Breizh, Heol ha Brini
Par : Danlku
Genre : Action , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Deiz 1
Publié le 27/06/12 à 16:25:57 par Danlku
Les quelques rayons du soleil faisaient rayonner la rosée du matin et l'on aurait pu croire qu'il s'y trouvait mille et un diamants. Les murs de la grande et froide pièce qui nous faisait office de chambre commençait à prendre un teint doré. Les courants d'air qui traversaient la fenêtre entrouverte faisaient danser les rideaux comme les vagues d'une mer d'azur qui s'échouaient lentement sur une plage de granit rose. Apparemment la dernière semaine de cours avant les vacances s'annonçait bien.
Je fus réveillé le premier par les vibrations de mon téléphone portable. Je pris le verre d'eau qui était posé sur ma table de chevet, le bus lentement et rafraichi mon visage avec les quelques goûtes qui restaient dedans puis je me frotta le visage avec ma main. Steven dormait toujours, et ça s'entendait. Comme chaque matin, le premier debout devait réveiller l'autre. J'ouvris donc mon tiroir et sorti mon Dan Wesson 6 pouces chromé.
Bang !
-Putain de merde ! Ca va pas de me brûler la peau avec des trucs pareil le matin ?
-Arrêtes de te plaindre ce sont juste des billes en plastique.
-Le jour où je me réveillerai le premier c'est à coup de pioche dans le cul que je te ferais sortir du lit ! Bon il est quelle heure ?
-Six heures, comme tout les matins de cours...
Le rituel du matin commençait. Enfiler notre robe de chambre, prendre le déjeuner, se brosser les dents et s'habiller. Notre accoutrement ne passait pas inaperçu, gilet, gousset, et un caban breton, le tout pour une somme dont j'imaginais le nombre de chiffre, mais à en voir l'allure, je pense que le vieux s'était fait escroquer, heureusement que l'on avait tout de même le droit à un jean.
Nous quittions le manoir vers six heures et demi, et nous dirigions vers l'arrêt de bus qui se trouvait à deux kilomètres et demi de là. Derrière nous l'imposante maison diminuait au rythme de nos pas qui frottaient le sol. C'était une gigantesque bâtisse, invraisemblable et imaginaire digne d'un compte de fée. Elle devait atteindre les vingt-cinq mètres de haut, formé de plusieurs tours en granit et relier par des pontons. Plusieurs étendards et écussons décorais les murs extérieurs et abordaient les initiales de la noble famille dont je faisait partie, les De Poligatebras. Malgré tout les détails qu'il y avait, le bâtiment gardait un air froid et peu hospitalier... Les jardins eux aussi, immense et dont toute les fleurs étaient fanées, chose étrange en cette saison.
La marche était rapide, sans un mot, Steven avait ses écouteurs dans les oreilles. Nous coupions par les champs après avoir escaladés un talus, pour gagner quelques précieuses minutes. J'aimais marcher lentement à caresser les épis de blé comme j'aurais caresser les cheveux d'une fille, si cette dernière en avait bien évidemment, le tout accompagné du champ des oiseaux et du bruit des plantations bercées par le vent.
-Tu penses que ce sera toujours Garret notre chauffeur l'année prochaine ?
-J'en sais trop rien...
-Ca sera bizarre quand il ne sera plus là, t'en penses quoi Ed ?
-Je pense que j'aurais la même réaction que toi...
Garret venait nous prendre tout les matins à l'arrêt de bus depuis maintenant une dizaine d'années. Il était cousin éloigné avec le vieux et c'était ce dernier qui avait insister pour qu'il passe pas trop loin de chez nous et ainsi rallongé son trajet direction Guinnion. C'était devenu un ami pour nous, plus qu'un ami même, c'était presque notre père. On s'installait le plus souvent aux sièges avant pour parler avec lui pendant les trente minutes qui nous séparaient de la ville. Mais cette fois les sièges étaient prient et nous devions aller nous installer à l'arrière.
