Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Moi, Yoann, Invisible Man...


Par : LePatriarche
Genre : Réaliste, Sentimental
Statut : Abandonnée



Chapitre 17


Publié le 01/10/2013 à 22:57:41 par LePatriarche

Après le petit discours de Madame Reuil, professeur de français, nous pouvions enfin quitter les cours, pour rentrer à la maison. Sans rien me dire durant 2 heures, Emilie fit ses affaires timidement, avant de s'engouffrer parmi la masse d'elèves dans le couloir. Alors que je tentais de la rejoindre, une main ferme se posa sur mon épaule. Celle de Sébastien :

Moi : Qu'est-ce que tu me veux ?

Sébastien : Je te préviens juste, traines pas à coté d'Emilie si tu veux pas avoir des problèmes, ok ? :sournois:

Moi : Ca veut dire quoi ça ? Je sais pas ce que tu t'imagines, on est juste amis...

Sébastien : J'espère bien, c'est pas une fille comme les autres, alors fais gaffe à toi !

Après ces quelques paroles, je me suis mis à marcher un peu vite pour retrouver Emilie, que je vis à l'entrée de lycée, en train de marcher vite. Un peu vite :

Moi : Hey Emilie tu vas bien ?

Emilie : Oui pourquoi ?

Moi : Depuis que t'as vu Sébastien, t'as l'air soucieuse... Il s'est passée quoi entre vous ?

Elle pousse un soupir, avant de sourire :

Emilie : Strictement rien, juste un baiser, c'est tout... Mais il en attendait plus je pense...

Moi : C'est tout :question:

Emilie : Tu t'attendais à quoi ? On était amis, un jour, on s'est embrassée, juste après j'ai regretter, mais il est rester bloquer sur ça, et il ne me laches pas :-(

On marchait depuis maintenant 5 minutes, quand une voix vint troubler le silence qui regnait parmi nous, criant :" Myriam ! Myriam ! Hey viens !". En me retournant, je vis Sam, le père de Léa, dans sa voiture, appelant sa fille :

Sam : Salut... Yoann ? T'as changé depuis la dernière fois, tu m'as l'air plus... plus massif :pf: Alors Myriam, cette rentrée ?

Emilie : Mouais... Disons que c'était assez nul...

Sympa pour moi qui est tenter de lui faire la discussion pendant 2 heures, avant de voir qu'elle était mal à l'aise... Mais je savais très bien qu'il y avait plus entre eux, mais ce n'était pas le moment de le découvrir. Emilie monta donc dans la voiture Peugeot de son père, avant de s'eclipser au loin.

Pendant que je marchai pour rentrer chez moi, une nouvelle main se posa sur mon épaule, alors que j'allais me retourner, un coup de poing percuta mon visage. Je m'effondre sous la violence du coup, sans pouvoir voir mon agresseur :

??? : Alors enfoiré, je te déranges ?


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