Sorrow's Legacy
Par : Essag
Genre : Science-Fiction , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Act 1 : The Madness
Publié le 09/06/11 à 18:52:03 par Essag
Scene II: It's the end of the world as we know it.
Dans la cour, le directeur une feuille à la main formait les classes.
J'entrais cette année en première S, j'ai du changer d'école après que ma famille ait décidée de déménager.
En regardant les tenues des autres élèves, je devinais tout de suite que je devais me trouver dans la catégorie des moins aisés financièrement parlant.
J'étais vêtu d'une simple chemise mauve, d'un jean et d'une paire de basket.
Lorsque le directeur eut achevé le partage des classes, je rejoint la mienne et me plaça directement au dernier rang, je fut vite rejoint par un garçon:
_Salut moi c'est Jason, je peux m'asseoir ?
_Je t'en prie.
_Merci, dit-il en s'asseyant, et toi c'est quoi ton nom ?
_Adam Marechal.
_Dis Adam, tu as vu le mec qui s'est battu devant l'école ?
_Difficile de louper ça.
_Il paraît que c'est un terminal dans cette école.
En y repensant, pensais-je , c'était vrai qu'il n'avait pas l'air très vieux, mais quel genre de mec se bagarrerait le premier jour juste devant son école ?
Pendant que je réfléchissais, le professeur principal entra dans la classe, c'était une femme et , d'après ses cheveux blanc pâles , devait avoir la cinquantaine, elle était plutôt grande, maigre, et son visage était dénué d'expressions, le genre de prof qui ne se soucie absolument pas de vous.
Alors qu'elle était sur le point de parler, la porte s'ouvrit violemment, c'était un des CPE, un indien qui avait la trentaine, il paraissait visiblement essoufflé, comme s'il venait de courir, il marcha vers le premier rang sortit un papier froissé et lut :
" Les élèves sont priés de se rendre dans l'amphithéâtre de l'école, pour des raisons de sécurité dans le quartier personne n'est autorisé à sortir de l'établissement, nous n'avons pas plus d'informations sur la situation n suivez les consignes du corps enseignant ".
Des chuchotements fusèrent dans toute la classe et un sentiment de panique commençait à s'installer, je me tournai vers Jason, il me sourit et dit:
_Ça commence bien.
Nous nous dirigeâmes donc vers l'amphithéâtre, les terminales étaient déjà sur place, ils se retournèrent à notre arrivée; mon regard croisa celui du blond en gilet.
Je retournais mon regard quelques secondes plus tard et m'assit sur le sol à côte de Jason:
_Qu'est ce qu'il se passe dehors à ton avis ? me demande-t-il ?
_Ça peut être beaucoup de choses, mais pour qu'on rassemble toute l'école ça doit être assez grave, une prise d'otages ou un attentat peut-être.
Les minutes qui suivirent furent assez calmes, les dernières classes arrivèrent dans l'amphi; c'était une grande salle, elle pouvait facilement contenir l'intégralité de l'école, la présence de fenêtre donnant sur la rue poussait les plus curieux à essayer de comprendre ce qu'il se passait dehors.
Après quelques minutes même les plus patients cessèrent de regarder par le fenêtre jusqu'à ce qu'un coup de feu provenant de l'extérieur retentit, tout le monde se rua vers les fenêtres, une trentaine d'homme , membres du GIGN d'après leurs uniformes , disposaient des protection autour des immeubles alentours jusqu'à ce qu'un des agents s'approcha de notre école visiblement pour y appliquer le même protocole.
Le directeur s'étant placé à quelques centimètres de l vitre hurla :
_Qu'est ce que vous faîtes !?
_Mise en quarantaine, personne ne doit sortir ! Sous aucun prétexte ! s'exclama l'homme avant de condamner les sorties potentielles.
Le silence revint, personne ne bougeât jusqu'à ce qu'un cri perçant surgit de la foule d'élève; je me retourna et vit au sol un élève visiblement mal en point.
