enfermé dans la cave de ma cousine
Par : boxxy
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Publié le 18/02/12 à 03:23:39 par boxxy
Le temps passais. Lentement. Très lentement. Chaque seconde me semblait être une éternité. Je regardai ma montre pour la 15 ème fois au moins en une heure. Celle-ci affichait "02H04 AM."
Voilà bientôt 6 heures que nous croupissions dans cette maudite cave. Je ne cessais de me remémorer ce satané moment où j'avais fermé la porte, nous condamnant ainsi à l'enfermement moi et ma cousine. Je me sentais prisonnier, condamné à perpétuité pour avoir simplement donné un coup de hanche dans un morceau de métal. Là encore, j'avais l'impression qu'on se moquait de moi. Un si petit geste, entraînant de si grandes conséquences... C'est comme si une entité maléfique prenait plaisir à me jouer des tours, comblant ainsi sa soif de sadisme en nous regardant moisir dans cet entrepôt.
Soudain, Jessica bougea dans son sommeil. Elle était assise de telle sorte que ses fesses étaient posées juste en dessous de ma ceinture. Ce mouvement, bien que succin, provoqua automatiquement en moi des pensées qui stimulèrent la circulation sanguine à cet endroit précis. Au début, je me dégoûtai presque à avoir ce genre d'envie. Mais je suis un homme, je n'y peux rien car moi plus que quiconque n'était en mesure de contrôler mes pulsions de mâle à cet instant.
Une pensée en entraînant une autre, je vis le désir de lui caresser le bras naître en moi. Ce que je fis en essayant de me convaincre moi-même de la banalité de ce geste.
Mon sweat étant trop large pour elle, et je n'eus aucune difficulté à passer ma main en-dessous de celui-ci. Sa peau était douce et fraîche, à l'image de l'entièreté du corps de ma cousine. Je passais un bon moment. J'aimais la caresser avec cette bienveillance que j'avais dans le regard en la fixant. Bienveillance néanmoins emprunt de désir sexuel que je trouvais de plus en plus difficile à contenir. Mon pénis était devenu maintenant totalement dur. Ma main, qui jusqu'à présent se contentait seulement de lui effleurer le bras, devint plus courageuse et s'aventura au-delà de ses limites. Timidement, je lui caressai la poitrine, prenant garde à ne pas trop appliquer de pression de peur d'en réveiller la propriétaire. C'était bon, c'était chaud et j'étais presque effrayé de la tournure des événements. J'en voulais toujours plus et l'augmentation de mon excitation était exponentielle.
je me risquai à passer un doigts sur sa culotte et fis de petites rotations avec celui-ci. Sous l'action de mes mouvements doigtiers, sa culotte s'imbiba de liquide qui vint mouiller mon indexe. Après quoi, je crus que mon pénis allait exploser d'inactivité. Tout à coup,elle bougea à nouveau, comme si elle en frétillait. Elle laissa échapper un petit "mmm" qui me stoppa net dans ma lancée. Se pourrait-il qu'elle soit éveillée? Je n'osais plus bouger. Je n'étais vraiment pas sûr si elle feignait de dormir ou si elle avait agit sous l'influence d'un rêve.
Dans le doute, je retirai tout gentiment ma main gauche qui était encore en contact avec son seins, tandis ce que l'autre abandonna son refuge pour aller se caser dans la poche de mon pantalon, non sans une certaine déception. Je transpirais de honte. J'espérais à tout prix qu'elle n'y avait vu que du feu.
Et si elle n'avait pas osé intervenir pour ne pas à avoir me faire remarquer cette situation gênante? Et si elle me haïssait maintenant secrètement à cause de de mon odieux acte, qui pouvait s'apparenter à du viol? Ces questions rebondissaient dans mon esprit comme un écho à jamais inachevé.
Encore une fois je fermai les yeux. Je priai un quelconque dieu pour que ma cousine ait été en train de rêver joyeusement durant mon moment de faiblesse. J'aurais aimé ne plus exister, disparaître ou encore me rétrécir jusqu'à n'en devenir qu'un minuscule petit atome.
