Les Clans
Par : alcolol
Genre : Action , Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 10/06/12 à 21:02:36 par alcolol
Le dernier mur encore debout du palais du gouvernement central s’écroula dans un vacarme assourdissant. Une volume de poussière s’éleva sans grande conviction, puis peu a peu retomba sur les vestiges d’une place. Marceau observait la scène depuis les toits des anciennes galeries couvertes. Devant s’étendait l’ancien centre ville. Un vaste plateau où s’élevait des murs déchirés projetant leurs ombres noires sur les chaussées délabrées.
« Bon les gars on reste contempler le superbe paysage où on cherche à bouffer ? »
« Tu as raison...on te suit Salma, tu as déroulé la corde ? »
« Oui mec ! J’ai eu le temps figurez vous ! Allez ne trainons pas... j’ai peur que l’éboulis n’ameute les chimères. »
« ça va on risque rien là, ce n’est que le matin... »Ronchonna Marceau
« Bon j’y vais en premier, lança Salma, passe moi les vers Paulin »
Paulin lui lança un petit sac. Salma le saisissant au vol, répandit alors le curieux contenu dans un petit pot de verre.
Les vers, de la taille d’un index, se tortillaient vigoureusement dans leur prison de verre. Elle referma le pot et le secoua vigoureusement.
« ça devrait allez comme ça » jugea-t’elle en regardant ses vers. « Allez j’y vais ! »
Puis elle disparut dans le gouffre sombre. Paulin la suivit puis se fut au tour de Marceau, qui en descendant le long de corde se brula les mains.
Salma et Paulin étaient déjà en train d’explorer la vielle galerie marchande dont les entrées avaient étés condamnés par les éboulis. Heureusement pour eux, elle était convertie par ce que l’on appelait avant d’une verrière. Aujourd’hui seule sa structure subsistait et laissait un peu de lumière transpercer la sémi-pénombre.
« Fait chier ! J’ai gaspillé 6 vers pour rien ! Regardez pas besoin de lumières ! » Elle remit son pot dans son grand sac à dos déchiré.
« ça peut servir, alors pleure pas avant d’avoir mal miss’ » rétorqua Paulin en la doublant. « C’est dingue ! ça n’a pas pratiquement pas bougé ! »
« heu... tu as vu le bordel ? Pas changé ? Blague j’espère ! »
« Bon les deux, c’est pas un peu fini ? » s’agaçait Marceau.
Il se dirigeât vers une ancienne boutique d’alimentation « SOUS SHOP ». Ils passèrent devant les tiroirs caisse sans même les regarder. L’argent n’était plus vraiment une préoccupation depuis longtemps. Maintenant, la seule valeur qu’il pouvait avoir est d’avoir une vocation de papier toilette et encore... Ce n’est pas ce qu’il y a de plus agréable !
Le trio s’avança vers les rayons. Ils étaient tous a terre, répandant leur contenu au sol. Puis chacun se mis à fouiller à la recherche d’une boite de conserve non ouverte, un sachet de nouilles lyophilisées, des sodas en canettes...
Remplissant à la hâte leurs sacs, ils firent un dernier tour d’horizon de l’immense surface délabrée. Mais un bruit attira leur attention, il provenait de l’endroit par où ils étaient rentrés. Paulin, Salma et Marceau se regardèrent. Puis chacun chercha un endroit où se cacher.
Marceau se cacha alors sous un vieux présentoir à viande. S’ils cherchaient comme eux de la nourriture il n’irait pas chercher là. Les bouffes non périssables se trouvaient près des caisses. Aucun doute qu’ils ne viennent jusqu’au fond. Des bruits de conversation s’emplifiait dans le bâtiment vide de vie.
