Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Moi, 17 ans, super-héros


Par : -Bane
Genre : Science-Fiction, Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 3 : Accident


Publié le 26/05/2012 à 22:45:01 par -Bane

Je me réveilla vers 10 heures, ma première vision était idyllique, les belles fesses rebondies de mon amour :coeur: Après quelques minutes de contemplation de ce visage d?ange, elle se réveilla.

« -Bien dormi bébé?
- Magnifiquement bien :coeur: »

Elle me serra fort dans mes bras et put voir que Michel était réveillé lui aussi.

« T?es toujours en forme toi? » Dit-elle en observant mon zboub d?un air songeur.
« - Seulement pour les jolies filles :cool:
- Ah bah j?aurais besoin d?énergie alors :rire: Mais pas ce matin, je suis encore crevée là?
- Je comprends, je comprends? ( <img src=("> ) Bon, on fait quoi aujourd?hui? J
- Hmm? Un petit resto-ciné? :-p
- Ok on fait ça :coeur: ( Et qui est-ce qui va raquer? :hum: )
- :coeur: »

Quelques heures plus tard, vers 21 heures?

« -Pas mal ce film, t?en dis quoi Matt?
-Ouais c?était sympa! :-)
- Par contre c?est quoi ce coin craignos?
- C?est la Zone Industrielle, c?est pas craignos, c?est moche c?est tout. C?est que quelques usines et des labos de chimistes :-D Et puis, c?est le seul chemin pour aller au resto dont je t?ai parlé?
- Ah tu me rassures :-D :coeur: »

Soudain, une ombre furtive nous frôla et piqua le sac de Léa <img src=(">

« Hé! Reviens-ici! Bébé, tiens, prends ma veste et attend moi ici! »
Sur ces mots, je me mis à la poursuite du voleur, je courais plus vite que lui et allai le rattraper, soudain, il bifurqua et entra dans un bâtiment abandonné qui portait l?enseigne « Laboratoire du Docteur Kramp », je le suivit.

C?était un petit bâtiment, de dehors il paraissait abandonné, sans protection système de détection ni rien lais à l?intérieur, tout semblait neuf et clean. Des dizaines d?ordinateurs tournaient à fond et faisaient des dizaines et des dizaines de calculs. Des liquides de toutes les couleurs bouillonnaient et fumaient, il y avait des dizaines d?armoires condamnées dans lesquelles on pouvait apercevoir des seringues remplis de liquides aux couleurs étranges. Soudain, mon poursuivant fut enfin acculé, il était dans une sorte d?annexe minuscule remplies d?étagères contenant des seringues, sur les étagères, il était écrit « Sérums en tests ».

Tout à coup, le voleur sortit un couteau.
« Fais pas le fou ou je te plante pauvre fiotte! » me lança-t-il.
« - Oula! Mec, calme-toi! Ne fais pas l?idiot, surtout, ne fais pas de connerie!
- Ta gueule! C?est moi qui suis en position de force donc tu fermes ta gueule ok? »

Nous nous observâmes durant de longues secondes qui me parurent des heures.
Et tout à coup, je trouva une faille! Durant un instant d?inattention du voleur, je saisit l?une des nombreuses seringue et la lui planta dans la main, le liquide s?y déversa et, à ma grande surprise, sa main se putréfia en un instant. Il hurlait de douleur et, de sa main valide, il attrapa un seringue qu?il me planta dans le cou, à cet instant même, je vit mes veines se gonfler, devenir énormes, je respirai avec difficulté, et je tomba au sol.

« Putain, je sais pas c?est quoi cet endroit de malade mais on y trouve des trucs bien marrants? » me dit le voleur tout en ramassant son couteau. « Aller, je vais te finir et ensuite j?irai passer du bon temps avec ta copine, et si je suis satisfait, peut être même que je lui rendrai son sac! Gwahahahahaha! »

Il s?approcha dangereusement de moi, son couteau à la main. Comme un signe instinctif, je mit un bras devant moi comme pour me protéger, il avançait, il avançait, je ferma les yeux, sentant mon dernier instant venir, puis je pensa à Léa, et là?

« BANG! » Un coup de feu retentit. J?entendit quelque chose tomber, j?entrouvrit les yeux, je ne vit qu?une partie de mon avant-bras, mes veines étaient gonflées et reluisaient de vert, j?ouvrit les yeux et vit ma main, du moins, ce qui était à la place de main.

Mon pignet et ma main s?étaient transformé en canon de pistolet, il fumait encore. Davant moi, le corps du voleur, transpercé d?une balle au niveau du thorax, il ne respirait plus. J?observait ma main qui reprit peu à peu sa forme, mes veines redevenaient normales.

Sous le choc, j?avais du mal à calculer, je saisit le sac de Léa et sortit.

« -Bébé, que s?est-il passé?
- Rien, absolument rien. » lui mentis-je.

Illustration: http://www.noelshack.com/2012-21-1338064849-iPhone-image-05-26-2012..jpg


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