Amour impossible
Par : Enendar
Genre : Sentimental , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Elisabeth
Publié le 30/09/12 à 23:47:53 par Enendar
Elisabeth regarda sa montre. En voyant l'heure, elle hoqueta de surprise, avala une dernière gorgée de son café, prit son sac et se précipita vers l'entrée tout en criant :
- Ryan dépêche toi, on va être en retard.
Un beau jeune homme, d'environ seize ans, descendit les marches d'un pas nonchalant.
- Allez bouge, s'impatienta sa sœur en tapotant du pied.
- ça va, ce n'est pas la peine de t'énerver, riposta Ryan en passant devant la jeune femme.
Cette dernière leva les yeux aux cieux puis suivit son frère. Tout deux montèrent dans la décapotable rouge d'Elisabeth, attachèrent leurs ceintures, puis la voiture démarra dans un ronronnement délicieux.
Un silence pesant régna dans ce lieu mobile et clos. Ryan suivait le paysage des yeux, tandis, qu'Elisabeth essayait de rester concentrée sur la route, malgré l'envie soutenue de parler à son frère.
Depuis la mort de leur mère, Magalie, il y a plus d'un an, Ryan était devenu un jeune homme taciturne et colérique.
Après un énième regard en coin de la part de sa sœur, Ryan lança :
- Vas-y lâche le morceau.
- S'il te plaît, évite d'avoir d'autres problèmes. N'insulte plus tes professeurs et ne déclenche pas de conflits avec tes amis, conseilla Elisabeth d'une seule traite, sans reprendre sa respiration.
- Ouais, répondit-il d'une moue réprobatrice.
- Ryan, papa n'a pas besoin de ça, dit-elle avec autorité.
Avant même que le véhicule s'arrête complètement, Ryan ouvrit la portière et s'éloigna vers le bahut sans un mot ou un regard pour sa sœur.
Elisabeth le suivit du regard jusqu'à ce qu'il rentre dans l'établissement puis redémarra calmement.
Après dix minutes d'une conduite précise et attentive, la jeune femme pénétra sur le parking de l'université. Elle ramassa ses affaires, s'extirpa du véhicule et se dirigea vers la grande et haute entrée. Sans perdre de temps, elle s'orienta vers les locaux du journal. Dés son inscription à la faculté, elle était entrée au journal en tant que photographe attitré. Elle déposa la pochette contenant les clichés de la prochaine une, puis disparue dans la masse d'étudiant. D'un pas pressant mais assuré, elle se déplaça entre les personnes jouant quelques fois de ses coudes pour se frayer un chemin. Le panneau bibliothèque s'afficha au loin. Elle ralentit sa marche puis pénétra dans l'antre silencieux. Une jeune femme blonde, du même âge qu'Elisabeth, se leva avec joie et s'avança vers la brunette.
- Tu ne devineras jamais, affirma Maggie toute excitée.
Elisabeth examina le bibliothécaire. Des traits de mécontentement étaient apparus sur son visage. La jeune femme tira son amie dehors avant qu'elles s'attirent des ennuies.
- Tu m'expliqueras tout cela jusqu'aux panneaux des annonces.
- Tu recherches quoi ? Questionna Maggie avec curiosité, tout en oubliant sa bonne nouvelle.
- Rien, je veux seulement en déposer une, répondit simplement Elisabeth en sortant une feuille de son sac.
Ne pouvant pas résister à son péché, Maggie arracha la feuille des mains de son amie. Cette dernière stoppa net et attendit son avis précieux.
La blonde resta planté au milieu du hall relisant encore et encore ces quelques lignes :
Loue T3, non meublé pour 300 $ par mois.
Bas de villa avec piscine, terrasse et jardin.
À quelques kilomètres de la plage et du centre-ville.
Pour plus d'informations appelez-le
08 882 601
-Ton père veut louer l'appartement de ta mère ? Questionna-t-elle perplexe.
- On veut louer, rectifia Elisabeth en accentuant bien sur le "on". On a eu de très bons souvenirs dans ce lieu. Je revois souvent ma mère sur sa machine à coudre ou encore à me demander si les couleurs de ses croquis allaient bien ensemble...
Une larme s'écoula sur la joue de la jeune femme. Maggie sortit un mouchoir et essuya les yeux embués de son amie d'enfance.
- Je m'en occupe, déclara-t-elle.
Sous le regard peiné d'Elisabeth, Maggie s'approcha d'un des trois grands tableaux, chercha une place puis accrocha l'annonce. Elle revint sur ses pas. Les deux étudiantes observèrent la fine feuille durant quelques minutes puis s'en éloignèrent sans jamais plus l'apercevoir.
