L'homme au costume noir.
Par : Calce
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Chapitre 1.
Publié le 21/04/11 à 10:44:17 par Calce
Frêle et pauvre créature. Déjà bien martyrisé. Attachée au montant du lit de la chambre, elle regardait l'homme avec un air pitoyable. Un homme nu, fort, beau, viril et bien plus jeune qu'elle. Son sexe se dressait droit et solide comme le bois. La femme, elle aussi nue et sur le ventre, simplement retenue au poignet par deux paires de menottes, observait avec envie et crainte la verge qui allait la pilonner, elle ne savait pas où encore.
Ce fut son cul. Très brutalement, très profondément, il s'enfonça en elle, allant et venant, brulant ses tissus, blessant sa chair et son orgueil. Ce fut une vulgaire enculade, sale et humiliante, qui fit venir à la pauvre victime des larmes de rage, de honte, de haine. Des larmes nécessaire et salvatrice. Un bonheur pervers.
Il jouit en elle. Le préservatif retint le sperme, mais cela ne changeait rien. Elle n'était rien, plus rien. Elle sanglota alors que l'homme partit dans la salle de bain. Le cul à l'air, comme une chienne en chaleur, dans l'impossibilité de bouger. Elle resta ainsi, attendant que l'homme veuille bien la libérer. Il revint une dizaine de minutes plus tard, habillé de son costume sombre qui n'allait pas avec son air quelque peu juvénile. Elle se fit alors la même remarque, la même chaque semaine : « Sylvie, tu t'es faite martyrisé, humilié et enculé par un môme de vingt ans. Tu n'es qu'une merde... » Il inséra alors, comme à chaque fois, sans rien dire, les deux petites clefs dans les trous de serrure des menottes, ouvrit le tiroir de la table de nuit, pris l'enveloppe qu'il y trouva, son sac près du bureau et sorti de la chambre.
Elle attendit quelques instants avant de se libérer. Elle reprit son calme, son souffle et ses esprits alors qu'elle se dirigeait vers la salle de bain. Elle se doucha dans le noir, comme toujours, avec seule la lumière d'une veilleuse pour distinguer le fin contour des objets. Ainsi, elle pouvait revenir à la femme qu'elle montre au reste du monde. Une femme dure, droite, sévère, presque aigre. Une femme de pouvoir. Elle pensa au rendez-vous, aux dossiers, aux tracas. Elle reprit alors totalement ses esprits.
C'est quand elle alluma la lumière pour se maquiller qu'elle vit la boite. Une boite noire mate, avec un gros noeud rose dessus. Elle ne comprit pas tout de suite que c'était l'homme qui le lui avait laissé, car l'homme était maintenant loin dans son esprit. Il ne faisait pas partie de son existence en quelque sorte. C'était un rêve, un peu.
Légèrement fâché de se voir , par la présence même de cet objet, renvoyer son image de femme soumise à la figure ; elle hésita entre jeter la boite avant ou après l'avoir ouvert. La curiosité l'emporta. L'objet renfermé était une culotte de latex noire et épaisse. Une particularité curieuse était les petits godes disposé vers l'intérieur et sensé pénétrer la victime par les deux orifices. Ils n'étaient certes pas bien gros, mais surement suffisamment dérangeants. Cet instrument de désir était accompagné d'un mot : « Vendredi, 16 heures, tu porteras ça ! »
Tout spectateur présent à cet instant aurait fui. La colère n'était pas physique, mais se ressentait dans le moindre de ses poils hérissés sur sa peau. Elle quitta la salle de bain, pris son téléphone, appela dans son répertoire « W », et attendis que son interlocuteur décroche :
« — allo ?
- Tu te crois malin, petit con ? Tu sais qui je suis? Ne vient pas la semaine prochaine, c'est fini. »
Elle raccrocha, pris son sac, sorti dans le couloir et appela l'ascenseur, se forçant à reprendre encore son calme. Elle ne ressentait plus la douleur aux fesses, elle l'oubliait. Dans le hall de l'hôtel, elle se dirigea vers deux gorilles qui semblaient l'attendre. Ils n'eurent aucune expression à son arrivée, ces hommes-là n'ont de toute manière jamais aucune réaction.
"- Madame ?
- Au ministère.
- Bien madame la ministre."
Fin du chapitre 1.
Ce fut son cul. Très brutalement, très profondément, il s'enfonça en elle, allant et venant, brulant ses tissus, blessant sa chair et son orgueil. Ce fut une vulgaire enculade, sale et humiliante, qui fit venir à la pauvre victime des larmes de rage, de honte, de haine. Des larmes nécessaire et salvatrice. Un bonheur pervers.
