enfermé dans la cave de ma cousine
Par : boxxy
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
3
Publié le 15/02/12 à 11:22:39 par boxxy
Alors que je vaquais à de pensées de plus en plus douteuses, ma cousine brisa le silence en me lançant un "Eh" retentissant dans la salle.
Je lui répondit spontanément: "quoi?"
"Tu trouves pas qu'il fait froid?" me dit-elle
Avant de lui donner ma réponse négative, je me rendit compte que sous sa légère et fine blouse de coton, elle ne devait pas vraiment se sentir à l'aise vu la fraîcheur du lieu. Je lui proposai donc d'enfiler mon sweat-shirt, en affirmant que mes couches d'en-dessous me suffiraient sûrement à maintenir une température acceptable. Elle refusa premièrement par soucis de politesse je suppose, mais en constatant la chaire de poule qui proliférait sur sa peau, je n'hésitai pas à enlever mon sweat afin de le lui donner. Elle me lança :" t'es un ange" avec un petit sourire en coin, dont je n'arrivais pas à en deviner la signification. Je lui demandai donc:
"C'est quoi ce sourire?"
Elle me répondit alors:
"Oh tu sais vraiment pas?"
"Euh... Pas vraiment non" dis-je
"C'est juste que j'ai toujours froid, le sol est gelé" Dit-elle en réitérant son sourire indécryptable
Une partie enfouie en moi était persuadée que si je lui proposais de s'asseoire sur mes genoux, un événement perturbateur surgirait de sous la surface du calme environnant. Cependant, je le lui proposai tout de même. Et je dois avouer, non sans certaines arrières pensées persistantes dans mon cortex. Mais après tout, je faisais ça pour qu'elle n'ait plus à reposer sur un sol dur et glacée.
Elle me remercia de lui avoir suggéré ceci, car, me dit-elle, elle n'aurait osé le demander d'elle même directement. Je lui répondit alors:
"C'est normal, je suis un homme" D'un ton que je voulais apaisant.
Dans une expression d'étonnement, elle rétorqua:
"Ah vraiment?"
Toujours en ne comprenant pas le sens de cette discussion je lui répondis donc:
"Eh bien...Oui"
Sa réponse me fis littéralement prendre l'expression faciale d'un singe devant une banane qui parle. Et pour cause, elle affirma innocemment:
"Il existe une citation bien connue qui dit"Je ne crois que ce que je vois""
Elle venait de m'avouer de manière sous-jacente l'inavouable. L'incestueux inavouable.
D'une façon bien pitoyable, je déviai le sujet en rétorquant:
"Elle est pas si connue que ça tu sais..."
je bégayais. Elle ria.
Je coupai son gloussement en lui disant d'un ton légèrement agacé:
"Bon tu t'assieds ou pas?"
Sans se faire prier, elle s'exécuta.
Une fois confortablement assis sur mes jambes elle me demanda:
"On fait quoi maintenant?"
Cette phrase fit soudainement casser la bulle qui s'était comme créé lors de notre précédente discussion. A son éclat, la morne et triste réalité m'envahis tel un Tsounami s'abattant sur une plage indonésienne. Découragé, je répondit misérablement:
"Essaye de dormir, on a rien de mieux à faire de toute manière"
"Rien d'autre, tu en est sûr?"
Je fis mine de ne pas saisir son sous-entendu et ferma les yeux.
Je ne voulais plus rien entendre, plus rien voir et plus rien penser.
Je lui répondit spontanément: "quoi?"
"Tu trouves pas qu'il fait froid?" me dit-elle
Avant de lui donner ma réponse négative, je me rendit compte que sous sa légère et fine blouse de coton, elle ne devait pas vraiment se sentir à l'aise vu la fraîcheur du lieu. Je lui proposai donc d'enfiler mon sweat-shirt, en affirmant que mes couches d'en-dessous me suffiraient sûrement à maintenir une température acceptable. Elle refusa premièrement par soucis de politesse je suppose, mais en constatant la chaire de poule qui proliférait sur sa peau, je n'hésitai pas à enlever mon sweat afin de le lui donner. Elle me lança :" t'es un ange" avec un petit sourire en coin, dont je n'arrivais pas à en deviner la signification. Je lui demandai donc:
"C'est quoi ce sourire?"
Elle me répondit alors:
"Oh tu sais vraiment pas?"
"Euh... Pas vraiment non" dis-je
"C'est juste que j'ai toujours froid, le sol est gelé" Dit-elle en réitérant son sourire indécryptable
Une partie enfouie en moi était persuadée que si je lui proposais de s'asseoire sur mes genoux, un événement perturbateur surgirait de sous la surface du calme environnant. Cependant, je le lui proposai tout de même. Et je dois avouer, non sans certaines arrières pensées persistantes dans mon cortex. Mais après tout, je faisais ça pour qu'elle n'ait plus à reposer sur un sol dur et glacée.
Elle me remercia de lui avoir suggéré ceci, car, me dit-elle, elle n'aurait osé le demander d'elle même directement. Je lui répondit alors:
"C'est normal, je suis un homme" D'un ton que je voulais apaisant.
Dans une expression d'étonnement, elle rétorqua:
"Ah vraiment?"
Toujours en ne comprenant pas le sens de cette discussion je lui répondis donc:
"Eh bien...Oui"
Sa réponse me fis littéralement prendre l'expression faciale d'un singe devant une banane qui parle. Et pour cause, elle affirma innocemment:
"Il existe une citation bien connue qui dit"Je ne crois que ce que je vois""
Elle venait de m'avouer de manière sous-jacente l'inavouable. L'incestueux inavouable.
D'une façon bien pitoyable, je déviai le sujet en rétorquant:
"Elle est pas si connue que ça tu sais..."
je bégayais. Elle ria.
Je coupai son gloussement en lui disant d'un ton légèrement agacé:
"Bon tu t'assieds ou pas?"
Sans se faire prier, elle s'exécuta.
Une fois confortablement assis sur mes jambes elle me demanda:
"On fait quoi maintenant?"
Cette phrase fit soudainement casser la bulle qui s'était comme créé lors de notre précédente discussion. A son éclat, la morne et triste réalité m'envahis tel un Tsounami s'abattant sur une plage indonésienne. Découragé, je répondit misérablement:
"Essaye de dormir, on a rien de mieux à faire de toute manière"
"Rien d'autre, tu en est sûr?"
Je fis mine de ne pas saisir son sous-entendu et ferma les yeux.
Je ne voulais plus rien entendre, plus rien voir et plus rien penser.
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