- Ryan dépêche toi, on va être en retard.
Un beau jeune homme, d'environ seize ans, descendit les marches d'un pas nonchalant.
- Allez bouge, s'impatienta sa sœur en tapotant du pied.
- ça va, ce n'est pas la peine de t'énerver, riposta Ryan en passant devant la jeune femme.
Cette dernière leva les yeux aux cieux puis suivit son frère. Tout deux montèrent dans la décapotable rouge d'Elisabeth, attachèrent leurs ceintures, puis la voiture démarra dans un ronronnement délicieux.
Un silence pesant régna dans ce lieu mobile et clos. Ryan suivait le paysage des yeux, tandis, qu'Elisabeth essayait de rester concentrée sur la route, malgré l'envie soutenue de parler à son frère.
Depuis la mort de leur mère, Magalie, il y a plus d'un an, Ryan était devenu un jeune homme taciturne et colérique.
Après un énième regard en coin de la part de sa sœur, Ryan lança :
- Vas-y lâche le morceau.
- S'il te plaît, évite d'avoir d'autres problèmes. N'insulte plus tes professeurs et ne déclenche pas de conflits avec tes amis, conseilla Elisabeth d'une seule traite, sans reprendre sa respiration.
- Ouais, répondit-il d'une moue réprobatrice.
- Ryan, papa n'a pas besoin de ça, dit-elle avec autorité.
Avant même que le véhicule s'arrête complètement, Ryan ouvrit la portière et s'éloigna vers le bahut sans un mot ou un regard pour sa sœur.
Elisabeth le suivit du regard jusqu'à ce qu'il rentre dans l'établissement puis redémarra calmement.
Après dix minutes d'une conduite précise et attentive, la jeune femme pénétra sur le parking de l'université. Elle ramassa ses affaires, s'extirpa du véhicule et se dirigea vers la grande et haute entrée. Sans perdre de temps, elle s'orienta vers les locaux du journal. Dés son inscription à la faculté, elle était entrée au journal en tant que photographe attitré. Elle déposa la pochette contenant les clichés de la prochaine une, puis disparue dans la masse d'étudiant. D'un pas pressant mais assuré, elle se déplaça entre les personnes jouant quelques fois de ses coudes pour se frayer un chemin. Le panneau bibliothèque s'afficha au loin. Elle ralentit sa marche puis pénétra dans l'antre silencieux. Une jeune femme blonde, du même âge qu'Elisabeth, se leva avec joie et s'avança vers la brunette.
- Tu ne devineras jamais, affirma Maggie toute excitée.
Elisabeth examina le bibliothécaire. Des traits de mécontentement étaient apparus sur son visage. La jeune femme tira son amie dehors avant qu'elles s'attirent des ennuies.
- Tu m'expliqueras tout cela jusqu'aux panneaux des annonces.
- Tu recherches quoi ? Questionna Maggie avec curiosité, tout en oubliant sa bonne nouvelle.
- Rien, je veux seulement en déposer une, répondit simplement Elisabeth en sortant une feuille de son sac.
Ne pouvant pas résister à son péché, Maggie arracha la feuille des mains de son amie. Cette dernière stoppa net et attendit son avis précieux.
La blonde resta planté au milieu du hall relisant encore et encore ces quelques lignes :
Loue T3, non meublé pour 300 $ par mois.
Bas de villa avec piscine, terrasse et jardin.
À quelques kilomètres de la plage et du centre-ville.
Pour plus d'informations appelez-le
08 882 601
-Ton père veut louer l'appartement de ta mère ? Questionna-t-elle perplexe.
- On veut louer, rectifia Elisabeth en accentuant bien sur le "on". On a eu de très bons souvenirs dans ce lieu. Je revois souvent ma mère sur sa machine à coudre ou encore à me demander si les couleurs de ses croquis allaient bien ensemble...
Une larme s'écoula sur la joue de la jeune femme. Maggie sortit un mouchoir et essuya les yeux embués de son amie d'enfance.
- Je m'en occupe, déclara-t-elle.
Sous le regard peiné d'Elisabeth, Maggie s'approcha d'un des trois grands tableaux, chercha une place puis accrocha l'annonce. Elle revint sur ses pas. Les deux étudiantes observèrent la fine feuille durant quelques minutes puis s'en éloignèrent sans jamais plus l'apercevoir.
01/10/12 à 00:18:18
Tu trouves que l'inceste, c'est cool ? Et l'auto-notation, elle est en option ?
30/09/12 à 23:54:33
C'est propre, bien écrit, pas de fautes d'orthographe à déclarer. ça s'annonce pas mal, je suivrais pour voir si j'accroche au suites
gg
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