Il jouit en elle. Le préservatif retint le sperme, mais cela ne changeait rien. Elle n'était rien, plus rien. Elle sanglota alors que l'homme partit dans la salle de bain. Le cul à l'air, comme une chienne en chaleur, dans l'impossibilité de bouger. Elle resta ainsi, attendant que l'homme veuille bien la libérer. Il revint une dizaine de minutes plus tard, habillé de son costume sombre qui n'allait pas avec son air quelque peu juvénile. Elle se fit alors la même remarque, la même chaque semaine : « Sylvie, tu t'es faite martyrisé, humilié et enculé par un môme de vingt ans. Tu n'es qu'une merde... » Il inséra alors, comme à chaque fois, sans rien dire, les deux petites clefs dans les trous de serrure des menottes, ouvrit le tiroir de la table de nuit, pris l'enveloppe qu'il y trouva, son sac près du bureau et sorti de la chambre.
Elle attendit quelques instants avant de se libérer. Elle reprit son calme, son souffle et ses esprits alors qu'elle se dirigeait vers la salle de bain. Elle se doucha dans le noir, comme toujours, avec seule la lumière d'une veilleuse pour distinguer le fin contour des objets. Ainsi, elle pouvait revenir à la femme qu'elle montre au reste du monde. Une femme dure, droite, sévère, presque aigre. Une femme de pouvoir. Elle pensa au rendez-vous, aux dossiers, aux tracas. Elle reprit alors totalement ses esprits.
C'est quand elle alluma la lumière pour se maquiller qu'elle vit la boite. Une boite noire mate, avec un gros noeud rose dessus. Elle ne comprit pas tout de suite que c'était l'homme qui le lui avait laissé, car l'homme était maintenant loin dans son esprit. Il ne faisait pas partie de son existence en quelque sorte. C'était un rêve, un peu.
Légèrement fâché de se voir , par la présence même de cet objet, renvoyer son image de femme soumise à la figure ; elle hésita entre jeter la boite avant ou après l'avoir ouvert. La curiosité l'emporta. L'objet renfermé était une culotte de latex noire et épaisse. Une particularité curieuse était les petits godes disposé vers l'intérieur et sensé pénétrer la victime par les deux orifices. Ils n'étaient certes pas bien gros, mais surement suffisamment dérangeants. Cet instrument de désir était accompagné d'un mot : « Vendredi, 16 heures, tu porteras ça ! »
Tout spectateur présent à cet instant aurait fui. La colère n'était pas physique, mais se ressentait dans le moindre de ses poils hérissés sur sa peau. Elle quitta la salle de bain, pris son téléphone, appela dans son répertoire « W », et attendis que son interlocuteur décroche :
« — allo ?
- Tu te crois malin, petit con ? Tu sais qui je suis? Ne vient pas la semaine prochaine, c'est fini. »
Elle raccrocha, pris son sac, sorti dans le couloir et appela l'ascenseur, se forçant à reprendre encore son calme. Elle ne ressentait plus la douleur aux fesses, elle l'oubliait. Dans le hall de l'hôtel, elle se dirigea vers deux gorilles qui semblaient l'attendre. Ils n'eurent aucune expression à son arrivée, ces hommes-là n'ont de toute manière jamais aucune réaction.
"- Madame ?
- Au ministère.
- Bien madame la ministre."
Fin du chapitre 1.
03/05/11 à 02:19:38
mord*
(oui bon m'enfin c'est 1h30 du mat......)
03/05/11 à 02:18:51
Je suis d'accord avec Lucille, c'est cru mais pas trop vulgaire, après certain termes étaient un peu plus vulgaire mais c'est peu dérangeant.
Je suis aussi de l'avis de tout le monde, il y a un scénario,donc on peut voir ce que ça donne.
Mais attention à la vulgarité, Nirvana est pas commode (il mort ! )
23/04/11 à 14:26:39
Je trouve ça con, la scène est pas si violente que ça, c'est juste un peu cru.
'fin bref, si y'a une certaine intrigue je lirais.
22/04/11 à 01:26:25
J'ai explosé à "Regarde NT1"
Sacré Nirvana
21/04/11 à 12:29:38
Bonjour !
C'est une intervention de méchant en costume, nous venons te prévenir qu'il faudrait atténuer la violence de tes scènes de sexes. Vraiment. (je suppose que c'est pour effectuer un contraste entre la vie de la femme de pouvoir, et le fait qu'elle se fasse... Enfin voila )
Sinon, la fin laisse une histoire encore inédite pour ce genre de fic... Alors, pourquoi pas.
Mais penses vraiment a attenuer la violence de tes scènes (normalement, ça doit être une fic plus "érotique" que "pornographique", pour te donner une idée... Je sais pas, regarde NT1 )
21/04/11 à 12:20:57
écoute mon petit pote, des fics de sexe, on est d'accord.
Mais là, c'est trop vulgaire. En temps normal, je serai d'avis de supprimer sans préavis. Mais, tu m'as l'air d'avoir un scénar', ça te laisse une chance.
évite juste la vulgarité du genre. " La femme, elle aussi nue et sur le ventre, simplement retenue au poignet par deux paires de menottes, observait avec envie et crainte la verge qui allait la pilonner, elle ne savait pas où encore. " et... " Ce fut une vulgaire enculade "
Tu m'excuseras, mais ce n'est pas tolérable.
21/04/11 à 12:10:42
NOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN
pas encore une fic
21/04/11 à 12:05:45
Hum... Je vois.
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