-Salut Garret.
-Bonjour les jeunes.
-On a encore oublié notre carte.
-Pas bien grave, aller, montez !
Comme à chaque fois tout le monde détournait son regard en nous voyant passer et certain murmurait des insultes tout bas. Tout cela parce que l'on était fringués différemment et que nous faisions rallongé la durée de cinq minutes à peine. Mais pensaient-ils vraiment que nous étions heureux de notre propre situation. Rejetés des autres et insultés à tout vas... Personne ne l'aurait envié, du moins je ne pense pas. Une fois même Steven avait eu à me défendre d'une bande de gars qui voulait mon portefeuille et mon manteau, mais mon frère n'était pas du genre à se laisser faire...
-Steve ?
-Hmmm ?
-Tu vois la fille là-bas ?
-La blondinette ?
-Ouais, elle nous fixe depuis tout à l'heure.
-Tu crois qu'elle veut mon numéro ?
-T'as qu'un numéro dans ton répertoire et c'est le mien...
-Bah ça vaut le coup de lui donner un peu à manger.
-Je pensais pas à ça, tu vois son regard, c'est pas le genre de regard noir à nous lancer des éclairs.
-Et alors, tu veux que je lui casse la gueule ?
-Quel romantisme...
-Bon je me lance je vais la voir.
Steven se leva et marcha en direction du siège de sa promise, faisant profiter à chaque passager l?agréable odeur matinale de ses aisselles. Il s'apprêta à l'accoster lorsque tout d'un coup un long flash lumineux intervint suivit d'une énorme secousse, le bus fit un tête à queue et s'effondra sur une autre voiture qui circulai sur l'autoroute puis plus rien...
Quand fus-je réveiller ? Au bout de combien de temps ? Combien avais-je d'os brisés ? Y avait-t-il d?autres survivants ? Allai-je mourir ? Tant de questions dont j'attendais la réponse.
Je sentais une petite fraicheur sur mon front, comme des goutes d'eau, cela faisait du bien. J'ouvris les yeux et sursauta en voyant qui s'agissait de gouttes de sang qui tombait de puis l'une des vitre brisées du côté droit qui se tenait maintenant au dessus de moi. Je me dégageais des débris et du corps qui me recouvraient. Une énorme douleur au bras me faisait un mal du feu de Dieu. Je voulais réveiller la personne sur quand je compris avec effroi qu'elle était morte en voyant son visage ensanglanté. Je voulus m'enfuir et je me rendis compte que le car s'était bel et bien renversé sur son côté gauche. Avancé était difficile et de nombreux cadavres bloquaient la voie avec des gémissements d'agonie à glacer le sang.
C?était glauque et en plus ça puait. J'arrivai jusque Steven qui avait quelques gouttes de sang sur lui. Je craignais le pire...
-Steve ? Steve !
-Ca t'arrive de réveiller quelqu'un normalement ?
-J'avais peur que tu sois... Enfin qu'il te soit arrivé quelque chose... Ca va ?
-Ouais, un coussin a amortie ma chute.
-Y a jamais eu de coussin dans ce bus...
-... Ma dulcinée ! Elle... Elle est morte ?
Je m'approcha d'elle et lui prit son pouls. Le verdict était sans appel, elle était morte. Je glissa ma main sur son visage et lui ferma ses paupières. Steven, lui, était nerveux de par la situation qui nous arrivait. Je saisis l'un des marteaux de sécurité qui s'était décroché et brisa le reste des bout de verre de la fenêtre du flanc droit pour pouvoir y grimper sans danger. J'aida Steven à monter en lui faisant la courte échelle et il fit de même en me donnant sa main.
