Julie et moi
Par : Ptite_Princess
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 17
Publié le 30/09/08 à 19:07:54 par Ptite_Princess
Chaque fois qu'on croisait les gars, ils partaient à la plage. Anthony me regardait de haut en bas. Et même si j'étais accroché au bras de Julie, je pouvais pas m'empêcher de le regarder. Ses bras, ses fesses, son dos musclé et tendu. J'étais humide. Je le désirais et je pense qu'il s'en rendait compte. Il me dévisageait. Je me disais que peut être je le faisait bander. Certes je n'étais pas un mannequin, mais j'avais appris à mettre en avant mes atouts de femme. Et il ne me regardait jamais dans les yeux sans avoir, avant, reluquer mon balcon! Mais on ne se parlait pas vraiment car Julie était toujours là, et l'atmosphère était électrique. Surtout quand il me faisait des compliments. Une fois même, alors que nous étions tous les quatre dans la cuisine en train de déjeuner, il me demanda si je voulais pas l'accompagner le soir... que tous les deux... Ben fut interloqué et lui demanda d'arrêter de "déconner"...Julie... elle lui aurait presque sauté à la gorge. C'était jubilatoire de la voir se déchainer comme ça pour moi. Elle était tellement excitante, ses seins se durcissaient, elle était toute nerveuse. Et pour la calmer on était monté dans sa chambre, et là, je l'ai caressé, embrassé et j'ai libéré ses pulsions avec un cuni très, très long.... Moi j'ai adoré ça, et elle aussi. C'était bon de se sentir autant désirer. Lui c'était purement sexuel. Et elle, je lui appartenais, j'étais son bien précieux qu'elle ne voulais pas perdre.
Mais Julie devait aller avec ses parents cinq jours dans leur pavillon à la montagne. Elle ne voulais pas y aller. Ses parents l'emmenèrent plus ou moins de force pour "voir sa grand mère malade", une excuse en bois....puisque Ben n'y était pas obligé. La veille de son départ j'étais triste. On venait de faire l'amour chez moi. Sur mon lit, allongées, en sueur, ruisselante, elle pris ma main et me dit:
"- Sophie.... J'ai vu comment il te matte..... Je sais qu'au fond.... tu voudrais voir ce qu'il en est..... non?
- Tu parles d'Anto? J'étais gênée, mais je répondit "... disons que ... c'est excitant...... mais je ferais rien!
- Je le savais. Fais ce que tu veux.....dit-elle triste et fâchée.
Je me penchais sur elle pour l'embrasser, mais elle tourna la tête.
"- Promet moi que si tu le fais, tu ne me le diras pas avant qu'il soit partit.
- mais.... Julie.... J'avais envie de lui. C'était indéniable. Mais si ça la faisait souffrir, le jeux n'en valait pas la chandelle.
- Promet moi. Je sais qu'il va vouloir te séduire, il va profiter que je parte et ....
Je l'embrassais. Puis je glissais ma main jusque sur son sexe encore humide. Je la caressais doucement, rentrais un doigt... je sentais ses contractions. Je l'embrassais encore.
"- Si ça te fais du mal, je le ferais pas. Et puis ... il ne pourra jamais remplacer ce que j'ai au bout de mes doigts.... Toi."
C'était vain de lui faire croire que je n'avais pas envie de lui. Mais je voulais la rassurer.
Elle partit le lendemain.
Mais Julie devait aller avec ses parents cinq jours dans leur pavillon à la montagne. Elle ne voulais pas y aller. Ses parents l'emmenèrent plus ou moins de force pour "voir sa grand mère malade", une excuse en bois....puisque Ben n'y était pas obligé. La veille de son départ j'étais triste. On venait de faire l'amour chez moi. Sur mon lit, allongées, en sueur, ruisselante, elle pris ma main et me dit:
"- Sophie.... J'ai vu comment il te matte..... Je sais qu'au fond.... tu voudrais voir ce qu'il en est..... non?
- Tu parles d'Anto? J'étais gênée, mais je répondit "... disons que ... c'est excitant...... mais je ferais rien!
- Je le savais. Fais ce que tu veux.....dit-elle triste et fâchée.
Je me penchais sur elle pour l'embrasser, mais elle tourna la tête.
"- Promet moi que si tu le fais, tu ne me le diras pas avant qu'il soit partit.
- mais.... Julie.... J'avais envie de lui. C'était indéniable. Mais si ça la faisait souffrir, le jeux n'en valait pas la chandelle.
- Promet moi. Je sais qu'il va vouloir te séduire, il va profiter que je parte et ....
Je l'embrassais. Puis je glissais ma main jusque sur son sexe encore humide. Je la caressais doucement, rentrais un doigt... je sentais ses contractions. Je l'embrassais encore.
"- Si ça te fais du mal, je le ferais pas. Et puis ... il ne pourra jamais remplacer ce que j'ai au bout de mes doigts.... Toi."
C'était vain de lui faire croire que je n'avais pas envie de lui. Mais je voulais la rassurer.
Elle partit le lendemain.
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