La fic pas drôle et absurde
Par : Sipro
Genre : Nawak , No-Fake
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 6
La maison de ClemHW
Publié le 02/01/11 à 18:53:13 par Sipro
Contrairement à ce que j’ai dit au chapitre 5, que nous allions dans la maison de ClemHW, bah c’est faux dans le chapitre 6, parce que je n’ai pas trop d’idées pour nous là-bas, donc on va aller dans les rues, c’est mieux, là on peut faire des trucs. Déjà, on s’était déguisés en Pringles géants, vous voyez le genre ? Je ne parle pas des chips hein, je parle du gars. Sauf que comme moi je n’avais pas de costume de Pringles (Je vais mettre Mr Pringles à partir de maintenant, car sinon ça va être difficile de comprendre), bah je me suis déguisé en…
Mister Monopoly. Eh oui, vous ragez comme des petits fours, vous krashez des flammes, vous voulez me brûlez, mais non, je suis désolé, vous ne pouvez pas. Je crois que le prochain chapitre traitera de la façon de faire une fic absurde (je dis bien absurde, et pas nawak, parce que la mienne est nawak, absurde et Jean passe (il passe beaucoup lui)).
Ainsi, marchant dans la rue, un marchand marchait, et nous nous chantions en marchant, en bons marchands que nous étions (Je rappelle que nous sommes des Mr. Pringles et un Mr. Monopoly). Mais vu que Vaga55 est une fille, elle n’était pas déguisée en monsieur. En revanche, quand on connait bien les bonhommes présents sur les boites des différents produits consommables (par consommable j’entends qui peut s’utiliser, et je veux que vous entendiez de même, sauf si vous êtes sourd, là vous vous êtes fait avoir, vous devrez rester coi, et non pas coït, sinon vous auriez été baisés), on sait qu’il n’existe pas de femmes (ou alors je m’en souviens pas, car la télé c’est de la merde, et je vais jamais dans les magasins, car c’est de la merde aussi, mais cet avis n’engage que moi, et vous feriez bien d’être du même avis que moi).
Donc elle était déguisée en Mr Pringles. A l’heure où j’écris, il reste 25 minutes avant que les promos du jour ne disparaissent sur Steam (Promos qui sont bien pourries). On marchait donc dans la rue, et, encore une fois Vaga55 va faire chier car c’est une fille, mais pas pour ce que vous croyez, pour autre chose en vrai, alors continuez de lire, faites-moi pas chié. Maintenant, je vais vous prier de passer ce paragraphe inutile, de sauter au prochain paragraphe que je n’ai pas encore tapé à l’heure où j’écris ces quelques lignes, mais alors, bordel de merde, allez vous partir de celui-ci ? Ouste ! Bon dieu, je vais chercher le balai !
Ah, vil et fieffé maraud ! Le temps que j’aille chercher le balai, et tu étais déjà parti. Tu fais gaffe à ton cul, c’est bien. Je sais que ce chapitre est moins drôle que les autres, mais à quoi tu t’attendais ? Va voir le titre, mais reviens vite, que l’histoire ne refroidisse pas. Tu as vu ? Non ? Qu’attends-tu donc ? La suite ? Tu t’en fous, hein ? Je vois. Alors allons au prochain paragraphe.
Nous marchions donc dans la rue (Je l’ai dit combien de fois ça ?), en chantant gentiment. « Well, you can tell by the way i use my walk, i’m a woman’s man, no time to talk. ». Seulement voyez vous, si cela résonnait bien, ça ne fonctionnait pas dans la bouche de Vaga55 à cause d’un seul mot. Le mot « Man ». Vaga55 n’est pas un homme, c’est une femme, donc elle m’empêche de faire ma fic correctement en m’obligeant à mentir sur ce point, donc elle fait chié. Mais ça ce n’est pas super important, m’voyez ?
En un chapitre de cette fic, nous avions eut le temps de marcher dans la rue en chantant une putain de phrase tiré d’une chanson des Bee Gees. Je commence à me demander vraiment comment j’arrive à écrire ça, surement avec mes doigts qui tapent sur chaque touche de clavier, qui écrit un mot, qui, ensemble, forment des mots, qui eux même forment des phrases, et qui forment toutes cette chose que j’ai appelé fiction. Arriverons nous à marcher jusqu’à l’autre bout de la rue ? Aurons-nous de nouvelles aventures aussi palpitantes que celles-ci ? Suite au prochain chapitre !
