Après m’avoir soigné avec des fragments de cristaux rouges, j’allais vers le corps raidi de l’homme… Son visage était brûlé, il avait un sac a dos et pas d’arme. Mais le contenu du sac était hallucinant. Un pistolet, des munitions, un canif de secours, une lampe et … une tablette bizarre… On aurait dit l’iphone mais plus grand, environ 15 pouces…
On retournait dans la grotte.

<Stéphane> : Plus que 4.
<Spyro> : En tout cas tu ne l’as pas raté !
<Sparx> : Et l’autre non plus !

Je jetais un regard noir vers Sparx.

<Cynder> : Ou est Cyril ?
<Stéphane> : Je l’ai croisé pendant l’exercice… il a essayé de m’avoir mais je lui ai mis…

Je n’ai pas eu le temps de terminer ma phrase que quelqu’un me coupait.

<Cyril> : Je refuse d’être en défaite face à un humain !

Tout le monde se retournait et vit Cyril. Apparemment il n’a pas apprécié que je sois passé sous son museau.

<Stéphane> : Eh tu ne vas pas râler parce que je me défend !
<Cyril> : Je sais battre une armée de monstres à Malefor a moi seul ! Pourquoi je ne pourrais pas te battre hein ?!
<Terrador> : Calmez vous tout les deux !

J’avais certes retrouvé mon calme mais pas Cyril qui continuait de s’énerver sur Terrador. Moi j’en avais marre et j’était crevé je me dirigeait a l’extérieur pour trouver un point d’eau ou me laver. J’allais me laver chaque soir dans une rivière qui avait la température qui changeait en fonction du temps, c’était pratique.
Je retirait mes affaires et commençait à me laver dans l’eau froide. Je me séchait vite fait et remettait les vêtements. Je ne repartait pas tout de suite, j’avait les idées confuses et j’aimais bien être la. Je m’assis au bord de l’eau et je commençait a penser a ma vie d’avant. Les potes, L’école… Tout ça quoi. Un bruit de craquement me sortait de mes souvenirs… c’était Cyril.

<Cyril> : Ça va ?
<Stéphane> : Oui…
<Cyril> : Excuse moi pour tout a l’heure c’est juste que j’ai une fierté… Une réputation que je dois tenir…
<Stéphane> : T’inquiet pas, je comprend.

Une longue conversation s’entamait entre moi et Cyril, il racontait son histoire, ses hauts faits, ce qu’il a vécu… Il me faisait penser à un Chef militaire qui n’a peur de rien et qui accomplit toujours ses missions avec succès. Finalement je m’entendais bien avec lui. Il faut juste le connaître.
En revenant je voyait que tout le monde était épuisés. Apparemment ça prend de l’énergie pour pister quelqu’un. Volteer avait l’air rassuré que je ne m’énervais plus contre Cyril. Il alla se poser, j’allais faire de même mais on me fait signe d’attendre.

<Terrador> : Bon, en ce qui concerne l’exercice…

Je m’attendais à un « tu peut mieux faire » ou un truc dans le genre

<Terrador> : … On est fier de toi. Tu as su te défendre contre un dragon et par la même occasion tu as résisté face à un ennemi qui était plus fort que toi.

Ouf…

<Terrador> : Maintenant tu est capable d’être autonome et de prendre les décision par toi-même. Volteer ?

Volteer se leva et alla vers moi en tenant quelque chose entre ses dents. Il pris et me tendis l’objet.

<Volteer> : c’est pour toi, de la part à nous tous.

C’était un collier avec un cristal au bout, on m’a dit que la couleur changeait en fonction des sentiments du porteur et qu’il possédait un grand pouvoir qui pourrait me sauver la vie en temps voulu. Je le mis autour de mon cou.

<Stéphane> : … Je vous remercie à vous tous, déjà pour le collier mais aussi parce que vous m’avez aidé en plusieurs circonstances.

Tout le monde était bien.

*
* *

Après avoir parlé de plusieurs sujets dont Volteer disais toujours quelque chose et mangé un peu, je partis rechercher la tablette que j’avais laissée sur le sac, à l’entrée. La nuit était tombée depuis longtemps

<Cynder> : Qu’est ce que c’est ?
<Stéphane> : On dirait un Tablet PC.

Pas besoin de les regarder pour savoirs qu’il ne me comprenait pas… j’expliquait ce qu’était un pc et tout le tralala.

<Volteer> : Il y a beaucoup de machines dans ton monde… Parle nous en un peu.

Je laissait la tablette de coté et commençait un long récit. J’expliquais que notre technologie était très avancée que beaucoup de choses se différenciaient entre nos deux mondes… J’expliquait en gros la vie habituel qu’on avait là-bas. Evidemment, Ils avaient des questions à la pelle. Ça ma pris du temps pour répondre a toutes les questions mais c’était marrant.
Je sentais la fatigue qui planait sur nous. Il se faisait tard…






« Je croit qu’il est sur le point de savoir ce qu’il se passe, il faut faire vite, très vite. J’en ai parlé au chef mais il refuse de croire. Je suis peut-être un cran en dessous de lui mais je sais ce que je dis tout de même ! Ah cher journal, tu est le seul à me comprendre. » - Suite de l’extrait d’un journal intime