Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 20
Folie
Publié le 05/01/13 à 15:28:17 par lls
[Tout s’est vraiment bien passé cette semaine, jusqu’à vendredi…] (Bien que je l’ai écrit trois fois ? )
Car vendredi soir, j’ai un séminaire de Kung Fu qui dure jusqu’à 22 h. Ce n’est pas un entraînement, en gros on s’extasie devant des grands noms du Kung Fu qui viennent s’affronter pour nous. Je m’amuse bien, et réalise que j’ai encore pas mal de progrès à faire pour leur arriver à la cheville.
Puis je rentre, impatient d’être avec ma Yun. Cécilia nous a prévenus qu’elle a un repas de classe ce soir, et qu’elle rentrera sûrement après minuit. Je lui ai dit de ne pas hésiter à m’appeler si elle a peur de rentrer seule, je peux aller la chercher en voiture. (Bien le héros ? )
C’est donc tout tranquille et profitant déjà d’un bon week end de repos que je pousse la porte d’entrée, vers 22h30.
C’est la java chez moi.
La musique du salon parvient immédiatement à mes oreilles. Il fait assez chaud, et la maison sent bon les filles.
J’entre, et marque un temps de surprise. J’ai du mal à croire ce que je vois.
Yun et Ana sont assises sur le tapis et jouent aux cartes. Jusque-là, okay. Yun porte un débardeur noir et court et une culotte noire. Bon, ça va. Ana est vêtue d’un string bleu et d’un haut blanc très léger. Je suis pas encore vraiment habitué mais pourquoi pas. Après tout, il fait bien chaud dans le salon.
Et sur la table basse trônent deux bouteilles de Vodka, dont une à moitié vide. Et à côté de l’alcool, sur un journal, de la poudre blanche. J’en reviens pas.
Yun se retourne, et je comprends à son regard brillant qu’elle est bien pompette. Elle m’invite à venir jouer avec elles, et j’accepte. Ana me sourit et me propose un verre. Yun me passe du jus de pomme, je mélange, je bois. On joue aux cartes. Je peux dire de façon un peu embrouillée ce qu’il se passe ensuite. On chante, on bois, on joue. Yun est toute joyeuse, ses joues sont rosies par l’alcool, ses yeux pétillent. Puis on commence à être un peu ivres, tous les trois. Je crois qu’elles avaient déjà bien attaqué avant que j’arrive, et Ana boit sans jus de pommes. Ces russes…
Puis vient le moment où on se penche sur la poudre blanche à tour de rôle. Ça fait depuis une soirée médecine de deuxième année que je n’y ai pas touché. La suite, je la vois en flashes.
Flash.
On rigole, on danse, on s’agite. J’ai l’impression de voir par mes yeux mais de ne pas contrôler mon corps. Mais je suis super bien.
Flash.
J’ai soif, et il n’y a plus de jus de pommes. J’ai un verre à la main, je bois, c’est dégueu, mais j’ai soif.
Flash.
Cécilia rentre, s’arrête un moment, sourit et agite la tête en nous voyant. On est bourré, on l’invite à nous rejoindre, on rit, mais elle refuse. Elle disparaît dans le couloir. Il n’y a plus aucune trace de la poudre.
Flash.
Ana est ivre elle aussi. Elle rit et parle vite en avalant les syllabes. Mais elle garde son aura invincible, son regard glacé.
Flash.
Je suis torse nu, il fait chaud. On joue notre vie sur une partie de carte, exagérant la façon dont on cache nos jeux pour que les autres ne trichent pas. On est bourré. Cécilia vient et éteint la musique, et on proteste, elle éclate de rire en considérant nos états. On rit aussi, et elle nous souhaite bonne nuit.
Flash.
Je ne sais pas quand les filles ont perdu leurs débardeurs. On joue toujours aux cartes, il ne reste que Yun et moi. Ana est derrière elle, et elles font des plans pour que Yun me batte. Elles sont mortes de rires. L’amie russe passe ses bras autour du cou de ma coréenne, et écrase sa poitrine nue contre son dos. Elle pose son menton sur son épaule, et lui donne un conseil pour le prochain tour de jeu.
Flash.
Le piercing de Yun remue au rythme de ses rires, et je fixe ses seins. Il me faut un autre verre.
Flash.
Je suis vraiment fait. Mais je me sens super bien. Ça tourne autour de moi, et je suis debout, sans savoir pourquoi. Je suis toujours dans mon salon, et sent le tapis sous mes pieds. Yun a posé son jeu de carte, et me demande quelque chose, mais je n’entends pas. Je ne comprends pas.
Flash.
Je suis toujours debout. Je vois l’étincelle d’ébriété dans les yeux de Yun, et elle me redemande. Je suis gêné, mais je ne sais pas pourquoi.
