Lucie : T'as pas interet à te défiler ! Tu ne me trouves pas belle, alors que je fais beaucoup d'effort mine de rien. Sans prétention, je me trouve vraiment en beauté aujourd'hui, et selon toi, je ne ressemble à rien, alors approche, tu changeras d'avis sur moi, un petit calin, c'est pas bien méchant ))">


A ce moment, je ne savais pas trop quoi faire, elle tendait ses bras vers moi. Je devais lui obeir et meblottir contre elle, c'était ce qu'elle voulait, nos deux corps etaient collés l'un contre l'autre.

Moi : Tu es rassuré maintenant ?

Lucie : Pas tout à fait !

Son corps était en chaleur, elle devait bronzer depuis plusieurs heures déjà, j'etais déjà en chaleur à cause du soleil, mais son corps me réchauffait encore plus.
Je voyais les ouvriers en charge de construire la piscine en train de nous regarder, ils avaient arreter le travail en ayant entendu les cris de Lucie. Ils etaient immobiles, nous regardant :"Oh ! Il sort avec elle le petit veinard ! "

Lucie : Sers moi plus fort, rafraichis moi ! me dit-elle en chuchotant.

Mes mains etaient posés sur son dos transpirant, la joue posé sur ses cheveux, c'était très chaud, mais je la serrais encore plus fort, la chaleur augmentant encore plus. J'étais mal à l'aise, mais je ne voulais pas le montrer.

Moi : D'accord.

J'ai donc commencé à la serrer plus fort dans mes bras, cela faisait déjà 2 minutes qu'on était l'un contre l'autre.
Puis elle se détacha lentement de moi, elle était redevenu souriante.

Lucie : Tu peux encore baisser tes mains si tu veux, ca ne me dérange absolument pas !

Moi : Euh... Non je préfère pas merci, oui maintenant je peux te dire que je te trouve très mignonne.

Je voulais lui faire un petit compliment, histoire qu'elle me lache un peu, c'était le cas de le dire...

Lucie : C'est bien ! Maintenant on peut boire, allez !

Elle me repris par la main, on venait de rentrer chez moi.
Je suis parti chercher les boissons et des verres, je lui dit de faire comme chez elle au salon.
Je rentrais dans la cuisine, pris 2 verres, 2 bouteilles d'eau et 2 limonades.
En revenant dans le salon, j'avais les bras chargé de bouteilles fraiches.

Moi : Alors tu veux laquelle ? La...

Je n'avais pas le temps de finir ma phrase qu'elle était allongé sur le canapé, son corps en chaleur était sur mon canapé, elle croisait les jambes, en me regardant :

Lucie : Tu m'avais dit que je pouvais faire comme chez moi, alors je me suis permis, ça te dérange pas hein ?