Une fois en haut le choc était sensationnelle. Le ciel était gris et le soleil peinait à nous éclairer à travers cette masse nuageuse. Sur le planché des vache, les couleurs dominantes était le gris et le marron. Les arbres avaient perdu de leurs feuilles, le ciel de son bleu, la route de ses chauffeurs, l'ambiance de ses bruits et notre vie de sa routine habituel. Le paysage semblait comme avoir été enflammé par la lave d'un volcan et je me demandais comment cela s'était produit.
-On est où Ed ?
-Je crois qu'on est toujours au même endroit que tout à l'heure...
-Si ça se trouve des jours ce sont écoulés depuis que le car s'est renversé...
-Peut être bien. Mais non, sinon mon ventre crierai famine. Allez, aides moi à aller voir si d?autres personnes sont encore en vie.
Nous redescendions dans les entrailles de ce monstre de ferraille dont les yeux s.étaient éteint à tout jamais. Notre priorité était Garret.
-Garret ?
-Garret ?
-Je l'ai trouvé ! Il a pas l'air bien en point, Vas y...
Je fis comme avec la fille de tout à l'heure et posa mais deux doigts sur son coup. Enfin une bonne nouvelle dans cette foutue journée.
-Il est vivant !
Steven se jeta dessus et lui retenu sa tête avec ses mains et commença à lui gueuler dessus.
-Garret c'est Steve, le frère de Ed, le fils de ton petit cousin? Réveilles toi ! Réveilles toi !!!
Steven parti chercher son sac et y sorti sa bouteille d'eau et commença à en verser au visage de Garret. Je l'en empêcha.
-Mais qu'est-ce qu'il te prend !
-Garret va bien, j'ai pas l'impression qu'il est subi de blessures trop grave, et avec la chaleur qu'il fait dehors je sens que l'eau va devenir une denrée rare.
Nous évacuions donc Garret de son bus et l?allongions près du car en le couvrant de nos cabans. Nous repartions à l'intérieur pour évacuer les autres... Mais il n'y avait personne en vie, tout n'était que cadavre, sang et affreuses grimaces macabres... Désespérés et ne sachant quoi faire nous nous endormions aux côtés de Garret...
Je fus réveillé le premier par les vibrations de mon téléphone portable. Je pris le verre d'eau qui était posé sur ma table de chevet, le bus lentement et rafraichi mon visage avec les quelques goûtes qui restaient dedans puis je me frotta le visage avec ma main. Steven dormait toujours, et ça s'entendait. Comme chaque matin, le premier debout devait réveiller l'autre. J'ouvris donc mon tiroir et sorti mon Dan Wesson 6 pouces chromé.
Bang !
-Putain de merde ! Ca va pas de me brûler la peau avec des trucs pareil le matin ?
-Arrêtes de te plaindre ce sont juste des billes en plastique.
-Le jour où je me réveillerai le premier c'est à coup de pioche dans le cul que je te ferais sortir du lit ! Bon il est quelle heure ?
-Six heures, comme tout les matins de cours...
Le rituel du matin commençait. Enfiler notre robe de chambre, prendre le déjeuner, se brosser les dents et s'habiller. Notre accoutrement ne passait pas inaperçu, gilet, gousset, et un caban breton, le tout pour une somme dont j'imaginais le nombre de chiffre, mais à en voir l'allure, je pense que le vieux s'était fait escroquer, heureusement que l'on avait tout de même le droit à un jean.
Nous quittions le manoir vers six heures et demi, et nous dirigions vers l'arrêt de bus qui se trouvait à deux kilomètres et demi de là. Derrière nous l'imposante maison diminuait au rythme de nos pas qui frottaient le sol. C'était une gigantesque bâtisse, invraisemblable et imaginaire digne d'un compte de fée. Elle devait atteindre les vingt-cinq mètres de haut, formé de plusieurs tours en granit et relier par des pontons. Plusieurs étendards et écussons décorais les murs extérieurs et abordaient les initiales de la noble famille dont je faisait partie, les De Poligatebras. Malgré tout les détails qu'il y avait, le bâtiment gardait un air froid et peu hospitalier... Les jardins eux aussi, immense et dont toute les fleurs étaient fanées, chose étrange en cette saison.
