C'est chaud de pas savoir ce qu'il va vous arriver! D'imaginer pleins de trucs et de pas savoir. D'autant plus qu'elle ne répondit pas. Elle continuait à boire mon breuvage, en écartant mes jambes plus large. Elle commença à faire rouler l'objet à l'intérieur de mes cuisses. C'était froid. Mais ma fente ruisselais de plaisir devant cette chose inconnu. Elle savait m'exciter. Et peut importait ce qu'elle avait trouvé, elle me couvrait de volupté et de bien-être. Elle passa l'objet sur tout mon corps. Je commençais à deviner, un bout arrondi, un objet long... Mon vagin se contractait de désir! Je lui dis dans un souffle:
"- Je suis ...mmmm... vierge, tu sais?...mmm...
- Je sais. Mais c'est pas comme si j'étais un homme.... Tu le seras toujours pour ton premier, même si tu fais l'amour avec moi, non?
- ... je sais pas... oui... mmm... peut être.
- Et puis je veux te pénétrer la première. Qu'aucun des mecs que tu auras après ne puisse m'enlever ça.
- ... Tu crois que ...mmmm... qu'un hommmmmme....mmm.... voudra de moi un jour?
- Tu as envie d'essayer avec un mec, non?
- ...ben... j'étais gêner de parler de quelqu'un d'autre en lui faisant l'amour.
- T'inquiètes, je le sais. Tu es avec moi, mais je sais que tu fantasmes sur les mecs. C'est juste que, je veux pas que ce soit facile pour eux de t'arracher à moi, ils devront se battre pour te donner autant de plaisir."
Elle disait ça comme si j'allais la quitter. C'était loin de mes pensées, je voulais pas la quitter, pour rien au monde! Mais je trouvais rien à dire, à part:
"- ...Julie... je ....
- T'en fais pas. C'est normal. La première fois que je t'ai touché, je savais quelles seraient les conséquences.
- Mais... Tu sais que tu es la seule que j'ai jamais désiré. Je t'aime. Je veux pas que tu crois que..."
Elle ne me laissa pas finir, elle remonta vers ma bouche, et je senti ses lèvres me donner un baiser si tendre que jeu une contraction vraiment intense. Sa langue chaude dans ma bouche était une caresse qui vallait cent doigts dans mon vagin.
" - Tais toi, dit-elle dans ton redevenu léger. Je vais te faire mon cadeau quand même."