Flash.
Je reviens un peu sur terre, je sens qu’il se passe quelque chose. Ana s’est assise sur le canapé, les jambes croisées, les seins toujours à l’air. Yun s’est approchée de moi. Elle est à genoux et me fait ses yeux de petites filles. Mais je suis gêné, il y a Ana. J’ai un verre à la main, et je le porte à mes lèvres.
Flash.
Je me sens vraiment bien. Il fait bon, il fait chaud, je suis encore sur le tapis, debout. Je baisse les yeux, et voit que Courage est dans la bouche de Yun. Elle est assise sur ses pieds, les mains sur ses cuisses nues, et sa poitrine rebondit alors qu’elle s’active. Je suis encore gêné. Je lève les yeux, et Ana est toujours sur son canapé, et regarde. Je suis prêt à jurer que son sourire moqueur s’est élargi. Est-ce une étincelle d’excitation dans ses yeux bleus ?
Flash.
Je respire fort. Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est éméchée, ou si Yun veut impressionner Ana, ou si c’est ma propre vision des choses qui est déformée, mais ma petite coréenne se déchaîne. Elle me sourit en suçant Courage, aspire, le met en entier dans sa bouche et tousse. Ses yeux me lancent des éclairs d’excitation qui me transpercent. Je ne l’ai jamais vue comme ça. Elle a une main dans sa culotte, et quand elle la sort pour remuer Courage, ses doigts sont humides. Elle bave, le frotte sur ses lèvres, l’agite. Je vois Ana qui caresse sa cuisse distraitement, ne perdant aucune miette du spectacle.
Flash.
J’ai du mal à avaler ma salive. Mon corps tremble, et Yun agite Courage avec ses deux mains. Puis elle me dit quelque chose. Je ne comprends pas, mais je réponds oui. Je crois qu’elle répète, et elle me montre sa bouche ouverte en grand. Et elle répète. Et je dis oui, même si je n’ai pas compris.
Flash.
Yun met entièrement Courage dans sa bouche, et ses yeux s’embuent de larmes. Mais elle continue, le suçant avec fougue, l’agitant vite. Elle veut quelque chose. Sur le canapé, Ana a perdu son sourire, et sa bouche est entre-ouverte. Elle tord ses mains, et me regarde. Un spasme me secoue, et j’ai l’impression que quelqu’un pousse un cri dans ma gorge.
Flash.
Je ne suis plus gêné. J’agite Courage et souffle fort. Yun se cambre, rejette ses cheveux en arrière d’un mouvement de la tête, et me regarde droit dans les yeux. Sa bouche est ouverte. Je comprends ce qu’elle demandait.
Flash.
Quelque chose en bas se déclenche, et une vague de chaleur m’envahit. Je secoue doucement Courage, et il libère quelques gouttes épaisses sur la langue rose et humide de Yun. Ses sourcils se lèvent plusieurs fois d’un air provocateur, ses yeux dans les miens. Je continue, et Courage se vide doucement. Ana est toujours là, et caresse à nouveau ses cuisses. Mais elle ne s’arrête pas sous mon regard. Elle me sourit.
Flash.
Je m’écarte, et une petite flaque blanche recouvre la langue de Yun. Elle ferme la bouche et avale difficilement, d’une traite. Elle fait une grimace avant d’éclater de rire. Ses beaux yeux clairs sont alcoolisés. Elle chasse ma main sur Courage et le remet dans sa bouche. Elle le suçote doucement, et m’adresse un sourire éclatant. J’ai soif. Ana me passe la bouteille, et je bois à grandes gorgées. Yun essore les dernières gouttes sur ses lèvres, et les lèche.
Flash.
Je suis assis sur le tapis, adossé au canapé. Je porte le verre à mes lèvres. Yun me parle, et je comprends cette fois. Elle a l’air désespérée. Elle me dit qu’elle a froid, et je vois la fatigue dans ses yeux. Elle aurait l’alcool chagrin ? Je l’invite à me rejoindre, et elle vient se coller à ma droite. Je passe un bras derrière elle, et elle pose sa tête sur mon torse. Puis elle fait signe à Ana de venir. L’intéressée parait hésiter, mais je vois qu’elle frissonne. Moi j’ai pas froid. Elle m’interroge du regard, et j’acquiesce. Elle se lève, manque de tomber, et avance en titubant. Elle se colle à ma gauche, et c’est vrai que sa peau est glacée. J’entoure aussi ses épaules, et elle se blottit, partageant ma poitrine avec Yun. Je laisse reposer ma main sur sa hanche, et ses belles jambes tatouées se mêlent aux miennes, en quête de chaleur.
