Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 33
Neige
Publié le 05/01/13 à 20:40:39 par lls
Je me réveille le 15 décembre avec un bon gros mal de tête. Je me souviens de la veille, on a bien arrosé la soirée… On a quand même réussi à rejoindre la chambre tous les trois, et je me rappelle que j’ai dû porter Yun et Ana. Je suis nu, comme mes trois compagnes, et il commence à faire carrément froid. Je ramène donc la couverture sur nous, et tout le monde se rapproche instinctivement en quête de chaleur corporelle. Je frissonne de plaisir en sentant ces trois êtres chauds contre moi, et laisse mes mains se balader un peu partout. Je sens des doigts doux sur Courage, qui se réveille immédiatement. Il fait encore noir, et je distingue seulement des silhouettes dans l’ombre. La main me caresse de plus en plus, tendrement. Je perçois un mouvement sous les couettes, et tressaille en sentant une bouche humide happer Courage. C’est Ana. Je reconnais sa peau, sa langue, son piercing. Elle reste douce quelques secondes, et passe rapidement à la vitesse supérieure. Elle sait ce qu’elle veut, et ne souhaite pas attendre. Je tremble et gémis, et je sens les lèvres de ma blonde glisser le long d’un Courage pantelant. Elle le libère, avale rapidement son dû, et le lèche à nouveau. Puis on se rendort.
Vers onze heures, j’émerge et file directement à la douche. J’en ressors complètement réveillé, et constate qu’il ne reste qu’Ana dans le lit, ses belles fesses rebondies à l’air. Je la couvre jusqu’à la nuque, et m’éclipse discrètement. Yun et Cécilia sont devant la télé, à moitié endormies. Assise côte à côte, leurs cuisses nues se touchent.
Il n’y a pas vraiment de rapport sexuel entre ma belle italienne et mes deux autres copines. Mais elles sont plus qu’amies. Il y a beaucoup de tendresse entre elles, il y a même de l’amour. Cécilia embrasse Ana lorsqu’elles se quittent pour aller en cours, et prends souvent Yun sur ses genoux. Sans la caresser, sans arrière-pensée, mais quand même. Dehors, elles se tiennent par le bras comme de bonnes amies. Lorsqu’on est un peu bourré, Cécilia apprécie le contact des filles, toujours sans les caresser. Elle se met à genoux entre Yun et Ana, et leurs corps se touchent alors que leurs lèvres jouent avec Courage en même temps.
Je m’approche du canapé, et me laisse tomber exagérément sur leurs cuisses. Je fais mine de mordre celles de Cécilia, et on se met à chahuter comme des gosses. Ou comme un couple. Je tombe lourdement sur le tapis, fais semblant d’avoir mal, et elles bondissent sur moi pour m’embrasser. Mon italienne écrase son débardeur sur mon torse, et dans mon caleçon, Courage se dresse contre son short.
-Mmmh ? fait-t-elle en souriant.
Puis Yun se couche sur elle, posant son menton dans ses cheveux. Elles sont tellement belles, tellement légères… Je caresse leurs joues, dévore leurs yeux tendres, et les fais rouler sur le tapis en riant avec elles. Ana nous rejoint peu après, avec sa belle chevelure blonde humide et libre. Elle est en soutien-gorge et mini-jupe, et a laissé ostensiblement dépasser la ficelle de son string. Cécilia est couchée sur moi, et je dégage ma tête pour embrasser langoureusement ma russe. Puis elle prend le visage de l’italienne entre ses mains, et dépose ses lèvres sur les siennes. Celle-ci lui rend son baiser, et je vois leurs langues jouer un moment. Je sais qu’elles ne font jamais l’amour, mais je me rends compte que Cécilia a vraiment changé ses opinions. Elle qui ne voulait même pas me toucher en présence des deux autres…
Ana s’assied près de nous, et Yun grimpe à califourchon sur elle, cherchant avidement sa bouche. Elles s’embrassent passionnément pendant de longues secondes, et la brune passe ses mains dans le dos de la déesse russe, cherchant à dégrafer son soutien-gorge. Cécilia s’excite sur moi, et je sens sa main dans mon jean caresser mon caleçon. Mes propres mains attrapent ses hanches et remontent jusqu’à ses grosses fesses de rêve. On ne fait pas l’amour, mais tout le monde finit rapidement en sous-vêtements. C’est là qu’on est le plus à l’aise, qu’on peut se toucher, se caresser. On se tient chaud, on rit devant le film, on se lève à tour de rôle pour aller chercher des trucs à grignoter. Je suis tantôt derrière Yun et je caresse distraitement sa poitrine nue, tantôt couché sur le dos, ma tête reposant sur les cuisses de mon italienne. Puis la magnifique coréenne aventure une main dans le string d’Ana, ou les baisers de Cécilia dans mon cou se font plus ardents, ou quelque chose d’autre déclenche l’excitation générale, et nos derniers vêtements disparaissent. Et le calme relatif de la maison n’est plus troublé que par nos cris de jouissance.
