Note de la fic : :noel: :noel:

15-18 vs Apocalypse Zombie.


Par : [JV]Dragonite
Genre : Action
Statut : Terminée



Chapitre 6


Publié le 17/08/2016 à 15:10:46 par [JV]Dragonite

On roulait toujours vers Marseille en direction du Bunker, ( d'ailleurs c'était Malaury qui conduisait :hap: ) la plupart du trajet se faisait sans encombre et puis...


Drago : Vous entendez pas du bruit genre un tremblement ? :(
Léa : Non pourquoi ? :hap:
Drago : Non juste comme ça.


Je restait toujours perplexe et puis un second tremblement se fit entendre, ce dernier était plus audible que le précédent.

Drago : La vous avez quand même entendu non ? :fou:
Survivor : Oui oui mais bon ça doit être la route qui est pas très stable. :hap:
Drago : L'autoroute c'est pas stable pour toi ? :pf:
Survivor : Si mais...


Survivor ne put terminer sa phrase qu'un troisième tremblement encore plus fort que les deux précédents se fit entendre. J'avais l'impression que ça se rapprochait.

Malaury : Les gars je crois qu'on est poursuivit. :peur:
Tous : Qu'est-ce qui te fait dire ça ? :hap:
Malaury : ça peut être... :peur:

On posa notre regard sur ce que Malaury pointait du doigt... un tunnel ? Wtf ? :hap: Seulement, les tremblements venaient de ce tunnel et c'est alors qu'un gigantesque monstre en sortit. Wait... c'était celui qu'on devait avoir tués. :ouch2: Celui-là : http://starsmedia.ign.com/stars/image/article/106/1062974/big-boss-of-the-day-resident-evils-el-gigante-20100122013537913-000.jpg


Drago : OMG LE RETOUR DU ZOMBIE VICTIME :peur:
Tous : L:hap:L

Comme ce monstre comprenait ce qu'on disait, il fut vexé et nous poursuivit. On roula à travers l'autoroute en slalomant entre les voitures abandonnées lorsque...
Drago : Wait il est plus derrière nous. :peur:
Tous : WTF ? :fou:

Soudain, une ombre se dressa au-dessus de nos têtes. Cette ombre passa devant le fourgon quand tout à coup. elle se rapprocha du sol. On regarda en l'air et on put voir le monstre retomber sur la route.

Léa : MERDE IL VA DETRUIRE L'AUTOROUTE !
Drago : MALAURY FREINE !!!!

Trop tard, la collision fut telle que l'on fut tous ejectés du fourgon.


...




J'étais étendu sur le sol, je ne pouvais pas bouger. Je remarqua que tous mes compagnons était par terre. Le monstre, lui était tombé de l'autoroute qu'il avait détruit. Soudain, une horde de zombies arrivèrent. On étais perdus. Je ne pouvais qu'observer mes amis mourir. Léa se débattait comme il pouvait mais les zombies le mordait et bientôt, sa peau se déchiqueta. Il se leva et commencait à venir vers moi en boîtant. Il était devenu un zombie. :snif:
Il se jeta sur moi en essayant de me mordre. Je lui donnait des coups de poing, de pieds mais j'étais trop faible. Je vis alors que mon skate était à ma gauche. Dans un ultime effort, je donna un violent coup horizontal qui le décapita. Léa gisait sur mon corps. Je le posa à côté de moi.
Plus loin, je vis Survivor me faire un signe. Comme pour me dire aurevoir. Il attrapa son pistolet... et plaça le canon sur sa tempe. Il préferait mourir que d'être un zombie. C'est alors en pleurs qu'il pressa la détente. Je voyais son corps inerte retomber lourdement sur le sol.

Malaury, était morte aussi, la destruction de l'autoute fit tomber une pierre sur elle. Je n'en pouvait plus. Tous mes amis mourraient les uns après les autres. Alors que j'allais sombrer dans un sommeil infini, des tirs de roquettes furent tirés en direction des zombies ce qui les tuas presque tous. Une corde se libéra et tomba au sol. Des personnes arrivèrent alors sur l'autoroute, ils étaient 4, deux filles et deux garçons. Ils tuèrent les dernies zombies puis, l'un des trois garçons examina le corps de Survivor et fit un signe négatif de la tête à ses compagnons. Un autre garçon s'approcha du corps zombifié de Léa et fit un autre signe de la tête. Il se tourna alors vers moi et vit que j'avais les yeux ouverts. Il appela ses amis.

??? : Les gars on a un survivant ici !
??? : ça va bien se passer petit, reste avec nous.

L'hélicoptère se posa alors et on me transporta dedans. Ils commençaient à me soigner mais, à bout de forces, mes yeux se fermaient lentement jusqu'à ce que je m'évanouisse.


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