Le Bêtisier des Rêves
Par : BaliBalo
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Rêve n°8
Publié le 29/07/12 à 14:53:06 par BaliBalo
Je pars pour l’Afrique !... et me retrouve dans un village pittoresque où j’assiste à un spectacle haut en couleur. Des femmes, parées de splendides robes aux couleurs chatoyantes, frappent activement sur des percussions dont je ne connais pas le nom. Le concert m’émeut tant que je m’exclame « Il n’y a rien de plus merveilleux que l’Afrique ! ».
Aussitôt, comme si j’avais prononcé les mots réprouvés, je me retrouve dans un restaurant. Je dois partir pour New York et le rendez-vous se fait curieusement dans cette salle d’italien. Cependant, l’animatrice (une matérialiste superficielle hors norme) est en retard. Le directeur s’impatiente. Finalement, la retardataire débarque, malheureusement trop tard et nous ratons notre avion.
Je suis alors projetée dans une grande maison que je désigne comme étant celle de mon amie Marie, bien qu’elle n’ait rien à voir. Visiblement, nous allons faire une fête. Nous sommes tous regroupés dans une salle pavée de lits. Je ne reconnais personne. Les parents vont se coucher et enfin, la fête commence.
Je me mets à discuter avec les gens qui m’entoure et me rend compte que ce sont les gens de NoelFic. Ainsi, Droran est coiffé de dreadlocks. Il est un toxicomane (oui, je le rencontre alors qu'il fume une sorte de brin de paille) doublé d’hyperactivité puisqu’il n’a de cesse de faire des allers-retours en courant dans le couloir. En fait, il revient en arrière car il oublie quelque chose à chaque fois qu’il part : un objet, une demande, une personne… Et quand il revient c’est pour nous rapporter les messages des autres personnes qui font la fête en bas. Il court tellement qu’il fini par courir sur les murs et le plafond.
Il y a VonDaklage, bel homme, une tête angélique d’acteur américain qui se prélasse dans un lit en plaisantant avec une tonne de groupies. GodHatesUs est là aussi, le crâne rasé, des écarteurs noirs aux oreilles, il a l’air méchant, agressif. En vérité, c’est le plus normal de la bande. Il a un gros faible pour l’alcool. Pour finir, il y a Dragibus101 qui se pavane avec une plume d’autruche en clamant que ça vient de chez elle, de Guyane. Elle est la seule à danser avec et sans musique.
Peu à peu, les garçons descendent rejoindre le reste des fêtards dans le jardin, même Droran ne remonte plus nous faire ses demandes incessantes. Je me retrouve alors seule avec Dragi et un groupe de filles, des figurantes. Von est en arrière plan, il discute avec un mec inconnu. De notre côté, il semble y avoir un problème. Une des filles déclare : « Ce n’est pas bien ce qu’ils font. » et Dragi de répondre « Oui, ils vont réveiller les parents. ». C’est alors que je me penche par la fenêtre. Je peux alors admirer une bande de mecs bien éméchés, hurlant à plein poumon dans le jardin. A ce rythme, c’est sûr que les parents vont se réveiller… c’est alors que, justement, j’entends craquer la porte de la chambre des parents. Au même instant tous ceux qui étaient en bas reviennent dans la chambre, alertés par le craquement. Parmi eux, Droran qui porte God sur le dos. Tout le monde se jette n’importe comment sur les lits, Dragi éteint la lumière et nous faisons tous mine de dormir. La porte de la chambre s’ouvre, reste un instant silencieuse, puis se referme. On entend des bruits de pas dans le couloir, un craquement significatif et, aussitôt, la lumière se rallume.
Certains s’interrogent alors : il n’y a plus d’alcool, faut-il rester ou partir ? De manière générale, la plupart des gens descendent, ne serait-ce que pour poursuivre la fête dans le jardin. Droran reste, étalé sur un des matelas : il s’est endormi. Je discute avec Dragi de tout et de rien, nous avons préservé une bouteille rien que pour nous deux.
Petit à petit, des gens reviennent, épuisés. Ils s’allongent et s’endorment comme des marmottes lestées d'un sac de sable. Von revient, toujours accompagné du mec avec lequel il discute depuis le début de la soirée (en dehors de ses groupies). Tous deux s’allongent et continuent leurs bavardages. C’est alors que God, debout près de la fenêtre me fait signe de venir. Je me faufile à travers les matelas et c’est là que je comprends que Von est gay puisqu’il embrasse langoureusement son « ami ». Je rejoins finalement God qui me raconte que Von était le dernier à avoir de l’alcool. Pour obtenir la boisson, God me raconte qu’il a du lui faire un massage sexuel. Je lui demande d’expliciter et il me répond en produisant toute une suite de bruitages incompréhensibles. Sans comprendre, je me suis alors réveillée.
