Back To Universe (Rewrite)
Par : Games
Genre : Science-Fiction , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Publié le 06/04/12 à 19:02:18 par Games
Je me trouvais aux abords de la nouvelle Tour Eiffel, parcourant les allées bordées d’herbes verdoyantes et frissonnantes sous le léger vent et le soleil jaune éclatant. L’ancien symbole de ce qu’on appelait la France avait été complètement broyé sous les multiples projectiles qu’elle avait reçus, allant du simple pavé au missile thermique sol-sol. Elle était désormais remplacée par une gigantesque tour en verre d’une forme presque hélicoïdale d’où pendaient de multiples arbres et plantes donnant un côté exotique et jardin suspendus de Babylone à ce bâtiment qui était le siège de l’Agence Internationale de Botanique.
Je traversais la passerelle métallique qui passait au-dessus des eaux bleues de la Seine et de ses chaloupes électriques qui la parcouraient du matin au soir. J’orientais ensuite mes pas vers l’ambassade de la région Angleterre puis tourna dans une petite ruelle qui longeait le bâtiment. Je connaissais par cœur les petits raccourcis de la ville de Nouvelle-Paris. Je les avais découverts par les années de Communes que j’avais vécues lors de la guerre civile, lorsque les anarchistes provinciaux montèrent libérés l’ex-capitale française.
Je marchais dans la longue ruelle quand j’aperçus, posé sur un rebord poussiéreux, un sac rouge de voyage. Je n’avais la certitude que ce ne soit qu’un sac lorsque je reçu un grand coup dans la nuque, me faisant basculé en avant. Mes mains s’écorchèrent avec la chute et ma vision et mes sens furent troublés. Malgré cela, je pus récupérer une vision assez nette mais mes membres refusèrent de bouger. Je ne pouvais que voir la scène tout simplement ahurissante qui se passait sous mes yeux paralysés. La personne qui m’avait agressé était un homme dont le visage était caché par un masque à gaz qui lui prenait tout le crâne. Il avait pris le sac rouge encore posé au même endroit et commençait à marcher calmement dans la ruelle. Je pouvais le voir, avec son pantalon noir profonds à grande poches et large comme ceux des Brigades d’Eradications Criminelles. Il ne se souciait même pas de moi. Puis soudain, il tendit son bras devant lui et toujours en marchant, il disparu aussi soudainement qu’il était apparu, ne laissant apparaître seulement qu’une demi-seconde un mince filin noir à l’endroit même où il s’était volatilisé.
Encore sous le choc, je me relevais tant bien que mal en m’appuyant sur le mur de béton gris terne qui longeait la ruelle du côté gauche. Je vacillais légèrement avant de me stabiliser et de pouvoir mettre un pied devant l’autre. Totalement sorti de ma paralysie nerveuse, je couru en direction du lieu de l’incident. Je me retrouvais au milieu d’une des nombreuses avenues qui traversaient Nouvelle-Paris et qui allait se perdre dans les banlieues qui bordaient la cité.
Toujours appuyé par sécurité sur le mur, je regardais dans tous les sens possible. Essayant de déceler une trace sur un mur ou sur le sol mais ce singulier personnage avait bel et bien disparu ! Je scrutais une nouvelle fois dans l’avenue. La route goudronnée était déserte. L’été se montrait déjà chaud, alors que nous n’étions qu’au mois de mai. L’asphalte luisait, reflétant de minuscules cristaux de silice éparpillés dans toute la matière. Je prenais bien soin de garder mon pistolet dans mon holster en cuir noir sur le côté gauche. Un chat traversa la rue, marcha tranquillement jusqu’au magasin de fruit et légume en face puis s’allongea à l’ombre entre les cagettes de tomates et celles de pêches déjà bien rouge.
Je traversais la passerelle métallique qui passait au-dessus des eaux bleues de la Seine et de ses chaloupes électriques qui la parcouraient du matin au soir. J’orientais ensuite mes pas vers l’ambassade de la région Angleterre puis tourna dans une petite ruelle qui longeait le bâtiment. Je connaissais par cœur les petits raccourcis de la ville de Nouvelle-Paris. Je les avais découverts par les années de Communes que j’avais vécues lors de la guerre civile, lorsque les anarchistes provinciaux montèrent libérés l’ex-capitale française.
