Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Mes vacances, Moi (et ma Cousine)


Par : fall_0ut_matt
Genre : Sayks
Statut : Abandonnée



Chapitre 19


Publié le 26/06/2011 à 01:59:34 par fall_0ut_matt

Un certain sentiment commença à m'envahir.

La miss termina son langoureux baiser, et alla admirer les poissons ( :noel: ).
Sans savoir comment ni pourquoi, je ne voulais pas juste "faire l'amour". En fait, qu'elle le veuille ou non, je l'enfonce comme jamais.
Une envie implacable de la pénétrer se fit imposante en moi, et lentement je m'approcha de ce qui était plus une victime qu'une femme.

La demoiselle ne remarquait quasiment rien, absorbée par les mouvements extérieurs.

J'approchais lentement ma main de ses fesses, et la passa sous sa courte robe pour masser son clito en attente de son cadeaux.

Embrassant tendrement son cou, je la dirige petit à petit vers le lit, avant de l'y "balancer" avec une certaine vigueur excitante.

La puissance grimpant en moi, j'arrachai net ses vêtements, me surprenant autant qu'elle.
Son corps merveilleusement sculpté laissait apparaitre des seins vraiment magnifiques, et un ventre parfait.

Ses yeux m'attaquèrent de nouveaux, et j'enfonça ma langue dans sa bouche, nous embrassant violemment et amoureusement.

Elle ressemblait à ça:


Mon impatience grandissant, je plongea ma main sous son string, caressant lentement son sexe. La demoiselle continuait de m'embrasser, touchant sensuellement mon sexe qui commençait à prendre ses généreuses formes.

Je me déshabilla à mon tour, dévoilant mon engin à mon opposée (dont je ne connais TOUJOURS pas le nom :noel: ) qui s'empressa de le gober net, laissant des filets de baves créer un lien quelque peu visqueux entre sa bouche et mon gland.

Je la retourna avec violence, et la doigta avec rage, l'excitation m'emportant dans des délires presque de viol. Mais elle adorait ça.
Un doigt, puis deux, avant d'en mettre trois.

J'enfila une capote brillante (choppée à l'occasion dans la boite :noel: ) et commença à la pénétrer. Mes va-et-viens ne se font pas dans le romantisme.
À chaque coups de reins, elle criait de plus en plus fort. J'en profita aussi pour lui donner quelques fessées, j'avais jamais essayé :noel:

Ma bite était toute visqueuse, et ma compagne mouillait comme jamais.
Je m'allongea sur le lit, et ma belle s'enfourcha lentement sur mon sexe.
Elle commença les mouvements, mais je la pris de court, entrant et sortant mon pénis avec fureur, la faisant crier de bonheur.
Les mouvements de plus en plus rapides, ma brune se cambra instantanément et lâcha un puissant cri de jouissance.

Les yeux dans les yeux, je lâche la giclée dans ma capote, avant de profiter d'un petit moment de tranquillité pour l'admirer dans son plus simple appareil, absorbé par son regard.

- Moi c'est Amélie, me dit-elle.


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