La marche était rapide, sans un mot, Steven avait ses écouteurs dans les oreilles. Nous coupions par les champs après avoir escaladés un talus, pour gagner quelques précieuses minutes. J'aimais marcher lentement à caresser les épis de blé comme j'aurais caresser les cheveux d'une fille, si cette dernière en avait bien évidemment, le tout accompagné du champ des oiseaux et du bruit des plantations bercées par le vent.
-Tu penses que ce sera toujours Garret notre chauffeur l'année prochaine ?
-J'en sais trop rien...
-Ca sera bizarre quand il ne sera plus là, t'en penses quoi Ed ?
-Je pense que j'aurais la même réaction que toi...
Garret venait nous prendre tout les matins à l'arrêt de bus depuis maintenant une dizaine d'années. Il était cousin éloigné avec le vieux et c'était ce dernier qui avait insister pour qu'il passe pas trop loin de chez nous et ainsi rallongé son trajet direction Guinnion. C'était devenu un ami pour nous, plus qu'un ami même, c'était presque notre père. On s'installait le plus souvent aux sièges avant pour parler avec lui pendant les trente minutes qui nous séparaient de la ville. Mais cette fois les sièges étaient prient et nous devions aller nous installer à l'arrière.
-Salut Garret.
-Bonjour les jeunes.
-On a encore oublié notre carte.
-Pas bien grave, aller, montez !
Comme à chaque fois tout le monde détournait son regard en nous voyant passer et certain murmurait des insultes tout bas. Tout cela parce que l'on était fringués différemment et que nous faisions rallongé la durée de cinq minutes à peine. Mais pensaient-ils vraiment que nous étions heureux de notre propre situation. Rejetés des autres et insultés à tout vas... Personne ne l'aurait envié, du moins je ne pense pas. Une fois même Steven avait eu à me défendre d'une bande de gars qui voulait mon portefeuille et mon manteau, mais mon frère n'était pas du genre à se laisser faire...
-Steve ?
-Hmmm ?
-Tu vois la fille là-bas ?
-La blondinette ?
-Ouais, elle nous fixe depuis tout à l'heure.
-Tu crois qu'elle veut mon numéro ?
-T'as qu'un numéro dans ton répertoire et c'est le mien...
-Bah ça vaut le coup de lui donner un peu à manger.
-Je pensais pas à ça, tu vois son regard, c'est pas le genre de regard noir à nous lancer des éclairs.
-Et alors, tu veux que je lui casse la gueule ?
-Quel romantisme...
-Bon je me lance je vais la voir.
Steven se leva et marcha en direction du siège de sa promise, faisant profiter à chaque passager l?agréable odeur matinale de ses aisselles. Il s'apprêta à l'accoster lorsque tout d'un coup un long flash lumineux intervint suivit d'une énorme secousse, le bus fit un tête à queue et s'effondra sur une autre voiture qui circulai sur l'autoroute puis plus rien...
Quand fus-je réveiller ? Au bout de combien de temps ? Combien avais-je d'os brisés ? Y avait-t-il d?autres survivants ? Allai-je mourir ? Tant de questions dont j'attendais la réponse.
Je sentais une petite fraicheur sur mon front, comme des goutes d'eau, cela faisait du bien. J'ouvris les yeux et sursauta en voyant qui s'agissait de gouttes de sang qui tombait de puis l'une des vitre brisées du côté droit qui se tenait maintenant au dessus de moi. Je me dégageais des débris et du corps qui me recouvraient. Une énorme douleur au bras me faisait un mal du feu de Dieu. Je voulais réveiller la personne sur quand je compris avec effroi qu'elle était morte en voyant son visage ensanglanté. Je voulus m'enfuir et je me rendis compte que le car s'était bel et bien renversé sur son côté gauche. Avancé était difficile et de nombreux cadavres bloquaient la voie avec des gémissements d'agonie à glacer le sang.