BONUS :
Mr Pringles :
Mr Monopoly :
Mister Monopoly. Eh oui, vous ragez comme des petits fours, vous krashez des flammes, vous voulez me brûlez, mais non, je suis désolé, vous ne pouvez pas. Je crois que le prochain chapitre traitera de la façon de faire une fic absurde (je dis bien absurde, et pas nawak, parce que la mienne est nawak, absurde et Jean passe (il passe beaucoup lui)).
Ainsi, marchant dans la rue, un marchand marchait, et nous nous chantions en marchant, en bons marchands que nous étions (Je rappelle que nous sommes des Mr. Pringles et un Mr. Monopoly). Mais vu que Vaga55 est une fille, elle n’était pas déguisée en monsieur. En revanche, quand on connait bien les bonhommes présents sur les boites des différents produits consommables (par consommable j’entends qui peut s’utiliser, et je veux que vous entendiez de même, sauf si vous êtes sourd, là vous vous êtes fait avoir, vous devrez rester coi, et non pas coït, sinon vous auriez été baisés), on sait qu’il n’existe pas de femmes (ou alors je m’en souviens pas, car la télé c’est de la merde, et je vais jamais dans les magasins, car c’est de la merde aussi, mais cet avis n’engage que moi, et vous feriez bien d’être du même avis que moi).
Donc elle était déguisée en Mr Pringles. A l’heure où j’écris, il reste 25 minutes avant que les promos du jour ne disparaissent sur Steam (Promos qui sont bien pourries). On marchait donc dans la rue, et, encore une fois Vaga55 va faire chier car c’est une fille, mais pas pour ce que vous croyez, pour autre chose en vrai, alors continuez de lire, faites-moi pas chié. Maintenant, je vais vous prier de passer ce paragraphe inutile, de sauter au prochain paragraphe que je n’ai pas encore tapé à l’heure où j’écris ces quelques lignes, mais alors, bordel de merde, allez vous partir de celui-ci ? Ouste ! Bon dieu, je vais chercher le balai !
Ah, vil et fieffé maraud ! Le temps que j’aille chercher le balai, et tu étais déjà parti. Tu fais gaffe à ton cul, c’est bien. Je sais que ce chapitre est moins drôle que les autres, mais à quoi tu t’attendais ? Va voir le titre, mais reviens vite, que l’histoire ne refroidisse pas. Tu as vu ? Non ? Qu’attends-tu donc ? La suite ? Tu t’en fous, hein ? Je vois. Alors allons au prochain paragraphe.
Nous marchions donc dans la rue (Je l’ai dit combien de fois ça ?), en chantant gentiment. « Well, you can tell by the way i use my walk, i’m a woman’s man, no time to talk. ». Seulement voyez vous, si cela résonnait bien, ça ne fonctionnait pas dans la bouche de Vaga55 à cause d’un seul mot. Le mot « Man ». Vaga55 n’est pas un homme, c’est une femme, donc elle m’empêche de faire ma fic correctement en m’obligeant à mentir sur ce point, donc elle fait chié. Mais ça ce n’est pas super important, m’voyez ?
En un chapitre de cette fic, nous avions eut le temps de marcher dans la rue en chantant une putain de phrase tiré d’une chanson des Bee Gees. Je commence à me demander vraiment comment j’arrive à écrire ça, surement avec mes doigts qui tapent sur chaque touche de clavier, qui écrit un mot, qui, ensemble, forment des mots, qui eux même forment des phrases, et qui forment toutes cette chose que j’ai appelé fiction. Arriverons nous à marcher jusqu’à l’autre bout de la rue ? Aurons-nous de nouvelles aventures aussi palpitantes que celles-ci ? Suite au prochain chapitre !
BONUS :
Mr Pringles :
Mr Monopoly :
02/01/11 à 21:30:15
C DKPAN !
02/01/11 à 18:59:50
Suspens...
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