Dark : mais bordel, où est passé ma smirnoff. J'ai pas tout bu quand même ? (
Vlad : apparaissant de l'ombre salut dark, ta smirnoff, c'est kanzou qui se l'ai enfilé en t'attendant.
Dark : ARHHHHHH !!!!! Euh… je veux dire : il est où ce petit con ?
Vlad : il roule sous la table du salon, Ah, il a aussi fini tous les pringles avec Bouddha, désolé.
Dark : gardant son peu de calme qu'il lui restait je vais faire du steak de ces salopiauds, enfin bon je souhaite tout de même une bonne lecture de ma première fic à tous ceux qui ont eu le courage de de venir voir. Maintenant excusez-moi : BANDES DE PETITS CONS !!!!!! Courant vers le salon avec un regard de fou furieux (dans ce genre)
Vlad : tu parles d'un auteur, il va lui-même massacré ses personnages, il est au moins aussi barje qu'eux, enfin… commençons plutôt la fic. Même regard de psychopathe que l'auteur

Chapitre 0 : affreuse naissance

Autour de lui, c'était le néant, le vide, les ténèbres. Ce qu'il faisait là, il l'ignorait, ce qu'il savait, c'est qu'il allait sortir coûte que coûte. Que voulait-il ? Qu'espérait-il ? Que trouverait-il en dehors de cette noirceur. Encore et toujours des questions sans réponses, mais le futur est là pour lui apporter, les meilleurs comme les plus douloureuses…
Il bouge, il respire, il voit, il était... vivant. Il regarda autour de lui et vis ce qui semblait un spectacle d'horreur. Une salle, non, les restes d'un laboratoire gigantesque s'étendait devant lui. Le plafond, les murs, les ordinateurs, tout avait été éventrés avec une facilité déconcertante, des rochers, dans leurs chute, avaient écrasées toutes ces machines et on pouvait à présent entrevoir une douce lumière jaillir de cette ouverture, hélas, ce qu'elle illumina n’était autre les corps inertes des scientifiques, jonchant les dalles froides de la pièce, tous ayant la même expression : un visage horrifié par la mort et ce pour l’éternité.

Il détourna les yeux de ce « spectacle » et contempla la dernière chose intacte du labo. Un homme, sûrement la quarantaine car barbu, le fixait emprisonné dans son cocon de glace.

-Où est ce que je suis tombé ? Lance sa voix dans le silence du laboratoire

D'un saut, il se planta devant l'oeuvre d'art vivante et la contempla, mais ce qu'il vu en premier lieu, ce fût son reflet, une ombre ? Non, un monstre, totalement noir, comme une nuit sans lune... bien qu'une stature humaine, son visage ressemblait à une bête sauvage, une gueule béante ressemblant à un sourire forcé, des yeux grands et ronds, presque circulaire mais vide, tellement vide. Ses bras, atteignant le sol se finissait d'énormes mains terminé entre un mélange de doigts et de lames. Une queue longue, marquée de nombreux fossés ondulait avec grâce et puissance dans son dos.

-Je ne lui ressemble pas du tout. Remarqua-t-il avec une pointe d'ironie dans la voie, d'où lui vient cet agacement soudain, inutile, il l'ignore.

Il reprit ses esprits et contempla l'humain figée, étrange sa vue l'intéresse, il le voyait, ce scientifique, cet homme est toujours en vie. D’un geste souple, il pose sa main sur la glace. Tout s'enchaîna alors très vite. Des voix, beaucoup de voix, de la peine, de la douleur, et le froid, le pénétrant jusque dans les tréfonds de son âme. Il ne pût supporter cet amas de sensations et s’évanoui.