Il s'agissait du garçon qui marchait devant moi à l'entrée ...
Dans la cour, le directeur une feuille à la main formait les classes.
J'entrais cette année en première S, j'ai du changer d'école après que ma famille ait décidée de déménager.
En regardant les tenues des autres élèves, je devinais tout de suite que je devais me trouver dans la catégorie des moins aisés financièrement parlant.
J'étais vêtu d'une simple chemise mauve, d'un jean et d'une paire de basket.
Lorsque le directeur eut achevé le partage des classes, je rejoint la mienne et me plaça directement au dernier rang, je fut vite rejoint par un garçon:
_Salut moi c'est Jason, je peux m'asseoir ?
_Je t'en prie.
_Merci, dit-il en s'asseyant, et toi c'est quoi ton nom ?
_Adam Marechal.
_Dis Adam, tu as vu le mec qui s'est battu devant l'école ?
_Difficile de louper ça.
_Il paraît que c'est un terminal dans cette école.
En y repensant, pensais-je , c'était vrai qu'il n'avait pas l'air très vieux, mais quel genre de mec se bagarrerait le premier jour juste devant son école ?
Pendant que je réfléchissais, le professeur principal entra dans la classe, c'était une femme et , d'après ses cheveux blanc pâles , devait avoir la cinquantaine, elle était plutôt grande, maigre, et son visage était dénué d'expressions, le genre de prof qui ne se soucie absolument pas de vous.
Alors qu'elle était sur le point de parler, la porte s'ouvrit violemment, c'était un des CPE, un indien qui avait la trentaine, il paraissait visiblement essoufflé, comme s'il venait de courir, il marcha vers le premier rang sortit un papier froissé et lut :
" Les élèves sont priés de se rendre dans l'amphithéâtre de l'école, pour des raisons de sécurité dans le quartier personne n'est autorisé à sortir de l'établissement, nous n'avons pas plus d'informations sur la situation n suivez les consignes du corps enseignant ".
Des chuchotements fusèrent dans toute la classe et un sentiment de panique commençait à s'installer, je me tournai vers Jason, il me sourit et dit:
_Ça commence bien.
Nous nous dirigeâmes donc vers l'amphithéâtre, les terminales étaient déjà sur place, ils se retournèrent à notre arrivée; mon regard croisa celui du blond en gilet.
Je retournais mon regard quelques secondes plus tard et m'assit sur le sol à côte de Jason:
_Qu'est ce qu'il se passe dehors à ton avis ? me demande-t-il ?
_Ça peut être beaucoup de choses, mais pour qu'on rassemble toute l'école ça doit être assez grave, une prise d'otages ou un attentat peut-être.
Les minutes qui suivirent furent assez calmes, les dernières classes arrivèrent dans l'amphi; c'était une grande salle, elle pouvait facilement contenir l'intégralité de l'école, la présence de fenêtre donnant sur la rue poussait les plus curieux à essayer de comprendre ce qu'il se passait dehors.
Après quelques minutes même les plus patients cessèrent de regarder par le fenêtre jusqu'à ce qu'un coup de feu provenant de l'extérieur retentit, tout le monde se rua vers les fenêtres, une trentaine d'homme , membres du GIGN d'après leurs uniformes , disposaient des protection autour des immeubles alentours jusqu'à ce qu'un des agents s'approcha de notre école visiblement pour y appliquer le même protocole.
Le directeur s'étant placé à quelques centimètres de l vitre hurla :
_Qu'est ce que vous faîtes !?
_Mise en quarantaine, personne ne doit sortir ! Sous aucun prétexte ! s'exclama l'homme avant de condamner les sorties potentielles.
Le silence revint, personne ne bougeât jusqu'à ce qu'un cri perçant surgit de la foule d'élève; je me retourna et vit au sol un élève visiblement mal en point.
Il s'agissait du garçon qui marchait devant moi à l'entrée ...
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