Vacances perdues
Par : HalfMind
Genre : Polar , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Sentiment perdu
Publié le 04/05/12 à 22:58:33 par HalfMind
Un homme peut s'éteindre d'une minute à l'autre, quelque-soit sa valeur au regard des gens, quelque-soit sa popularité, ses connaissances, ses espérances, les changements qu'il pourra effectuer dans ce monde, peu importe, chaque homme finira par quitter ce monde.
Mais avant de juger la mort de quelqu'un, chaque humain regarde son parcours et de qu'elle manière est-il mort.
On arrive à un moment de notre vie où on sent qu'on à plus rien à perdre, qu'on est prêt à donner sa vie pour quelqu'un d'autre, quelqu'un qu'on aime.
Ainsi je faisais mes bagages dans ma chambre que je partage avec mon grand frère, avec une seule idée dans ma tête "Je vais bientôt être avec elle et mes amis et être libre de mes actes". Je m'apprêtais à quitter ma famille pour aller dans une maison que je partagerai avec ma copine et quelques amis, une maison qui se partage entre une forêt et une plage rocheuse, quand on se met une maison comme ça dans la tête on se dit de suite "Quel bonheur!". Et c'est en finissant mes bagages et en allant me mettre à dos de la porte pour ensuite, incruster un mensonge dans la tête de ma famille qui trainait depuis bien des jours : "Je reviendrai dans deux semaines". Où est le mensonge? La durée que j'avais donnée était loin du compte.
Mon pote est là, il sonne, je sors tout content regardant ma copine assise dans la voiture, tout content de moi. J'avais néanmoins un sentiment de délaissement, que j'abandonnais ma famille, pourtant je n'étais pas très proche d'eux, j'abandonnais aussi mes amis virtuels avec lesquels je jouais pour le peu de temps de jeu que j'avais après les cours.
Arrivée à la voiture, je m'apprêtais à flinguer mon ancienne vie pour toujours, je ne le savais pas, personne ne le savait, je me doutais juste de quelque chose et c'était prêt, mon pote prend le volant, assise sur la banquette arrière ma copine me demande de monter, je monte, on s’enlace, on étaient tous prêts, C'EST PARTI.
Mais avant de juger la mort de quelqu'un, chaque humain regarde son parcours et de qu'elle manière est-il mort.
On arrive à un moment de notre vie où on sent qu'on à plus rien à perdre, qu'on est prêt à donner sa vie pour quelqu'un d'autre, quelqu'un qu'on aime.
Ainsi je faisais mes bagages dans ma chambre que je partage avec mon grand frère, avec une seule idée dans ma tête "Je vais bientôt être avec elle et mes amis et être libre de mes actes". Je m'apprêtais à quitter ma famille pour aller dans une maison que je partagerai avec ma copine et quelques amis, une maison qui se partage entre une forêt et une plage rocheuse, quand on se met une maison comme ça dans la tête on se dit de suite "Quel bonheur!". Et c'est en finissant mes bagages et en allant me mettre à dos de la porte pour ensuite, incruster un mensonge dans la tête de ma famille qui trainait depuis bien des jours : "Je reviendrai dans deux semaines". Où est le mensonge? La durée que j'avais donnée était loin du compte.
Mon pote est là, il sonne, je sors tout content regardant ma copine assise dans la voiture, tout content de moi. J'avais néanmoins un sentiment de délaissement, que j'abandonnais ma famille, pourtant je n'étais pas très proche d'eux, j'abandonnais aussi mes amis virtuels avec lesquels je jouais pour le peu de temps de jeu que j'avais après les cours.
Arrivée à la voiture, je m'apprêtais à flinguer mon ancienne vie pour toujours, je ne le savais pas, personne ne le savait, je me doutais juste de quelque chose et c'était prêt, mon pote prend le volant, assise sur la banquette arrière ma copine me demande de monter, je monte, on s’enlace, on étaient tous prêts, C'EST PARTI.
05/05/12 à 11:03:14
" chaque humain regarde son parcours et de qu'elle manière est-il mort. "
de quelle manière*
" qu'on à plus rien à perdre"
Si je ne m'abuse c'est " qu'on a plus rien à perdre "
" Et c'est en finissant mes bagages et en allant me mettre à dos de la porte pour ensuite, incruster un mensonge dans la tête de ma famille qui trainait depuis bien des jours : "
Personnellement, j'aurais placé la virgule ailleurs, ça casse le truc, je trouve.
" je sors tout content regardant ma copine assise dans la voiture, tout content de moi. "
Répétition du mot " content " rien de dérangeant, mais je tenais à le signaler... Tout comme le maison avant. Si c'était volontaire, ne tiens pas compte de ce que je dis.
Ensuite, j'ai rien à reprocher au texte en lui-même. Comme l'a dit Droran, je ne peux pas non plus juger sur si peu.
Je demande donc la suite.
05/05/12 à 10:07:55
À la fin, il n'y en restera qu'un ! Je ne peux pas juger ton texte à partir d'une intro' pseudo-philosophique, donc :sweet:
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