Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La fic pas drôle et absurde


Par : Sipro
Genre : Nawak, No-Fake
Statut : Abandonnée



Chapitre 15 : Retrouve la bonne saison


Publié le 30/04/2011 à 11:03:04 par Sipro

Après avoir écouté une chanson je me suis dis, mais c’est un truc de fou, je vais faire un chapitre, ça n’aura aucun rapport avec la chanson (bon, déjà je mens à nouveau car ça en à un peu, vu que j’en parle), mais je me suis rendu compte aussi que si je faisais un chapitre ayant rapport avec la chanson, la moitié des « fans » qui me restent de la première heure, donc celle qui n’est pas parti à cause de tous les précédents chapitres (Il en faut du courage, merci à vous, encore une fois), eh bien cette moitié là, celle qui reste, peut être qu’elle se serait suicider. Donc je me suis dis, n’allons pas faire un chapitre triste ! En revanche, je vous laisserai une petite phrase de cette chanson en fin de chapitre.

Voilà, nos joyeux compagnons reprenaient leur route à travers la forêt, ou du moins ce qu’il en restait. Sortant de la forêt, de leur monde à eux en fait, ils se dirigèrent vers les montagnes. Autour d’eux, il y avait eut un exode massive d’elfe. Je, ou plutôt nous, nous avons surpris un membre du groupe (Qui n’est pas Morgan, ni Snaky, même si tu avais dis qu’on ferait des snaky) en train de leur crier « Mais arrêtez d’être pédé ! ».

Bon, il me reste plus que 20 minutes pour finir ce chapitre. Ça va être chaud cacao, on va bien voir. Donc on marchait vers les montagnes, accompagnés par les elfes, certains en camion, d’autres en motocyclettes (Ah ok). On se serait cru en France en 1940. Vous vous souvenez ? Mais si, la Ligne Maginot, la façon dont l’Axe (ces raclures) nous avaient écrasés comme des pauvres merdes, et du pied gauche en plus ! Allez, rions de bon cœur en ce souvenir !

Voilà, maintenant qu’on a bien rit, ça suffit, on continu l’aventure, l’heure tourne, et moi j’ai un chapitre à boucler. Et hop, ils arrivent dans les montagnes. Nan, mais faut pas déconner non plus, si j’avais fait le chemin jusqu’à la montagne on aurait perdu près de 5 chapitres. Alors l’absurde ça va, mais au bout d’un moment, ça devient casse-couille, alors on limite tant qu’on peut, ne serait-ce que pour récupérer des lecteurs.

La montagne donc. La montagne… Dans cette montagne il y avait des p’tits nains ! C’étaient les p’tits nains de la montagne de la fiction absurde et pas drôle ! Aller, tous ensemble, on va chanter ! Dans la montagne de la fiction absurde et pas drôleuh, dans la montagne de la fiction absurde et pas drôleuh. Dans ces p’tits nains il y avait beaucoup d’bière, dans ces p’tits nains il y avait beaucoup d’bière. C’est toute la bière des p’tits nains de la montagne de la fiction absurde et pas drôle.

Ha, qu’est ce qu’on a bien rigolé. Par contre, toi là-bas, au fond, tu vas chanter un peu mieux que ça, c’est mou, t’as intérêt, et même grand intérêt à me corriger ça pour la prochaine fois. Et ne fais pas le fier…

-Tiens, mais ce sont les nains muets ! s’exclama Greenstatik
-Eh mais oui ! Comment ça va les nains muets ?
-ça va, ça va…
-Vous avez pas vu SSSSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHHHHHARLES ?
-Non, désolé, faudra aller voir la tribu de gobelin pour ça.
-Des gobelins, je hais ces choses là !
-Si vous décidez de les affronter, allez en page 86, sinon, allez à la page 7.
-Oh oui, on va se les faire, page 86 !
-Les gobelins vous entourent, et vous mourrez dans d’atroces souffrances.
-Bon, on n’y va pas en fait, page 7 !
-Vous vous dirigez vers le camp gobelin, quand, regrettant votre erreur et votre adhésion irréfléchie à une donnée immédiate, vous décidez de faire demi-tour. Hélas, vous trébuchez sur une racine, et tirez la sonnette d’alarme du train qui passait par là, ce qui averti tous les gobelins, qui vous entourent et vous enfoncent leurs épées en travers du corps. Vous mourrez dans d’atroces souffrances.
-Heu… Je déteste ces livres dont vous êtes le héros, on a l’impression que tout est fait pour qu’on crève ! Allons-y.

Et c’est ainsi qu’ils se dirigèrent vaillamment vers le camp des peaux vertes. Pour aller les bouter. Parce qu’on le vaut bien, et que ce n’est pas donner à tout le monde. Mais VOUS pouvez NOUS rejoindre dans CETTE aventure palpitante à laquelle NOUS et peut-être même VOUS pouvez prendre part. Téléphonez NOUS maintenant !

Maintenant la phrase de la chanson :
« Et moi j'te connais à peine
Mais ce s'rait une veine
Qu'on s'en aille un peu comme eux
On pourrait se faire sans qu'ça gêne
De la place pour deux ».

Pour ceux qui ont reconnus, c’est tant mieux, pour les autres sachez que c’est William Sheller, et que la chanson s’appelle « Un Homme Heureux ». Pour moi, le délai imparti n’est toujours pas dépasser, comme quoi j’arrive à écrire de la merde sans trop de problèmes. Alors je vous dis à bientôt, et à la prochaine, continuez de lire ma fic, cliquez, cliquez bande de sale hopes, et un gros bisous sur la truffe, je vous aime. :cœur:

A la prochaine.


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