La fic pas drôle et absurde
Par : Sipro
Genre : Nawak , No-Fake
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 11
Je veux pas donner de titre
Publié le 23/04/11 à 22:32:49 par Sipro
Nous marchions péniblement dans la forêt, armés de nos armes, coupantes, tranchantes, contendantes, perforantes, et Jean passe. Autour de nous, les oiseaux chantaient, tout était beau, tout était merveilleux. Nous marchions, sans réel autre but que d’accomplir la quête à laquelle nous étions destinées, qui nous serait donnée par un personnage non joueur anonyme, sans grande importance, aucune en fait, vu que c’est un personnage non joueur. (NPC en anglais, m’voyez ? Je suis presque bilingue ! Amazing ! (Non-playable Character, et non pas « Nuit pour coït », ou « Non au Parti Communiste »).)
Sur cet interlude, sous le bruit de nos pas, des oiseaux qui chantent et de la sublime musique tirée de Baldur’s Gate II (Si vous n’avez pas joué à ce jeu, vous avez trois possibilités. Vous jouez, ou vous vous pendez, ou vous continuez de lire ma fic, jouez puis vous pendez), nous avançâmes (bel emploi du passé) à travers la forêt lorsqu’un bruit étrange et effrayant, et alarmant, nous alarma. On entendit un très long…
« SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH… ARLES ! Où es-tu ? SSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHARLES ?! »
Ouf, le pire est évité. Monsieur ? Vous êtes le PNJ perdu ?
Oui, c’est moi ! J’ai une quête à vous donner !
Non, sans rire, apprenez nous quelque chose que l’on ne sait pas…
Dans le Rhode Island, à Providence, il est illégal de vendre du dentifrice et une brosse à dents au même client un dimanche.
Mais ça à quoi en rapport avec la quête ?
Rien, mais vous devez retrouvez SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHARLES, qui s’est perdu dans une tribu de gobelin à Pic-Chardon, mais ça vous emmènera dans pleins de péripéties, qui à la fin, conduiront l’un de vous à une mort certaines, tandis que les autres mangeront de la guimauve.
Guimauve ? Mais vous utilisez un mot qui n’est plus usité !
Vraiment ? Alors, comprenez Marshmallow.
Oui, je comprends. Allons-y !
Mais, vous ne vous étonnez pas que l’un de vous doit mourir ? Vous n’avez pas de questions ?
Si, une. C’est Yo-yoshi qui meurt ?
Ça compte pas, c’est une question rhétorique.
Donc ?
Oui.
Ouf.
Eh oui.
Enfin.
Bah…
Ça arrive.
Comme vous dites.
Trèves de bavardages, on a du pain sur la planche.
Et de la planche sous le pain.
Exactement mon bon monsieur. C’est quoi votre nom ?
Jean passe.
Bien, nous allons retrouvez SSSSSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHHARLES. Allez nous attendre à l’auberge.
Mais ça va prendre des mois !
Osef, t’es un PNJ, connard ! Maintenant casse toi !
Ok.
Mais avant, téléportez nous.
Ah, parce que je suis censé être un mage maintenant ? Et celui de votre groupe ?
Bon, vas à l’auberge, citoyen non décrit, tu nous fait perdre un temps précieux.
Donc le temps c’est de l’argent ?
Oui, mais l’argent n’est pas du temps. Ni du thon.
Je vais méditer là dessus.
Bonne idée. Allons-y compagnon !
Ouais ! Youhou ! Youpi !
Bonus :
Un dessin de la bande ! (Et du PNJ !)
Mais plus tard. Au prochain chapitre, je pense.
Sur cet interlude, sous le bruit de nos pas, des oiseaux qui chantent et de la sublime musique tirée de Baldur’s Gate II (Si vous n’avez pas joué à ce jeu, vous avez trois possibilités. Vous jouez, ou vous vous pendez, ou vous continuez de lire ma fic, jouez puis vous pendez), nous avançâmes (bel emploi du passé) à travers la forêt lorsqu’un bruit étrange et effrayant, et alarmant, nous alarma. On entendit un très long…
« SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH… ARLES ! Où es-tu ? SSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHARLES ?! »
Ouf, le pire est évité. Monsieur ? Vous êtes le PNJ perdu ?
Oui, c’est moi ! J’ai une quête à vous donner !
Non, sans rire, apprenez nous quelque chose que l’on ne sait pas…
Dans le Rhode Island, à Providence, il est illégal de vendre du dentifrice et une brosse à dents au même client un dimanche.
Mais ça à quoi en rapport avec la quête ?
Rien, mais vous devez retrouvez SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHARLES, qui s’est perdu dans une tribu de gobelin à Pic-Chardon, mais ça vous emmènera dans pleins de péripéties, qui à la fin, conduiront l’un de vous à une mort certaines, tandis que les autres mangeront de la guimauve.
Guimauve ? Mais vous utilisez un mot qui n’est plus usité !
Vraiment ? Alors, comprenez Marshmallow.
Oui, je comprends. Allons-y !
Mais, vous ne vous étonnez pas que l’un de vous doit mourir ? Vous n’avez pas de questions ?
Si, une. C’est Yo-yoshi qui meurt ?
Ça compte pas, c’est une question rhétorique.
Donc ?
Oui.
Ouf.
Eh oui.
Enfin.
Bah…
Ça arrive.
Comme vous dites.
Trèves de bavardages, on a du pain sur la planche.
Et de la planche sous le pain.
Exactement mon bon monsieur. C’est quoi votre nom ?
Jean passe.
Bien, nous allons retrouvez SSSSSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHHARLES. Allez nous attendre à l’auberge.
Mais ça va prendre des mois !
Osef, t’es un PNJ, connard ! Maintenant casse toi !
Ok.
Mais avant, téléportez nous.
Ah, parce que je suis censé être un mage maintenant ? Et celui de votre groupe ?
Bon, vas à l’auberge, citoyen non décrit, tu nous fait perdre un temps précieux.
Donc le temps c’est de l’argent ?
Oui, mais l’argent n’est pas du temps. Ni du thon.
Je vais méditer là dessus.
Bonne idée. Allons-y compagnon !
Ouais ! Youhou ! Youpi !
Bonus :
Un dessin de la bande ! (Et du PNJ !)
Mais plus tard. Au prochain chapitre, je pense.
23/04/11 à 23:27:56
ça devient vexant, à la fin...
23/04/11 à 22:38:09
Suite, retrouvons SHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHARLES !
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