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Rocco le poney et la Joconde


Par : GreenStatik
Genre : Sayks, Horreur
Statut : Terminée



Chapitre 1 : *bruits de poney.*


Publié le 13/06/2011 à 00:58:09 par GreenStatik

Un jour de beau printemps, hui se baladait à dos de poney. Oui, il avait acheté récemment un beau et petit poney. Un poney avec une crinière blanche et douce, un poney que tout le monde aurait voulu. Il l'avait appelé Rocco, en guise de référence. Rocco aimait brouter. Oui, il aimait brouter l'herbe. C'était son péché mignon.
Il était à quelques kilomètres d'un village, une bonne vingtaine pour être précis. Un champ les entourait, de toutes parts. Quelques arbres étaient parfois visibles, mais c'était plutôt rare. Hui c'était mis à chanter, à un certain moment (désolé pour la majuscule. :hap:) :

" De Nantes à Montaigu, la digueuh, la digueuhhhh ! De Nantes à Montaigu, la digue du cul !"

Le poney se mit à hennir au cinquième couplet (que je ne citerais pas, je ne connais pas toute la chanson). Il avait soif, et un peu faim. Hui s'arrête donc, avant de descendre et de donner une petite tape sur le flanc de sa belle bête.

- Tu as soif, mon Rocco ? dit-il. Allez, une petite pause de 10 minutes et on repart. Je vais pisser un coup !

Oui, il est un peu con, il parle à son poney. M'enfin, bref. Aurais-je oublier de préciser qu'un paysan était présent de ces champs ? Bêche à la main, chapeau sur la tête, ect.

Et ainsi le poney, trouvant l'herbe plus que verte, commença à la brouter. La Joconde, se trouvant de ce noble pâturage, prenait la soleil, complètement nue et allongée sur l'herbe. Le poney, se décalant de plus en plus finit par tomber nez à nez sur les lèvres de cette dernière. Sentant que quelque chose la chatouillait, elle regarda dans cette direction. Une large sourire se dessina sur son visage, blanc comme un linge.

- Oh, mais qui voilà ? Un noble étalon, tout blanc comme neige. Que veux-tu, petit coquin ?

(Bon, les mecs... je tiens à vous dire que les scènes qui suivent sont... un peu... rebutantes. Bon, ok, c'est toujours sympa de voir jouir cette salope de Joconde, mais... voilà. Voyez-vous, en ce moment, je contemple ce magnifique bouton "Envoyer la purée" et là... je pleure. :hap: (oui, ça va être dégueulasse. :hap:))

En guise de réponse, le poney continua son petite manège, en broutant (ouais, le deuxième sens) doucement cette magnifique demoiselle. Elle poussa un petit cri de surprise, avant de se mettre à rigoler, nerveusement. Elle se sait de son sein gauche avec sa main gauche, avant de fermer les yeux et de respirer de façon saccadée.
De son côté, hui continuait de pisser. Une grosse envie que je vous dis ! Et le fermier... bah... euh... mais... c'est qu'il serait pas en train de mater, cet enfoiré ?!

- Oh que voilà... une bien gentille... personne, gémit-elle.

Au bout de quelques secondes, Rocco trouva la perle magique. Sa "partenaire" lâcha un cri, avant de se retirer tout doucement et de se lever. Elle caressa tout doucement le cou de son étalon, avant de lui glisser un petit mot doux à l'oreille. Sa queue se redressa, il se mit à hennir encore une fois. Elle, elle se mit à rire, avant de s'adosser contre un arbre. Elle écarta doucement ses jambes, avant de se frotter au niveau de l'intimité, et de faire signe au poney (... :hap:). Il s'avança, avant de se mettre debout, sur ses pattes arrières et de poser ses pattes avant sur le tronc de l'arbre. Elle était maintenant apparente, longue et magnifique. Son chibre était dur comme fer. Une putain de baguette. 40 cm de pur bonheur (bon, j'me suis pas renseigné, mais je pense que c'est à peu près la taille d'une bite de poney). Elle posa sa main droite dessus, avant de faire quelques aller-retours.
Le paysan posa sa bêche un petit instant.

- Nom d'ieu, j'ai jamais vu si belle scène. Qu'j'dis, moi, la nature, y'a pas pu beau.

Elle osa lécher cette offrande du bout de la langue. C'était à la fois chaud et froid, mais aussi humide. Elle l'enfourna finalement de sa bouche, afin de faire quelques petits mouvements. Son autre main battait aussi la cadence, tantôt un doigt, tantôt deux. Ils s'humidifiaient au fur et à mesure de chaque mouvement. Elle tenta une gorge profonde, mais s'y résigna, ne pouvant qu'avancer au quart de l'engin. Au bout d'une dizaine de minutes, elle s'arrêta avant de se mettre debout contre l'arbre.

- Hey, Rocco, j'en ai plus pour très longtemps ! cria hui.
- Oh, vous vous... nommez Rocco ? s'émerveilla-t-elle. Je suis la Joconde, enchantée.
- Uhhhhhhhhh ! henni-t-il.
- La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant ! fit Clemicool1, passant par là.
- Oh, Rocco, prenez-moi sur place, contre cet arbre ! fit-elle, se met face à l'arbre et dos au poney.

Celui-ci, ne se laissant pas désirer, et voyant son magnifique postérieur, entama une lente et douloureuse pénétration, aidée par une main directrice. La Joconde étouffa plusieurs cris et jurons, avant d'y trouver du réel plaisir. Son fantasme a toujours été celui de le faire un poney, elle était enfin comblée. Elle souffrait un petit peu, même beaucoup, mais le bonheur était bien là. Mais le pire était à venir.
Il donna des coups de reins (un poney a-t-il réellement des reins... ?) de plus en plus rapide. Des cris de jouissance mais aussi d'agonie sortirent du fin-fond des entrailles de la jeune vierge (ouais, elle l'est dans ma fic, faites pas chier. :hap:). Après 20 minutes de pures et dures pénétrations, le poney se retira. Elle comprit tout de suite où il voulait en venir : elle se mit à genoux, avant de lui refaire une seconde fellation, qui ne dura que le temps d'un soupir. Il éjacula, tel une fontaine. La jouissance ultime. Le plus bel acte animal mais aussi humain. Le foutre se répandant sur le sol, aussi bien que sur la poitrine de sa victime mais aussi dans sa gorge. 2 litres, à en tout casser. C'était magnifique.

- Glou glou glou, fit-t-elle, en s'étouffant, avant d'avaler petit à petit.
- Didiou, jura le paysan.

Le poney se dégagea de l'arbre, pour se remettre sur ses quatre pattes. Il était maintenant un homme, un vrai poney mâle. Hui referma sa braguette, avant de siffler ce dernier, qui arriva au trot, laissant derrière lui un petit filet de sperme. La Joconde gisait par terre, les cheveux baignant dans le liquide, son corps plus blanc que jamais. Son con était d'un rougeur extrême, ainsi que son arrière train. Mais elle était contente de cette si belle aventure. C'était de la baise, de la baise pure et dure, sauvage. Elle pouvait reprendre le soleil, tranquillement et heureuse. Et peut-être même une petite douche.
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La morale de cette histoire ? Euh... bah... merde, pourquoi vous avez lu ça ? :hap:

Voilà, pour toutes plaintes, merci de vous adresser à Nirvana. :troll:


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