Personne n’a pensé à éteindre la lumière, et mes compagnes de fortune dorment déjà sur moi. Je suis bourré, mais je suis bien. Sauf que j’ai trop chaud maintenant.
Car vendredi soir, j’ai un séminaire de Kung Fu qui dure jusqu’à 22 h. Ce n’est pas un entraînement, en gros on s’extasie devant des grands noms du Kung Fu qui viennent s’affronter pour nous. Je m’amuse bien, et réalise que j’ai encore pas mal de progrès à faire pour leur arriver à la cheville.
Puis je rentre, impatient d’être avec ma Yun. Cécilia nous a prévenus qu’elle a un repas de classe ce soir, et qu’elle rentrera sûrement après minuit. Je lui ai dit de ne pas hésiter à m’appeler si elle a peur de rentrer seule, je peux aller la chercher en voiture. (Bien le héros ? )
C’est donc tout tranquille et profitant déjà d’un bon week end de repos que je pousse la porte d’entrée, vers 22h30.
C’est la java chez moi.
La musique du salon parvient immédiatement à mes oreilles. Il fait assez chaud, et la maison sent bon les filles.
J’entre, et marque un temps de surprise. J’ai du mal à croire ce que je vois.
Yun et Ana sont assises sur le tapis et jouent aux cartes. Jusque-là, okay. Yun porte un débardeur noir et court et une culotte noire. Bon, ça va. Ana est vêtue d’un string bleu et d’un haut blanc très léger. Je suis pas encore vraiment habitué mais pourquoi pas. Après tout, il fait bien chaud dans le salon.
Et sur la table basse trônent deux bouteilles de Vodka, dont une à moitié vide. Et à côté de l’alcool, sur un journal, de la poudre blanche. J’en reviens pas.
Yun se retourne, et je comprends à son regard brillant qu’elle est bien pompette. Elle m’invite à venir jouer avec elles, et j’accepte. Ana me sourit et me propose un verre. Yun me passe du jus de pomme, je mélange, je bois. On joue aux cartes. Je peux dire de façon un peu embrouillée ce qu’il se passe ensuite. On chante, on bois, on joue. Yun est toute joyeuse, ses joues sont rosies par l’alcool, ses yeux pétillent. Puis on commence à être un peu ivres, tous les trois. Je crois qu’elles avaient déjà bien attaqué avant que j’arrive, et Ana boit sans jus de pommes. Ces russes…
Puis vient le moment où on se penche sur la poudre blanche à tour de rôle. Ça fait depuis une soirée médecine de deuxième année que je n’y ai pas touché. La suite, je la vois en flashes.
Flash.
On rigole, on danse, on s’agite. J’ai l’impression de voir par mes yeux mais de ne pas contrôler mon corps. Mais je suis super bien.
Flash.
J’ai soif, et il n’y a plus de jus de pommes. J’ai un verre à la main, je bois, c’est dégueu, mais j’ai soif.
Flash.
Cécilia rentre, s’arrête un moment, sourit et agite la tête en nous voyant. On est bourré, on l’invite à nous rejoindre, on rit, mais elle refuse. Elle disparaît dans le couloir. Il n’y a plus aucune trace de la poudre.
Flash.
Ana est ivre elle aussi. Elle rit et parle vite en avalant les syllabes. Mais elle garde son aura invincible, son regard glacé.
Flash.
Je suis torse nu, il fait chaud. On joue notre vie sur une partie de carte, exagérant la façon dont on cache nos jeux pour que les autres ne trichent pas. On est bourré. Cécilia vient et éteint la musique, et on proteste, elle éclate de rire en considérant nos états. On rit aussi, et elle nous souhaite bonne nuit.
Flash.
Je ne sais pas quand les filles ont perdu leurs débardeurs. On joue toujours aux cartes, il ne reste que Yun et moi. Ana est derrière elle, et elles font des plans pour que Yun me batte. Elles sont mortes de rires. L’amie russe passe ses bras autour du cou de ma coréenne, et écrase sa poitrine nue contre son dos. Elle pose son menton sur son épaule, et lui donne un conseil pour le prochain tour de jeu.
Flash.
Le piercing de Yun remue au rythme de ses rires, et je fixe ses seins. Il me faut un autre verre.
Flash.
Je suis vraiment fait. Mais je me sens super bien. Ça tourne autour de moi, et je suis debout, sans savoir pourquoi. Je suis toujours dans mon salon, et sent le tapis sous mes pieds. Yun a posé son jeu de carte, et me demande quelque chose, mais je n’entends pas. Je ne comprends pas.
Flash.
Je suis toujours debout. Je vois l’étincelle d’ébriété dans les yeux de Yun, et elle me redemande. Je suis gêné, mais je ne sais pas pourquoi.
Flash.