Je marchais dans la longue ruelle quand j’aperçus, posé sur un rebord poussiéreux, un sac rouge de voyage. Je n’avais la certitude que ce ne soit qu’un sac lorsque je reçu un grand coup dans la nuque, me faisant basculé en avant. Mes mains s’écorchèrent avec la chute et ma vision et mes sens furent troublés. Malgré cela, je pus récupérer une vision assez nette mais mes membres refusèrent de bouger. Je ne pouvais que voir la scène tout simplement ahurissante qui se passait sous mes yeux paralysés. La personne qui m’avait agressé était un homme dont le visage était caché par un masque à gaz qui lui prenait tout le crâne. Il avait pris le sac rouge encore posé au même endroit et commençait à marcher calmement dans la ruelle. Je pouvais le voir, avec son pantalon noir profonds à grande poches et large comme ceux des Brigades d’Eradications Criminelles. Il ne se souciait même pas de moi. Puis soudain, il tendit son bras devant lui et toujours en marchant, il disparu aussi soudainement qu’il était apparu, ne laissant apparaître seulement qu’une demi-seconde un mince filin noir à l’endroit même où il s’était volatilisé.
Encore sous le choc, je me relevais tant bien que mal en m’appuyant sur le mur de béton gris terne qui longeait la ruelle du côté gauche. Je vacillais légèrement avant de me stabiliser et de pouvoir mettre un pied devant l’autre. Totalement sorti de ma paralysie nerveuse, je couru en direction du lieu de l’incident. Je me retrouvais au milieu d’une des nombreuses avenues qui traversaient Nouvelle-Paris et qui allait se perdre dans les banlieues qui bordaient la cité.
Toujours appuyé par sécurité sur le mur, je regardais dans tous les sens possible. Essayant de déceler une trace sur un mur ou sur le sol mais ce singulier personnage avait bel et bien disparu ! Je scrutais une nouvelle fois dans l’avenue. La route goudronnée était déserte. L’été se montrait déjà chaud, alors que nous n’étions qu’au mois de mai. L’asphalte luisait, reflétant de minuscules cristaux de silice éparpillés dans toute la matière. Je prenais bien soin de garder mon pistolet dans mon holster en cuir noir sur le côté gauche. Un chat traversa la rue, marcha tranquillement jusqu’au magasin de fruit et légume en face puis s’allongea à l’ombre entre les cagettes de tomates et celles de pêches déjà bien rouge.
09/04/12 à 18:43:25
yeah ça tue ! Bien vu de remettre le début du chapitre précédent à la fin, comme si rien ne s'était passé !!
08/04/12 à 19:29:51
J'ai dis que le scénario m'échappait un peu des mains, pas que j'en avais pas
J'ai l'habitude de changer deux ou trois idées en pleine de rédaction.
J'essaye de poser un maximum le décor et l'intrigue avec certaines difficultés apparemment ..
07/04/12 à 18:32:44
Comment peut-on savoir si la scène d'action mène quelque part quand on connait pas la suite du texte ? :)
Moi j'aimerais bien connaitre la nature de ce sac rouge, pourquoi il était là, et surtout pourquoi le mec surgit de nulle part a attaqué le héros pour le reprendre !
Alors franchement, suite ! Par ce que la y'a quand même besoin d'éclaircissement !
Sinon c'est vrais que le clin d'oeil est sympathique, on voit pas ça partout
07/04/12 à 13:19:42
Je n'avais pas relu le chapitre précédent, et le clin d'oeil m'a échappé. À voir la suite, donc
07/04/12 à 12:16:51
Le truc du chat c'était pour faire le lien avec le début du chapitre précédent.
Mais oui, c'est vrai, je commence un peu à perdre le scénario des mains. Je m'appliquerais au mieux pour le chapitre 5 en espérant ne pas te déplaire.
Merci pour ton commentaire
06/04/12 à 23:27:52
Je suis peu convaincu par ce chapitre, mais alors vraiment peu Une scène d'action ridicule tant elle est inutile, ne mène nulle part, et n'apporte rien au texte...
Le coup du type qui se fait agresser sans pouvoir se défendre par un inconnu qui ne lui veut rien, sinon lui montrer qu'il est énigmatique et possède le pouvoir de disparaitre, je ne trouve ça ni original ni intéressant ; surtout si c'est pour enchainer sur un soleil qui brille et des chats qui miaulent. Tu devrais te satisfaire d'une description de la ville plutôt que de cette scène mal foutue...
Le texte a pris un virage très serré après le second chapitre. Je ne m'attendais pas à du post-apo'.. À voir la suite
Vous devez être connecté pour poster un commentaire