Vers quinze heures, quelqu’un frappe à la porte, et je me souviens que j’ai dit à Laetitia de passer pour réviser ses partiels. Je m’habille en vitesse, et demande à mes amantes de faire de même. Ana et Yun sourient et me regardent comme si elles me défiaient. La petite brune a encore une main entre ses cuisses, et se mordille la lèvre en me dévorant des yeux. Puis finalement, elle prend un air faussement vexé, et rassemble ses vêtements.
-Tu te rattrapes après ! me dit-elle en riant.
Je travaille avec la jeune fille pendant tout le samedi après-midi, et même jusque dans la soirée. Elle me demande plusieurs fois si je veux qu’elle me paie, mais je refuse, avenant. Je suis trop sympa.
Les filles sont bien moins dures avec Laetitia, surtout Yun et Ana. De toute façon, je crois que le message est passé la première fois. La petite rousse paraît vachement intimidée par mes tigresses… Et je suis quasiment certain que si elle a eu un jour l’espoir de me séduire (ce dont je doute), elle a rapidement renoncé.
Elle part finalement vers 19h, et je me mets à aider Cécilia avec Ana. Mon italienne a un contrôle le lundi suivant, et elle veut que ça soit parfait. Je ne me fais pas trop de soucis, elle a été première de sa promo au trimestre précédent, avec une moyenne générale de dingue. Je me demande si les gens de sa classe pensent qu’elle est toute sage chez elle et passe son temps à travailler. Okay, elle bosse, mais concernant la première chose…
-J’ai envie d’être en vacances, soupire Ana en se laissant tomber sur le canapé.
-Vendredi prochain, je réponds. C’est bientôt fini !
Elle s’approche de moi, et je peux sentir sa délicieuse de rose et caresser ses beaux cheveux.
-Mais je suis fatiguée, et j’ai un concours blanc…
-Il faut que tu te reposes et que tu ne fasses pas trop d’efforts, du coup. Plus de galipettes.
Je la taquine, et elle relève ses yeux intimidants vers moi, son petit sourire moqueur au coin des lèvres.
-Bah ça va, tu me fais pas trop trop bouger, réplique-t-elle, goguenarde.
-Ah ouais ?
Je me mets à l’embrasser et à la chatouiller, et elle rit aux éclats. Cécilia nous observe en souriant, et paraît réaliser quelque chose.
-Dis Steph, je pense rester ici pour les vacances de Noël.
-Woh super, ma belle, je réponds, enjoué. Je tends un bras vers elle, et Ana lui fait une place pour qu’elle nous rejoigne sur le divan.
-On va pouvoir faire Noël tous ensemble, ajoute Yun, radieuse. J’espère qu’il va beaucoup neiger !
Le lendemain, on est dimanche, et quelqu’un là-haut a dû entendre ma coréenne. Il y a effectivement une quinzaine de centimètres de neige dans tout mon jardin, et même Ana s’habille chaudement pour aller chahuter. On traîne là de longues heures, on fait des bonhommes de neige, on se pousse et on roule tous les quatre jusqu’à en perdre haleine.
Puis on rentre en frissonnant, épuisés. Yun fait chauffer du lait, et on se retrouve dans le salon avec de grandes tasses fumantes de chocolat.
-J’ai très froid, déclare Yun en faisant claquer exagérément ses dents. Je prends une douche, moi.
-Je viens aussi ! ajoute Ana, et elles disparaissent dans le couloir, main dans la main.
Les mains de Cécilia sont glacées dans les miennes, et elle n’a pas enlevé son pull.
-Tu veux bien me chauffer ? demande-t-elle, avec un petit sourire.
-On dit : « réchauffer », je corrige en riant.