« Il y a une corde, donc il y a forcement quelqu’un ici. Il suffit de chercher. »
« Tu sais, je pense qu’ils sont partis depuis longtemps, regarde. Il a plus rien en conserves. Pourtant on est passé il y a 2 journées de cela et il en restait pas mal. Yoah m’avait dis qu’il avait vu au loin des gens sur les toits, je ne l’ai pas cru, mais apparemment il avait raison »
« ‘Apparemment il avait raison ? ‘ – je suis fatigué de tes erreurs, regarde ce que ça nous coûte ! Je t’ai pardonné plusieurs fois déjà. Mais je vois que tu ne retient jamais la leçon »
« Allez Jacob, je ne pouvais pas savoir que d’autres clans allaient descendre ici ! Et tu sais comment Yoah a une mauvaise vue et ...non, Jacob ! S’il te plait !! » Implora la voix."
« Les détails de ton incompétence ne m'intéresse pas, tu connais la punition. C’est la règle. Tu la connais. Tenez le. »
Marceau se risqua à jeter un coup d’œil a travers une fente. 5 hommes d’âge certains se tenaient au milieu du magasin. Deux d’entre eux avaient saisi les bras d’un des leurs. Un quatrième regardait sans rien dire à l’écart. Et le cinquième homme tira d’un fourreau une grande dague. D’un coup vif, il trancha la gorge de l’homme molesté. Un râle mêlé de gargouillis empli la pièce. Marceau baissa les yeux, et essaya de se calmer, de peur que ces battements de cœurs ne trahissent sa présence ainsi que celle de ses deux amis.
« Bon, je vous laisse faire le reste. Vient toi, ne restons pas là, l’odeur du sang me débecte, mettez le en sac. Couper la tête et vider le de ses organes. Mettez le sous sachet. On le préparera pour ce soir. »
« Bien Jacob » lancèrent à l’unisson deux voix formelles.
Marceau regardait le sol se concentrant sur les fissures du carrelage. Espérant, en vain, d’évanouir les bruits infecte de l’éviscération et du démembrement.
Enfin, lorsque le soleil fut à son zénith. Les deux hommes s’en allèrent chargeant leurs sacs à dos des morceaux du pauvre homme.
Au bout d’un moment, chacun sorti de sa cachette. Racontant leur effroi.
« Le clan des néo... » Lâcha Salma, en évitant de regarder les restes au centre de la pièce.
« Bon les gars on reste contempler le superbe paysage où on cherche à bouffer ? »
« Tu as raison...on te suit Salma, tu as déroulé la corde ? »
« Oui mec ! J’ai eu le temps figurez vous ! Allez ne trainons pas... j’ai peur que l’éboulis n’ameute les chimères. »
« ça va on risque rien là, ce n’est que le matin... »Ronchonna Marceau
« Bon j’y vais en premier, lança Salma, passe moi les vers Paulin »
Paulin lui lança un petit sac. Salma le saisissant au vol, répandit alors le curieux contenu dans un petit pot de verre.
Les vers, de la taille d’un index, se tortillaient vigoureusement dans leur prison de verre. Elle referma le pot et le secoua vigoureusement.
« ça devrait allez comme ça » jugea-t’elle en regardant ses vers. « Allez j’y vais ! »
Puis elle disparut dans le gouffre sombre. Paulin la suivit puis se fut au tour de Marceau, qui en descendant le long de corde se brula les mains.
Salma et Paulin étaient déjà en train d’explorer la vielle galerie marchande dont les entrées avaient étés condamnés par les éboulis. Heureusement pour eux, elle était convertie par ce que l’on appelait avant d’une verrière. Aujourd’hui seule sa structure subsistait et laissait un peu de lumière transpercer la sémi-pénombre.
« Fait chier ! J’ai gaspillé 6 vers pour rien ! Regardez pas besoin de lumières ! » Elle remit son pot dans son grand sac à dos déchiré.
« ça peut servir, alors pleure pas avant d’avoir mal miss’ » rétorqua Paulin en la doublant. « C’est dingue ! ça n’a pas pratiquement pas bougé ! »
« heu... tu as vu le bordel ? Pas changé ? Blague j’espère ! »
« Bon les deux, c’est pas un peu fini ? » s’agaçait Marceau.
