Vacances perdues
Par : HalfMind
Genre : Polar , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Le récital
Publié le 05/05/12 à 23:50:48 par HalfMind
Ça a commencé par un air de Vivaldi, car durant les 6h dernières heures qu'on vient de passer dans cette voiture, les 4 saisons se sont alignées une par une pour nous faire un florilège de plaisirs de la nature, ces heures furent longues, beaucoup d'histoires, des embrouilles et quelques moments où on a pu déstresser en s'arrêtant au bord d'une colline pour apprécier la vue qui s'offrait à nous.
J'étais toujours accompagné de ma copine, on s'est assis, on a pris du bon temps, j'ai mis ma main sur sa cuisse, je la caressait finement, comme presque toutes les personnes de mon age j'ai toujours rêvé de faire quelques cochonneries avec elle, mais elle à jamais eu le courage de sauter le grand pas, et pourtant.. Elle me disait qu'elle attendait, le bon moment, le bon endroit, tout nous souriait car pour moi, ce moment s'approchait à grand pas.
Soudainement, elle ouvrit son chemisier pour me donner un petit aperçu de ce qu'il m'attendait, c'est ce qu'elle disait à ce moment là. j'étais un peu surpris et je ne voulais pas brusquer les choses. Contrairement à ce que racontent les jeunes de nos jours, je n'aime pas précipiter les choses car j'ai toujours rêver que ça m'arrive par amour, pourtant on en a vécu des expériences avec elle mais j'ai subi un blocage, je ne savais quoi dire. Et comme si ça ne suffisait pas, mon pote s'approcha brusquement de nous pour nous sortir :
-Hé les amoureux c'est pas le moment, vous aurez tout le temps quand on arrivera à notre Little Paradise.
Little Paradise, ainsi appelait-il l'endroit où ont allés passés ces "merveilleuses" vacances. J'étais surpris de le voir vu que j'étais stagné devant la poitrine de ma copine, je me suis rapidement levé et par erreur je venais d'éjecter le sac de ma copine qui était facilement évitable, par chance, il fut amorti et accroché par une branche dont je ne voyais pas la racine, je me disais "Plus de peur que de mal", je me retourne et je demande:
-Je vais descendre le chercher, no-problemo.
Ma copine refusa naturellement de me laisser descendre. Pour moi, c'était le moment où il fallait faire le brave et descendre chercher ce maudit sac. Jusqu'à ce que mon pote me dit:
-Cherche pas, t'y arriveras pas, n'y vas pas.
Alors, pour ne pas dramatiser les choses, j'ai lancé cette phrase qui me trottait dans la tête "Plus de peur que de mal". Agacée, ma copina me répondit d'un air furieux:
-Non, rien de grave. Juste les clefs de la dite "Little Paradise", quelques préservatifs et mon trousseau de maquillage.
Mon pote fit un sourire d'une tendresse exorbitante et dit:
-Des préservatifs? Bande de coquins! vous aviez prévus de bien vous amuser pendant ces 2 semaines.
Exaspérée, elle lui fit un doigt d'honneur. Elle repartie dans la voiture, et dedans, mon meilleur pote avec sa copine, lui il disait que c'était juste une amie "très proche", proches ils l'étaient, il enleva enfin sa bouche de celle de son amie. On se retrouve sans clefs, ma copine qui boude, mon pote qui fait le con et sans mes précieux préservatifs, ce fut un arrêt qu'on pouvait éviter car ils ne restaient que quelques kilomètres pour atteindre notre cible, on es tous dans la voiture, comme chaque récital, il y a toujours ce nœud qui complique tout, et pourtant.. ce n'était que le début, on revint dans la piste de cette petite route qui devenait de plus en plus obscure au fil du temps, C'EST REPARTI.
J'étais toujours accompagné de ma copine, on s'est assis, on a pris du bon temps, j'ai mis ma main sur sa cuisse, je la caressait finement, comme presque toutes les personnes de mon age j'ai toujours rêvé de faire quelques cochonneries avec elle, mais elle à jamais eu le courage de sauter le grand pas, et pourtant.. Elle me disait qu'elle attendait, le bon moment, le bon endroit, tout nous souriait car pour moi, ce moment s'approchait à grand pas.
Soudainement, elle ouvrit son chemisier pour me donner un petit aperçu de ce qu'il m'attendait, c'est ce qu'elle disait à ce moment là. j'étais un peu surpris et je ne voulais pas brusquer les choses. Contrairement à ce que racontent les jeunes de nos jours, je n'aime pas précipiter les choses car j'ai toujours rêver que ça m'arrive par amour, pourtant on en a vécu des expériences avec elle mais j'ai subi un blocage, je ne savais quoi dire. Et comme si ça ne suffisait pas, mon pote s'approcha brusquement de nous pour nous sortir :
-Hé les amoureux c'est pas le moment, vous aurez tout le temps quand on arrivera à notre Little Paradise.
Little Paradise, ainsi appelait-il l'endroit où ont allés passés ces "merveilleuses" vacances. J'étais surpris de le voir vu que j'étais stagné devant la poitrine de ma copine, je me suis rapidement levé et par erreur je venais d'éjecter le sac de ma copine qui était facilement évitable, par chance, il fut amorti et accroché par une branche dont je ne voyais pas la racine, je me disais "Plus de peur que de mal", je me retourne et je demande:
-Je vais descendre le chercher, no-problemo.
Ma copine refusa naturellement de me laisser descendre. Pour moi, c'était le moment où il fallait faire le brave et descendre chercher ce maudit sac. Jusqu'à ce que mon pote me dit:
-Cherche pas, t'y arriveras pas, n'y vas pas.
Alors, pour ne pas dramatiser les choses, j'ai lancé cette phrase qui me trottait dans la tête "Plus de peur que de mal". Agacée, ma copina me répondit d'un air furieux:
-Non, rien de grave. Juste les clefs de la dite "Little Paradise", quelques préservatifs et mon trousseau de maquillage.
Mon pote fit un sourire d'une tendresse exorbitante et dit:
-Des préservatifs? Bande de coquins! vous aviez prévus de bien vous amuser pendant ces 2 semaines.
Exaspérée, elle lui fit un doigt d'honneur. Elle repartie dans la voiture, et dedans, mon meilleur pote avec sa copine, lui il disait que c'était juste une amie "très proche", proches ils l'étaient, il enleva enfin sa bouche de celle de son amie. On se retrouve sans clefs, ma copine qui boude, mon pote qui fait le con et sans mes précieux préservatifs, ce fut un arrêt qu'on pouvait éviter car ils ne restaient que quelques kilomètres pour atteindre notre cible, on es tous dans la voiture, comme chaque récital, il y a toujours ce nœud qui complique tout, et pourtant.. ce n'était que le début, on revint dans la piste de cette petite route qui devenait de plus en plus obscure au fil du temps, C'EST REPARTI.
06/05/12 à 12:46:17
Ah ok les petits joueurs Un sac, ça se récupère.
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