Voilà bientôt 6 heures que nous croupissions dans cette maudite cave. Je ne cessais de me remémorer ce satané moment où j'avais fermé la porte, nous condamnant ainsi à l'enfermement moi et ma cousine. Je me sentais prisonnier, condamné à perpétuité pour avoir simplement donné un coup de hanche dans un morceau de métal. Là encore, j'avais l'impression qu'on se moquait de moi. Un si petit geste, entraînant de si grandes conséquences... C'est comme si une entité maléfique prenait plaisir à me jouer des tours, comblant ainsi sa soif de sadisme en nous regardant moisir dans cet entrepôt.
Soudain, Jessica bougea dans son sommeil. Elle était assise de telle sorte que ses fesses étaient posées juste en dessous de ma ceinture. Ce mouvement, bien que succin, provoqua automatiquement en moi des pensées qui stimulèrent la circulation sanguine à cet endroit précis. Au début, je me dégoûtai presque à avoir ce genre d'envie. Mais je suis un homme, je n'y peux rien car moi plus que quiconque n'était en mesure de contrôler mes pulsions de mâle à cet instant.
Une pensée en entraînant une autre, je vis le désir de lui caresser le bras naître en moi. Ce que je fis en essayant de me convaincre moi-même de la banalité de ce geste.
Mon sweat étant trop large pour elle, et je n'eus aucune difficulté à passer ma main en-dessous de celui-ci. Sa peau était douce et fraîche, à l'image de l'entièreté du corps de ma cousine. Je passais un bon moment. J'aimais la caresser avec cette bienveillance que j'avais dans le regard en la fixant. Bienveillance néanmoins emprunt de désir sexuel que je trouvais de plus en plus difficile à contenir. Mon pénis était devenu maintenant totalement dur. Ma main, qui jusqu'à présent se contentait seulement de lui effleurer le bras, devint plus courageuse et s'aventura au-delà de ses limites. Timidement, je lui caressai la poitrine, prenant garde à ne pas trop appliquer de pression de peur d'en réveiller la propriétaire. C'était bon, c'était chaud et j'étais presque effrayé de la tournure des événements. J'en voulais toujours plus et l'augmentation de mon excitation était exponentielle.
je me risquai à passer un doigts sur sa culotte et fis de petites rotations avec celui-ci. Sous l'action de mes mouvements doigtiers, sa culotte s'imbiba de liquide qui vint mouiller mon indexe. Après quoi, je crus que mon pénis allait exploser d'inactivité. Tout à coup,elle bougea à nouveau, comme si elle en frétillait. Elle laissa échapper un petit "mmm" qui me stoppa net dans ma lancée. Se pourrait-il qu'elle soit éveillée? Je n'osais plus bouger. Je n'étais vraiment pas sûr si elle feignait de dormir ou si elle avait agit sous l'influence d'un rêve.
Dans le doute, je retirai tout gentiment ma main gauche qui était encore en contact avec son seins, tandis ce que l'autre abandonna son refuge pour aller se caser dans la poche de mon pantalon, non sans une certaine déception. Je transpirais de honte. J'espérais à tout prix qu'elle n'y avait vu que du feu.
Et si elle n'avait pas osé intervenir pour ne pas à avoir me faire remarquer cette situation gênante? Et si elle me haïssait maintenant secrètement à cause de de mon odieux acte, qui pouvait s'apparenter à du viol? Ces questions rebondissaient dans mon esprit comme un écho à jamais inachevé.
Encore une fois je fermai les yeux. Je priai un quelconque dieu pour que ma cousine ait été en train de rêver joyeusement durant mon moment de faiblesse. J'aurais aimé ne plus exister, disparaître ou encore me rétrécir jusqu'à n'en devenir qu'un minuscule petit atome.
18/03/12 à 15:22:12
je plussoie cadu
23/02/12 à 01:44:29
Neeeeeed la sweeeeeet
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