Je plonge dans ses yeux bleus, caresses ses joues froides, et ressens subitement une brusque envie d’elle. Ses pommettes sont rosies par le froid, et je veux les rendre écarlates de plaisir. Je dégage doucement son écharpe, et on se laisse tomber sur le tapis. Même sa bouche et juste tiède, et j’éprouve le besoin de la protéger du froid, de l’englober et de lui communiquer de ma chaleur. On finit rapidement nus, et ses jambes se croisent sur mon dos. Seule sa poitrine et ses cuisses sont brûlantes, et elle écarquille les yeux en souriant alors que Courage s’invite en elle. Je me couche sur elle, elle m’enlace, et je sens ses doigts griffer gentiment ma nuque. Elle souffle et gémit, et ses yeux se voilent, alors que j’accélère mes mouvements dans son corps. Ses contractions autour de Courage sont délicieuses, comme toujours, et elle me lance un regard un peu dominé, avant de me chuchoter d’aller plus vite. Rapidement, j’obtiens le résultat que j’escomptais : sa peau douce et pâle est uniquement contrastée par le rouge vif de ses joues. Elle est toute chaude maintenant, même si son corps entiers est agité de tremblements.
Vers onze heures, j’émerge et file directement à la douche. J’en ressors complètement réveillé, et constate qu’il ne reste qu’Ana dans le lit, ses belles fesses rebondies à l’air. Je la couvre jusqu’à la nuque, et m’éclipse discrètement. Yun et Cécilia sont devant la télé, à moitié endormies. Assise côte à côte, leurs cuisses nues se touchent.
Il n’y a pas vraiment de rapport sexuel entre ma belle italienne et mes deux autres copines. Mais elles sont plus qu’amies. Il y a beaucoup de tendresse entre elles, il y a même de l’amour. Cécilia embrasse Ana lorsqu’elles se quittent pour aller en cours, et prends souvent Yun sur ses genoux. Sans la caresser, sans arrière-pensée, mais quand même. Dehors, elles se tiennent par le bras comme de bonnes amies. Lorsqu’on est un peu bourré, Cécilia apprécie le contact des filles, toujours sans les caresser. Elle se met à genoux entre Yun et Ana, et leurs corps se touchent alors que leurs lèvres jouent avec Courage en même temps.
Je m’approche du canapé, et me laisse tomber exagérément sur leurs cuisses. Je fais mine de mordre celles de Cécilia, et on se met à chahuter comme des gosses. Ou comme un couple. Je tombe lourdement sur le tapis, fais semblant d’avoir mal, et elles bondissent sur moi pour m’embrasser. Mon italienne écrase son débardeur sur mon torse, et dans mon caleçon, Courage se dresse contre son short.
-Mmmh ? fait-t-elle en souriant.
Puis Yun se couche sur elle, posant son menton dans ses cheveux. Elles sont tellement belles, tellement légères… Je caresse leurs joues, dévore leurs yeux tendres, et les fais rouler sur le tapis en riant avec elles. Ana nous rejoint peu après, avec sa belle chevelure blonde humide et libre. Elle est en soutien-gorge et mini-jupe, et a laissé ostensiblement dépasser la ficelle de son string. Cécilia est couchée sur moi, et je dégage ma tête pour embrasser langoureusement ma russe. Puis elle prend le visage de l’italienne entre ses mains, et dépose ses lèvres sur les siennes. Celle-ci lui rend son baiser, et je vois leurs langues jouer un moment. Je sais qu’elles ne font jamais l’amour, mais je me rends compte que Cécilia a vraiment changé ses opinions. Elle qui ne voulait même pas me toucher en présence des deux autres…
Ana s’assied près de nous, et Yun grimpe à califourchon sur elle, cherchant avidement sa bouche. Elles s’embrassent passionnément pendant de longues secondes, et la brune passe ses mains dans le dos de la déesse russe, cherchant à dégrafer son soutien-gorge. Cécilia s’excite sur moi, et je sens sa main dans mon jean caresser mon caleçon. Mes propres mains attrapent ses hanches et remontent jusqu’à ses grosses fesses de rêve. On ne fait pas l’amour, mais tout le monde finit rapidement en sous-vêtements. C’est là qu’on est le plus à l’aise, qu’on peut se toucher, se caresser. On se tient chaud, on rit devant le film, on se lève à tour de rôle pour aller chercher des trucs à grignoter. Je suis tantôt derrière Yun et je caresse distraitement sa poitrine nue, tantôt couché sur le dos, ma tête reposant sur les cuisses de mon italienne. Puis la magnifique coréenne aventure une main dans le string d’Ana, ou les baisers de Cécilia dans mon cou se font plus ardents, ou quelque chose d’autre déclenche l’excitation générale, et nos derniers vêtements disparaissent. Et le calme relatif de la maison n’est plus troublé que par nos cris de jouissance.
Vers quinze heures, quelqu’un frappe à la porte, et je me souviens que j’ai dit à Laetitia de passer pour réviser ses partiels. Je m’habille en vitesse, et demande à mes amantes de faire de même. Ana et Yun sourient et me regardent comme si elles me défiaient. La petite brune a encore une main entre ses cuisses, et se mordille la lèvre en me dévorant des yeux. Puis finalement, elle prend un air faussement vexé, et rassemble ses vêtements.
