Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Le Dernier Conflit


Par : [no_PGM]
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 8


Publié le 27/09/2009 à 20:44:52 par [no_PGM]

Bonne lecture et reprise de l'action (ou plutôt 'début') :noel:

Chapitre VII:
En route

Le réveil sonne. ‘Driiing’, une nouvelle journée commence, ‘Driiing’, une nouvelle journée vers la mort. Nous nous levons, je me sent mal, j’ai le sentiment que le sang va couler une fois de plus…
Vivien et le docteur semblent de bonne humeur, mais moi… Foutu pressentiment!
Nous nous préparons: je passe mon Desert Eagle ma ceinture, ainsi que mon couteau et passe le FA-MAS en bandoulière. Le docteur lui, s’équipe d’une petite arme de poing et de sa mallette chérie. Vivien prend son Beretta, un petit couteau et prend une sorte de bâton légèrement recourbé poli dans son dos. Je lui demande de quoi il s’agit, il me sourit:
« - Un truc pour ne pas me retrouver sans armes en cas de corps à corps. D’ailleurs, je t’ai amené ça pour que tu ne sois pas non plus pris au dépourvu. »
Il me tend une arme longue de environ cinquante-cinq centimètres. La lame en est dissimulée par une gaine en cuire et semble bien plus large que le manche:
« - Ne me dis pas que… ma voix tremble
- Si… Fais lui honneur, me répond-il »
J’empoigne le manche et tire la lame au clair, elle est comme il me l’avait montrée: une impression de violence, souple mais implacable. Une machette… celle de Marchal.
Je retire le couteau de ma ceinture et le remplace par l’arme. Je tend mon couteau à Mashtok, au cas où…
Je savais que Vivien l’avais gardée, mais je ne pensais pas qu’il s’en servirait, et encore moins qu’il me la confierait.
Après avoir vérifier les munitions, nous partons. Le lieu de rendez-vous est à trois heures de marche, dans un petit commissariat, de ceux qui restent pour maintenir un semblant d’ordre. Le voyage se passe sans encombres, apparemment, trois hommes armés produisent un effet dissuasif sur la vermine. Nous arrivons au commissariat, il semble désert, et ce pressentiment…
Visiblement, Vivien aussi semble sur ses gardes, il détache me morceau de boit de son dos et s’en sert de canne tout en inventant une jambe blessée le faisant boiter.
Nous entrons, un homme se trouve en face de nous.
Mashtok blêmit. L’homme dit une phrase en langue étrangère, sa me fait penser à du russe.
Le docteur bégaye quelque chose dans cette même langue et se retourne… pour s’arrêter aussi tôt.
Deux autres hommes bloquent la sortie, et ils sont armés.
Le gars devant nous s’exclame:
« - Merci de m’avoir amener le docteur jeunes gens mais, malheureusement, je ne peux vous laisser partir. Alors donnez nous gentiment vos armes et suivez nous sans faire d’histoires. »
Son accent semble en effet scandinave. Nous obtempérons mais Vivien refuse de donner son morceau de bois, disant qu’il ne peux marcher sans lui. Ils le lui laisse donc. Le chef ouvre le marche suivi d’un de ses hommes, l’autre étant derrière pour éviter toutes retraites de notre part.
Vivien se tient à mes côtés et se penche pour me murmurer:
« - Je vais m’occuper des deux types devant, tu mettras l’autre hors services. Quand j’empoignerais mon bâton, ce sera le signal.
- OK. »
C’est à ce moment que le type devant nous ordonne de nous taire. Je ralentit pour me retrouver juste devant ma cible et Vivien se place derrière les siennes. Il semble sur de lui. Mashtok me lance un regard interrogateur, j’hoche doucement de la tête. Je vois Vivien poser la main sur la partie basse de son bout de branche, et refermer le poing dessus.
Le signal! Je me retourne et frappe mon garde…

La suite au prochain épisode, jeunes gens :noel: (bref, le plus tôt possible :peur: )


Commentaires