur elle et dévore son cou, et ma petite brune masse sa poitrine et remonte un peu la robe de l’italienne pour caresser son intimité alors même que je la prends. Elle n’a aucune chance d’échapper à un tel plaisir, et laisse exprimer ses cordes vocales, toute tremblante. Elle jouit au moins deux fois, et je sens ses contractions autour de Courage de plus en plus fortes, irrégulières, alors qu’elle griffe mes épaules. Elle est brûlante maintenant, ses joues sont cramoisies, et de délicieuses mèches de ses cheveux sont collées sur son front en sueur. Sa tête est agitée de soubresauts sous mes mouvements, ses lunettes glissent sur son nez, et elle me regarde par-dessus, un grand sourire aux lèvres.
Je vais craquer, et mes amantes se mettent à genoux, rapprochant leurs visages de déesses. J’ai trois paires d’yeux magnifiques qui me dévorent, trois paires de seins gonflés qui me frôlent, trois langues humides qui s’agitent près d’un Courage au bord de la mort. C’est la première fois que Cécilia offre sa tête, d’autant plus avec la bouche grande ouverte, et un air de gourmandise dans ses yeux bleus. Je sais pas ce qu’elle a bu, mais faudra que j’en achète.
Ana s’approche pour englober Courage avec ses lèvres, comme à son habitude. L’égoïste, quoi.
Je caresse ses cheveux et elle reçoit le premier spasme de Courage, un jet qui atterrit dans sa bouche et sur son menton. Les trois filles poussent des « Mmh ! » plus puissants, comme si elles voulaient toutes leur part. C’est au tour de Yun, et je pose Courage sur sa joue, comme elle l’aime. Je l’agite un peu, et une petite flaque dégouline sur son visage d’ange. Puis rapidement, je le dirige vers Cécilia, qui se mordille la lèvre. Les trois jets sont puissants, touchent ses lunettes et son nez, et coulent sur le verre. C’est sa première fois, et elle sursaute, avant d’éclater de rire.
-Oh ! lance-t-elle, en caressant sa joue trempée.
Ana récupère Courage entre ses lèvres, et aspire comme une dingue, frottant son piercing contre ma peau. Puis comme d’habitude, elle avale tout, en souriant.
-Mais tu es magnifique, pourtant.
Je détourne cependant les yeux, fixant le robinet auquel je m’appuie. Ma belle italienne remet Courage dans sa bouche, et je tremble de plaisir.
On est lundi, et un mec de ma promo organise une soirée chez lui, pour fêter nos post partiels. Comme Cécilia a réussi son devoir de maths, elle a voulu m’accompagner. Ana est restée à la maison pour réviser, vu qu’elle est encore en concours blanc. Quant à Yun, elle est un peu fatiguée en ce moment, et doit rendre un projet avant vendredi. Du coup, je me retrouve dans la salle de bains du gars, un peu ivre, avec une Cécilia également éméchée à genoux devant moi. Je défie son autorité et risque un autre coup d’œil vers elle.
Elle est trop jolie. Ses cheveux châtains sont bien lisses et tous ramenés d’un côté de son visage rosi par l’alcool, la chaleur, et le plaisir d’être seule avec moi pour un moment intime. Cécilia porte des lunettes avec de grosses montures noires depuis une ou deux semaines, et si je ne la connaissais pas, je crois que ça lui donnerait un air de vraie salope. Je pense que pas mal de mecs de sa classe doivent bien fantasmer sur elle. Les pauvres.
Elle sent mon regard sur elle, et lève les yeux par-dessus ses lunettes.
-Mmmh ? fait-elle, comme si elle m’intimait l’ordre de me détourner à nouveau.
Puis elle semble oublier sa gêne, et s’excite un peu. Elle lâche la main qui tenait Courage, et m’enlace tout en accélérant les mouvements avec sa bouche. Ses yeux bleus sont toujours dans les miens, et ses sourcils sont levés, mimant un parfait dédain. Okay, là elle a vraiment un air de salope.