C?était glauque et en plus ça puait. J'arrivai jusque Steven qui avait quelques gouttes de sang sur lui. Je craignais le pire...
-Steve ? Steve !
-Ca t'arrive de réveiller quelqu'un normalement ?
-J'avais peur que tu sois... Enfin qu'il te soit arrivé quelque chose... Ca va ?
-Ouais, un coussin a amortie ma chute.
-Y a jamais eu de coussin dans ce bus...
-... Ma dulcinée ! Elle... Elle est morte ?
Je m'approcha d'elle et lui prit son pouls. Le verdict était sans appel, elle était morte. Je glissa ma main sur son visage et lui ferma ses paupières. Steven, lui, était nerveux de par la situation qui nous arrivait. Je saisis l'un des marteaux de sécurité qui s'était décroché et brisa le reste des bout de verre de la fenêtre du flanc droit pour pouvoir y grimper sans danger. J'aida Steven à monter en lui faisant la courte échelle et il fit de même en me donnant sa main.
Une fois en haut le choc était sensationnelle. Le ciel était gris et le soleil peinait à nous éclairer à travers cette masse nuageuse. Sur le planché des vache, les couleurs dominantes était le gris et le marron. Les arbres avaient perdu de leurs feuilles, le ciel de son bleu, la route de ses chauffeurs, l'ambiance de ses bruits et notre vie de sa routine habituel. Le paysage semblait comme avoir été enflammé par la lave d'un volcan et je me demandais comment cela s'était produit.
-On est où Ed ?
-Je crois qu'on est toujours au même endroit que tout à l'heure...
-Si ça se trouve des jours ce sont écoulés depuis que le car s'est renversé...
-Peut être bien. Mais non, sinon mon ventre crierai famine. Allez, aides moi à aller voir si d?autres personnes sont encore en vie.
Nous redescendions dans les entrailles de ce monstre de ferraille dont les yeux s.étaient éteint à tout jamais. Notre priorité était Garret.
-Garret ?
-Garret ?
-Je l'ai trouvé ! Il a pas l'air bien en point, Vas y...
Je fis comme avec la fille de tout à l'heure et posa mais deux doigts sur son coup. Enfin une bonne nouvelle dans cette foutue journée.
-Il est vivant !
Steven se jeta dessus et lui retenu sa tête avec ses mains et commença à lui gueuler dessus.
-Garret c'est Steve, le frère de Ed, le fils de ton petit cousin? Réveilles toi ! Réveilles toi !!!
Steven parti chercher son sac et y sorti sa bouteille d'eau et commença à en verser au visage de Garret. Je l'en empêcha.
-Mais qu'est-ce qu'il te prend !
-Garret va bien, j'ai pas l'impression qu'il est subi de blessures trop grave, et avec la chaleur qu'il fait dehors je sens que l'eau va devenir une denrée rare.
Nous évacuions donc Garret de son bus et l?allongions près du car en le couvrant de nos cabans. Nous repartions à l'intérieur pour évacuer les autres... Mais il n'y avait personne en vie, tout n'était que cadavre, sang et affreuses grimaces macabres... Désespérés et ne sachant quoi faire nous nous endormions aux côtés de Garret...
29/06/12 à 23:35:25
Droran : C'est parce qu'il sont fatigués, enfin, je pense que j'aurai cette réaction
29/06/12 à 23:31:07
Gregor : Crazy ?
29/06/12 à 11:14:44
Bien sympa, j'aime beaucoup tes descriptions de paysages, et il est justement dommage que tu decrives peu les actions des personnages : c'est le point faible du texte. À côté j'ai aussi du mal à comprendre pourquoi ils s'endorment à la fin... Mais :sweet:
27/06/12 à 16:32:08
Finalement, t'es venu ?
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