-Tu te rattrapes après ! me dit-elle en riant.
Je travaille avec la jeune fille pendant tout le samedi après-midi, et même jusque dans la soirée. Elle me demande plusieurs fois si je veux qu’elle me paie, mais je refuse, avenant. Je suis trop sympa.
Les filles sont bien moins dures avec Laetitia, surtout Yun et Ana. De toute façon, je crois que le message est passé la première fois. La petite rousse paraît vachement intimidée par mes tigresses… Et je suis quasiment certain que si elle a eu un jour l’espoir de me séduire (ce dont je doute), elle a rapidement renoncé.
Elle part finalement vers 19h, et je me mets à aider Cécilia avec Ana. Mon italienne a un contrôle le lundi suivant, et elle veut que ça soit parfait. Je ne me fais pas trop de soucis, elle a été première de sa promo au trimestre précédent, avec une moyenne générale de dingue. Je me demande si les gens de sa classe pensent qu’elle est toute sage chez elle et passe son temps à travailler. Okay, elle bosse, mais concernant la première chose…
-J’ai envie d’être en vacances, soupire Ana en se laissant tomber sur le canapé.
-Vendredi prochain, je réponds. C’est bientôt fini !
Elle s’approche de moi, et je peux sentir sa délicieuse de rose et caresser ses beaux cheveux.
-Mais je suis fatiguée, et j’ai un concours blanc…
-Il faut que tu te reposes et que tu ne fasses pas trop d’efforts, du coup. Plus de galipettes.
Je la taquine, et elle relève ses yeux intimidants vers moi, son petit sourire moqueur au coin des lèvres.
-Bah ça va, tu me fais pas trop trop bouger, réplique-t-elle, goguenarde.
-Ah ouais ?
Je me mets à l’embrasser et à la chatouiller, et elle rit aux éclats. Cécilia nous observe en souriant, et paraît réaliser quelque chose.
-Dis Steph, je pense rester ici pour les vacances de Noël.
-Woh super, ma belle, je réponds, enjoué. Je tends un bras vers elle, et Ana lui fait une place pour qu’elle nous rejoigne sur le divan.
-On va pouvoir faire Noël tous ensemble, ajoute Yun, radieuse. J’espère qu’il va beaucoup neiger !
Le lendemain, on est dimanche, et quelqu’un là-haut a dû entendre ma coréenne. Il y a effectivement une quinzaine de centimètres de neige dans tout mon jardin, et même Ana s’habille chaudement pour aller chahuter. On traîne là de longues heures, on fait des bonhommes de neige, on se pousse et on roule tous les quatre jusqu’à en perdre haleine.
Puis on rentre en frissonnant, épuisés. Yun fait chauffer du lait, et on se retrouve dans le salon avec de grandes tasses fumantes de chocolat.
-J’ai très froid, déclare Yun en faisant claquer exagérément ses dents. Je prends une douche, moi.
-Je viens aussi ! ajoute Ana, et elles disparaissent dans le couloir, main dans la main.
Les mains de Cécilia sont glacées dans les miennes, et elle n’a pas enlevé son pull.
-Tu veux bien me chauffer ? demande-t-elle, avec un petit sourire.
-On dit : « réchauffer », je corrige en riant.
Je plonge dans ses yeux bleus, caresses ses joues froides, et ressens subitement une brusque envie d’elle. Ses pommettes sont rosies par le froid, et je veux les rendre écarlates de plaisir. Je dégage doucement son écharpe, et on se laisse tomber sur le tapis. Même sa bouche et juste tiède, et j’éprouve le besoin de la protéger du froid, de l’englober et de lui communiquer de ma chaleur. On finit rapidement nus, et ses jambes se croisent sur mon dos. Seule sa poitrine et ses cuisses sont brûlantes, et elle écarquille les yeux en souriant alors que Courage s’invite en elle. Je me couche sur elle, elle m’enlace, et je sens ses doigts griffer gentiment ma nuque. Elle souffle et gémit, et ses yeux se voilent, alors que j’accélère mes mouvements dans son corps. Ses contractions autour de Courage sont délicieuses, comme toujours, et elle me lance un regard un peu dominé, avant de me chuchoter d’aller plus vite. Rapidement, j’obtiens le résultat que j’escomptais : sa peau douce et pâle est uniquement contrastée par le rouge vif de ses joues. Elle est toute chaude maintenant, même si son corps entiers est agité de tremblements.
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