Ceci est à prendre au second degré, Ponahoum & Cie se décharge de toute responsabilité en cas de génocide raciale basé sur cette fic. Toutes insultes, menaces quel qu’elles soient envers l’auteur sera sévèrement réprimé par 78 coups de bâton ainsi qu’une amputation des mains vous réduisant ainsi à lire cette fic et non à la commenté, cela vous fera peut-être réfléchir la prochaine fois.




Chapitre1 : On prend les mêmes et on recommence !

Tout débuta un mercredi après-midi lorsque soudain...

« Ohohoh tu vas fermer ta gueule ouais ? »Je suis le narrateur moi et y’est pas question que tu me fasses dire des conneries pareilles, j’vais t’en foutre moi des après-midi, tu t’es cru ou là, sur M6 le dimanche après-midi avec des série de merde, pour que papy et mamy puisse s’endormir et faire leur fameuse sieste hebdomadaire ? 
Tu veux que ça bouge ?
Ouais j’veux qu’ça bouge !
Bah ça va bouger alors !
J’attends !
…
J’attends encore !
…
Il neigeait. Un ciel gris, surréaliste, avec cette teinte si particulière que lui donnaient les flocons hivernaux. Et nous, nous étions là. Dans une zone de banlieue parisienne. Aujourd’hui, tout était vide. Lui, assis sur une antique chaise de bois, à ne rien faire qu’attendre. Au loin surgit une silhouette, une grosse et grasse silhouette, cette silhouette semblait rappeler à notre héros un souvenir plus que désagréable, une entité bien plus maléfique que tous les films d’horreur n’auraient pu imaginer. Lorsque qu’elle avança pas par pas Gerry pu temps bien que mal reconnaitre le visage de cette personne malgré la distance, le brouillard, la neige, la fumée de la maison voisine qui prenait feu sans oublier la troupe de saltimbanque tyrolien qui dansait et chantait à tue-tête demandant une pièce pour chaque prestation qu’ils eussent effectué (aight je ne connaissais même pas ce temps,, merci à la correction automatique). Une fois cette personne reconnue, quelques mots ne purent s’empêcher de sortir de la bouche de Gerry ; ces mots ne pouvaient être autres que …maman… et …merde.
Gerry n’avait que quelques heures devant lui pour savoir ce qu’il allait faire lorsque sa mère arriverait à traverser ce foutu mendié situé au beau milieu de la route pour surement lui demander d’aller accomplir des tâches ménagères fastidieuse et dégradante pour la gente masculine. Un subterfuge lui vint alors à l’esprit histoire d’éviter une fois de plus la longue sermonnade sur le fait qu’il ne foutait rien à la maison. Ce subterfuge n’était autre que de se déguiser en une femme voilée, histoire de, passer incognito auprès de sa mère et de pouvoir aller se réfugier chez son petit copain Thomas pour fumer du crack. Gerry se précipita donc dans la cuisine afin de se munir de ciseaux et du drap de soie que sa grande tante Tchoupka lui avait envoyé lors de sa visite annuelle à Pétaouchnock, voyage duquel elle n’était jamais revenue. Une fois le subterfuge réalisé, Gerry alla donc s’installer sous le parvis de la maison, il s’était même courbé pour rendre ce subterfuge encore plus réaliste. Sa mère essoufflé de son voyage arriva nez à nez avec Gerry, elle ne savait donc pas que c’était lui. S’engagea par la suite une discussion plutôt…… bizarre (voilà c’est le mot)
Oh vous devez être « Bougoula », la nouvelle femme de ménage !
…
Gerry perplexe quant au nom de cette femme ne savait plus quoi répondre
Ne soyez pas timide, je ne vais pas vous mangez, ahahah. (Lorsqu’une grosse dame vous dit ça, ne soyez pas trop confiant)
Oui excusié moi madame.
Tenez, voici une liste de course, mon bon à rien de fils n’est pas là, allez donc faire les courses, et tachez de revenir vite, aucun retard ne sera excusé.
Tout di suite madame.
Gerry, dépité ne pouvait que s’exécuté car sa mère le fixait du coin de la fenêtre un fusil à la main, prête à agir au cas où, une chose disparaitrait sur le parvis de la maison. Gerry alla donc faire les courses…


TO BE CONTINUED