Je ne peux pas résister, et prends son visage entre mes mains. Je caresse son menton, le tirant vers moi. Courage s’enfonce presque à moitié, et elle résiste, les yeux fermés à demi sous l’effort. Je raffermis ma prise et m’approche, rentrant entièrement dans sa bouche. Elle écarquille les yeux de surprise derrière ses lunettes, et tousse. Je la libère, et elle me jette un regard faussement vexé, avant de se lever. Elle tournoie sur elle-même comme pour poser, pour me faire admirer ses courbes. Je l’arrête pour qu’elle soit dos à moi, et elle se penche en avant, attrapant le lavabo devant elle. Dans le miroir, je la vois balancer ses cheveux en arrière d’un mouvement de la tête, avant de rajuster ses lunettes. Une étincelle lubrique brille déjà dans ses yeux, et lorsqu’elle croise mon regard dans la glace, elle commence à mordiller sa lèvre inférieure.
Je lève sa robe verte avec précaution pour ne pas la froisser et fais glisser un peu ses bas noirs, pour caresser la peau douce et chaude de ses cuisses. Puis je descends sa culotte, et je l’entends qui prend sa respiration. Cécilia adore se préparer à l’impact, pour le vivre pleinement.
Je saisis donc ses grosses fesses bien fermes, et m’invite en elle délicatement. Mes mains attrapent tantôt ses hanches, tantôt ses cuisses, alors que j’accélère. Il y a de la musique un peu partout dans la maison, mais Cécilia évite de faire du bruit. Dans le miroir, je vois ses yeux qui partent au ciel avant de se voiler, sans qu’elle puisse les contrôler. Malgré son soutien-gorge serré, ses seins imposants remuent délicieusement sous sa robe. Elle a mis un doigt dans sa bouche et le suçote pour s’empêcher de crier. Elle me regarde toujours dans la glace, et lèche ses lèvres. Mes mains quittent ses fesses et elle se redresse un peu, tendant ses bras derrière elle. Ses doigts se fixent entre les miens, et le rythme devient rapide. Elle est toujours penchée en avant, mais c’est moi qui la tiens. Elle ne me quitte pas des yeux, me regardant par-dessus ses lunettes, la bouche grande ouverte en un cri qu’elle veut muet.
Je ralentis finalement, et la libère. Elle reprend son souffle, et retombe à genoux pour finir Courage. Pleine de vigueur, elle ne lui laisse aucune chance. Elle n’est pas habituée comme Yun et Ana, qui savent physiquement quels endroits me font plus plaisir que d’autres. Cécilia est plus hésitante et maladroite, mais l’effet est le même pour moi. Je sais que cette fille magnifique qui était si timide au début veut à tout prix m’achever, à l’instant. Et ça suffit, et ça marche.
Elle sort Courage de sa bouche, et je m’approche de l’évier. Elle le garde dans sa main, et l’agite délicieusement. Je crois que je vais tomber dans les pommes.
On ressort discrètement de la salle de bains, son bras accroché au mien. Je crois que personne ne nous a remarqués. D’un autre côté, la soirée n’est pas très très sage non plus. Au rez-de-chaussée, j’ai vu un groupe de types fumer des pétards et une fois en haut, on a discrètement poussé la porte d’une chambre. On a vu une fille à quatre pattes sur un lit en train de sucer un mec, pendant qu’un autre la prenait par derrière. Un troisième type les filmait avec son portable, comme si de rien n’était. J’ai reconnu la nana, elle est en deuxième année, et fait n’importe quoi quand elle est bourrée. Je me souviens d’une vidéo d’elle complètement torchée lors de la soirée de bizutage des premières années. On y voyait un gars de deuxième qui tenait un tube de dentifrice comme si c’était sa beat, et qui le lui vidait dans la bouche. Elle avait avalé tout le contenu du tube en regardant la caméra d’un air provocateur. Une vraie tarée.
À côté d’eux, on est des bisounours, Cécilia et moi.
On redescend tranquillement, on danse un peu, on boit, et on se pose sur un canapé. Je remarque que beaucoup de mecs reluquent mon italienne, et faut dire qu’elle est vraiment bonne. Je la vois rarement habillée comme ça, elle qui préfère être discrète, jean/converses et blouson. Là elle arbore une belle robe verte ultra sexy, qui offre une vue plongeante sur un décolleté de ouf. Des bas noirs, et des chaussures à talons vertes assorties. Je caresse ses cuisses, et elle m’embrasse dans le cou, avant de me proposer de rentrer. C’est vrai qu’il onze heures passées, et on a juste un peu cours le lendemain. Et surtout, on va devoir réconforter les deux folles restées à la maison un peu à contrecœur. On est pas couchés, du coup.