Aussitôt, comme si j’avais prononcé les mots réprouvés, je me retrouve dans un restaurant. Je dois partir pour New York et le rendez-vous se fait curieusement dans cette salle d’italien. Cependant, l’animatrice (une matérialiste superficielle hors norme) est en retard. Le directeur s’impatiente. Finalement, la retardataire débarque, malheureusement trop tard et nous ratons notre avion.
Je suis alors projetée dans une grande maison que je désigne comme étant celle de mon amie Marie, bien qu’elle n’ait rien à voir. Visiblement, nous allons faire une fête. Nous sommes tous regroupés dans une salle pavée de lits. Je ne reconnais personne. Les parents vont se coucher et enfin, la fête commence.
Je me mets à discuter avec les gens qui m’entoure et me rend compte que ce sont les gens de NoelFic. Ainsi, Droran est coiffé de dreadlocks. Il est un toxicomane (oui, je le rencontre alors qu'il fume une sorte de brin de paille) doublé d’hyperactivité puisqu’il n’a de cesse de faire des allers-retours en courant dans le couloir. En fait, il revient en arrière car il oublie quelque chose à chaque fois qu’il part : un objet, une demande, une personne… Et quand il revient c’est pour nous rapporter les messages des autres personnes qui font la fête en bas. Il court tellement qu’il fini par courir sur les murs et le plafond.
Il y a VonDaklage, bel homme, une tête angélique d’acteur américain qui se prélasse dans un lit en plaisantant avec une tonne de groupies. GodHatesUs est là aussi, le crâne rasé, des écarteurs noirs aux oreilles, il a l’air méchant, agressif. En vérité, c’est le plus normal de la bande. Il a un gros faible pour l’alcool. Pour finir, il y a Dragibus101 qui se pavane avec une plume d’autruche en clamant que ça vient de chez elle, de Guyane. Elle est la seule à danser avec et sans musique.
Peu à peu, les garçons descendent rejoindre le reste des fêtards dans le jardin, même Droran ne remonte plus nous faire ses demandes incessantes. Je me retrouve alors seule avec Dragi et un groupe de filles, des figurantes. Von est en arrière plan, il discute avec un mec inconnu. De notre côté, il semble y avoir un problème. Une des filles déclare : « Ce n’est pas bien ce qu’ils font. » et Dragi de répondre « Oui, ils vont réveiller les parents. ». C’est alors que je me penche par la fenêtre. Je peux alors admirer une bande de mecs bien éméchés, hurlant à plein poumon dans le jardin. A ce rythme, c’est sûr que les parents vont se réveiller… c’est alors que, justement, j’entends craquer la porte de la chambre des parents. Au même instant tous ceux qui étaient en bas reviennent dans la chambre, alertés par le craquement. Parmi eux, Droran qui porte God sur le dos. Tout le monde se jette n’importe comment sur les lits, Dragi éteint la lumière et nous faisons tous mine de dormir. La porte de la chambre s’ouvre, reste un instant silencieuse, puis se referme. On entend des bruits de pas dans le couloir, un craquement significatif et, aussitôt, la lumière se rallume.
Certains s’interrogent alors : il n’y a plus d’alcool, faut-il rester ou partir ? De manière générale, la plupart des gens descendent, ne serait-ce que pour poursuivre la fête dans le jardin. Droran reste, étalé sur un des matelas : il s’est endormi. Je discute avec Dragi de tout et de rien, nous avons préservé une bouteille rien que pour nous deux.
Petit à petit, des gens reviennent, épuisés. Ils s’allongent et s’endorment comme des marmottes lestées d'un sac de sable. Von revient, toujours accompagné du mec avec lequel il discute depuis le début de la soirée (en dehors de ses groupies). Tous deux s’allongent et continuent leurs bavardages. C’est alors que God, debout près de la fenêtre me fait signe de venir. Je me faufile à travers les matelas et c’est là que je comprends que Von est gay puisqu’il embrasse langoureusement son « ami ». Je rejoins finalement God qui me raconte que Von était le dernier à avoir de l’alcool. Pour obtenir la boisson, God me raconte qu’il a du lui faire un massage sexuel. Je lui demande d’expliciter et il me répond en produisant toute une suite de bruitages incompréhensibles. Sans comprendre, je me suis alors réveillée.
16/09/12 à 13:37:08
J'avais loupé une pareille connerie...
30/07/12 à 14:46:50
Bali... arrête le LSD
Non sérieux, encore !
29/07/12 à 23:36:56
COUP DE COEUR !
Rien à redire
29/07/12 à 23:31:00
Le dernier paragraphe est WTF?! Je suis certain qu'il correspond très bien à Von et à God
29/07/12 à 19:17:35
C'est...un rêve ô combien étrange, cher auteur.
29/07/12 à 14:56:46
Moralité: Jamais plus d'un demi-lexomyl le soir.
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