Il se dirigeât vers une ancienne boutique d’alimentation « SOUS SHOP ». Ils passèrent devant les tiroirs caisse sans même les regarder. L’argent n’était plus vraiment une préoccupation depuis longtemps. Maintenant, la seule valeur qu’il pouvait avoir est d’avoir une vocation de papier toilette et encore... Ce n’est pas ce qu’il y a de plus agréable !
Le trio s’avança vers les rayons. Ils étaient tous a terre, répandant leur contenu au sol. Puis chacun se mis à fouiller à la recherche d’une boite de conserve non ouverte, un sachet de nouilles lyophilisées, des sodas en canettes...
Remplissant à la hâte leurs sacs, ils firent un dernier tour d’horizon de l’immense surface délabrée. Mais un bruit attira leur attention, il provenait de l’endroit par où ils étaient rentrés. Paulin, Salma et Marceau se regardèrent. Puis chacun chercha un endroit où se cacher.
Marceau se cacha alors sous un vieux présentoir à viande. S’ils cherchaient comme eux de la nourriture il n’irait pas chercher là. Les bouffes non périssables se trouvaient près des caisses. Aucun doute qu’ils ne viennent jusqu’au fond. Des bruits de conversation s’emplifiait dans le bâtiment vide de vie.
« Il y a une corde, donc il y a forcement quelqu’un ici. Il suffit de chercher. »
« Tu sais, je pense qu’ils sont partis depuis longtemps, regarde. Il a plus rien en conserves. Pourtant on est passé il y a 2 journées de cela et il en restait pas mal. Yoah m’avait dis qu’il avait vu au loin des gens sur les toits, je ne l’ai pas cru, mais apparemment il avait raison »
« ‘Apparemment il avait raison ? ‘ – je suis fatigué de tes erreurs, regarde ce que ça nous coûte ! Je t’ai pardonné plusieurs fois déjà. Mais je vois que tu ne retient jamais la leçon »
« Allez Jacob, je ne pouvais pas savoir que d’autres clans allaient descendre ici ! Et tu sais comment Yoah a une mauvaise vue et ...non, Jacob ! S’il te plait !! » Implora la voix."
« Les détails de ton incompétence ne m'intéresse pas, tu connais la punition. C’est la règle. Tu la connais. Tenez le. »
Marceau se risqua à jeter un coup d’œil a travers une fente. 5 hommes d’âge certains se tenaient au milieu du magasin. Deux d’entre eux avaient saisi les bras d’un des leurs. Un quatrième regardait sans rien dire à l’écart. Et le cinquième homme tira d’un fourreau une grande dague. D’un coup vif, il trancha la gorge de l’homme molesté. Un râle mêlé de gargouillis empli la pièce. Marceau baissa les yeux, et essaya de se calmer, de peur que ces battements de cœurs ne trahissent sa présence ainsi que celle de ses deux amis.
« Bon, je vous laisse faire le reste. Vient toi, ne restons pas là, l’odeur du sang me débecte, mettez le en sac. Couper la tête et vider le de ses organes. Mettez le sous sachet. On le préparera pour ce soir. »
« Bien Jacob » lancèrent à l’unisson deux voix formelles.
Marceau regardait le sol se concentrant sur les fissures du carrelage. Espérant, en vain, d’évanouir les bruits infecte de l’éviscération et du démembrement.
Enfin, lorsque le soleil fut à son zénith. Les deux hommes s’en allèrent chargeant leurs sacs à dos des morceaux du pauvre homme.
Au bout d’un moment, chacun sorti de sa cachette. Racontant leur effroi.
« Le clan des néo... » Lâcha Salma, en évitant de regarder les restes au centre de la pièce.
12/06/12 à 11:00:17
J'ai dû relire trois fois le début, qui n'est pas claire à cause d'un mot mal choisi (gouffre) et d'un manque de description. J'ai cru au départ que tu avais oublié quelques chapitres.
Sinon quelques phrases ne trouvent pas de sens (ici comme dans les précédents chapitres), tu devrais te relire.
Mais ça reste très intéressant, j'aime bien le post-apo' :sweet:
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