On récupère nos manteaux, on remercie l’hôte, et on file. C’est pas très loin de chez moi, dix minutes à pieds. Cécilia est bien pompette, et je dois la soutenir pour qu’elle ne tombe pas. Elle parle vite sans articuler, et on est morts de rire. Elle s’arrête pour masser sa cheville, et je me dis qu’elle doit souffrir le martyr dans des talons aussi hauts. Alors je glisse une main sous ses genoux, la retiens par le dos, et elle lâche un cri de surprise quand je la fais décoller. Elle est toute légère dans mes bras, et me dévore des yeux alors que je fais mon prince charmant.
On arrive rapidement devant la maison, et elle me lance le défi de ne pas la lâcher pour ouvrir la porte. Je lui demande d’atteindre les clés dans ma poche, et elle fait semblant de se tromper pour caresser Courage en me lançant un regard de braise derrière ses lunettes. Elle est vraiment bourrée.
Finalement, on entre en riant, et je vais la déposer sur le canapé, où nous attendent Ana et Yun. Elles sont nues l’une dans les bras de l’autre, et semblent particulièrement heureuses de nous voir enfin.
Je me redresse, mais mon italienne me retiens par les mains, et m’attire contre elle, avant de m’emprisonner avec ses jambes. Ana se penche pour l’embrasser, et Yun fait le tour pour monter à côté d’elle. Je sens les doigts de Cécilia sur ma braguette, et je l’aide à libérer le monstre.
J’attrape sa culotte et la fais glisser le long de ses belles jambes, et elle se débarrasse de ses chaussures pour que je retire ses bas. Je veux sentir sa peau douce contre moi. Pendant ce temps, Yun a fait descendre les bretelles vertes de sa robe, et Cécilia se redresse pour dégrafer son soutien-gorge, libérant sa poitrine chaude et généreuse. Elle ne lâche pas la bouche d’Ana, et invite ma coréenne sur sa poitrine. Soit elle n’a jamais été aussi bourrée, soit c’est LE changement de Cécilia. Yun ne se fait pas prier, et agite sa petite langue rose sur les tétons de ma belle à lunettes. Elle est trempée, et Courage glisse directement en elle, la faisant soupirer bruyamment. Ana écrase ses seins sur elle et dévore son cou, et ma petite brune masse sa poitrine et remonte un peu la robe de l’italienne pour caresser son intimité alors même que je la prends. Elle n’a aucune chance d’échapper à un tel plaisir, et laisse exprimer ses cordes vocales, toute tremblante. Elle jouit au moins deux fois, et je sens ses contractions autour de Courage de plus en plus fortes, irrégulières, alors qu’elle griffe mes épaules. Elle est brûlante maintenant, ses joues sont cramoisies, et de délicieuses mèches de ses cheveux sont collées sur son front en sueur. Sa tête est agitée de soubresauts sous mes mouvements, ses lunettes glissent sur son nez, et elle me regarde par-dessus, un grand sourire aux lèvres.
Je vais craquer, et mes amantes se mettent à genoux, rapprochant leurs visages de déesses. J’ai trois paires d’yeux magnifiques qui me dévorent, trois paires de seins gonflés qui me frôlent, trois langues humides qui s’agitent près d’un Courage au bord de la mort. C’est la première fois que Cécilia offre sa tête, d’autant plus avec la bouche grande ouverte, et un air de gourmandise dans ses yeux bleus. Je sais pas ce qu’elle a bu, mais faudra que j’en achète.
Ana s’approche pour englober Courage avec ses lèvres, comme à son habitude. L’égoïste, quoi.
Je caresse ses cheveux et elle reçoit le premier spasme de Courage, un jet qui atterrit dans sa bouche et sur son menton. Les trois filles poussent des « Mmh ! » plus puissants, comme si elles voulaient toutes leur part. C’est au tour de Yun, et je pose Courage sur sa joue, comme elle l’aime. Je l’agite un peu, et une petite flaque dégouline sur son visage d’ange. Puis rapidement, je le dirige vers Cécilia, qui se mordille la lèvre. Les trois jets sont puissants, touchent ses lunettes et son nez, et coulent sur le verre. C’est sa première fois, et elle sursaute, avant d’éclater de rire.
-Oh ! lance-t-elle, en caressant sa joue trempée.
Ana récupère Courage entre ses lèvres, et aspire comme une dingue, frottant son piercing contre ma peau. Puis comme d’habitude, elle avale tout, en souriant.
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