Je reviens un peu sur terre, je sens qu’il se passe quelque chose. Ana s’est assise sur le canapé, les jambes croisées, les seins toujours à l’air. Yun s’est approchée de moi. Elle est à genoux et me fait ses yeux de petites filles. Mais je suis gêné, il y a Ana. J’ai un verre à la main, et je le porte à mes lèvres.
Flash.
Je me sens vraiment bien. Il fait bon, il fait chaud, je suis encore sur le tapis, debout. Je baisse les yeux, et voit que Courage est dans la bouche de Yun. Elle est assise sur ses pieds, les mains sur ses cuisses nues, et sa poitrine rebondit alors qu’elle s’active. Je suis encore gêné. Je lève les yeux, et Ana est toujours sur son canapé, et regarde. Je suis prêt à jurer que son sourire moqueur s’est élargi. Est-ce une étincelle d’excitation dans ses yeux bleus ?
Flash.
Je respire fort. Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est éméchée, ou si Yun veut impressionner Ana, ou si c’est ma propre vision des choses qui est déformée, mais ma petite coréenne se déchaîne. Elle me sourit en suçant Courage, aspire, le met en entier dans sa bouche et tousse. Ses yeux me lancent des éclairs d’excitation qui me transpercent. Je ne l’ai jamais vue comme ça. Elle a une main dans sa culotte, et quand elle la sort pour remuer Courage, ses doigts sont humides. Elle bave, le frotte sur ses lèvres, l’agite. Je vois Ana qui caresse sa cuisse distraitement, ne perdant aucune miette du spectacle.
Flash.
J’ai du mal à avaler ma salive. Mon corps tremble, et Yun agite Courage avec ses deux mains. Puis elle me dit quelque chose. Je ne comprends pas, mais je réponds oui. Je crois qu’elle répète, et elle me montre sa bouche ouverte en grand. Et elle répète. Et je dis oui, même si je n’ai pas compris.
Flash.
Yun met entièrement Courage dans sa bouche, et ses yeux s’embuent de larmes. Mais elle continue, le suçant avec fougue, l’agitant vite. Elle veut quelque chose. Sur le canapé, Ana a perdu son sourire, et sa bouche est entre-ouverte. Elle tord ses mains, et me regarde. Un spasme me secoue, et j’ai l’impression que quelqu’un pousse un cri dans ma gorge.
Flash.
Je ne suis plus gêné. J’agite Courage et souffle fort. Yun se cambre, rejette ses cheveux en arrière d’un mouvement de la tête, et me regarde droit dans les yeux. Sa bouche est ouverte. Je comprends ce qu’elle demandait.
Flash.
Quelque chose en bas se déclenche, et une vague de chaleur m’envahit. Je secoue doucement Courage, et il libère quelques gouttes épaisses sur la langue rose et humide de Yun. Ses sourcils se lèvent plusieurs fois d’un air provocateur, ses yeux dans les miens. Je continue, et Courage se vide doucement. Ana est toujours là, et caresse à nouveau ses cuisses. Mais elle ne s’arrête pas sous mon regard. Elle me sourit.
Flash.
Je m’écarte, et une petite flaque blanche recouvre la langue de Yun. Elle ferme la bouche et avale difficilement, d’une traite. Elle fait une grimace avant d’éclater de rire. Ses beaux yeux clairs sont alcoolisés. Elle chasse ma main sur Courage et le remet dans sa bouche. Elle le suçote doucement, et m’adresse un sourire éclatant. J’ai soif. Ana me passe la bouteille, et je bois à grandes gorgées. Yun essore les dernières gouttes sur ses lèvres, et les lèche.
Flash.
Je suis assis sur le tapis, adossé au canapé. Je porte le verre à mes lèvres. Yun me parle, et je comprends cette fois. Elle a l’air désespérée. Elle me dit qu’elle a froid, et je vois la fatigue dans ses yeux. Elle aurait l’alcool chagrin ? Je l’invite à me rejoindre, et elle vient se coller à ma droite. Je passe un bras derrière elle, et elle pose sa tête sur mon torse. Puis elle fait signe à Ana de venir. L’intéressée parait hésiter, mais je vois qu’elle frissonne. Moi j’ai pas froid. Elle m’interroge du regard, et j’acquiesce. Elle se lève, manque de tomber, et avance en titubant. Elle se colle à ma gauche, et c’est vrai que sa peau est glacée. J’entoure aussi ses épaules, et elle se blottit, partageant ma poitrine avec Yun. Je laisse reposer ma main sur sa hanche, et ses belles jambes tatouées se mêlent aux miennes, en quête de chaleur.
Personne n’a pensé à éteindre la lumière, et mes compagnes de fortune dorment déjà sur moi. Je suis bourré, mais je suis bien. Sauf que j’ai trop chaud maintenant.
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