Ma prof d'Espagnol et moi
Par : MisterJohnson
Genre : Sayks , Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Kom ma prof me drag!
Publié le 02/01/11 à 03:18:32 par MisterJohnson
ANNONCE PREALABLE :
Oui. Oui, j'ai des burnes de taureau. Oui, je baise comme un dieu. Oui, je suis passé du statut de no life geek boutonneux associal moche que personne n'aime à no life geek boutonneux associal moche que personne n'aime qui baise toutes les bonnasses qui ont le malheur de présenter leur gros cul sous mon nez. Oui, c'est une fiction. Commençons.
Madame O*, est une femme BONNE.
Elle a un superbe cul et de beaux seins. Elle est portugaise et a donc un beau bronzage et est brune. Elle est assez petite (à peu près 1.70m), un peu plus grande que moi. Je l'ai depuis ma 4 ème.
Elle a un très beau cul MAIS elle ne met pas de string... elle met des grosses cullotes et des fois elle ne met pas de jean, ce qui rend moins agréable de la matter :'(
Elle met aussi des assez beaux décoletés qui me permettent d'observer avec amour quand elle se penche devant moi en demandant d'une voix de playmate "alors mi pequeno * qu'est ce qui va pas aujourd'hui? "
Je suis un très bon élève et elle m'aime bien. Depuis mon début de 3ème, je dis "Si sénora " à tout ce qu'elle dit, et elle me répond "Muchas gracias mi pequeno *" (=Merci beaucoup mon petit *).
Tous mes fantasmes sont avec elle, elle est la femme parfaite.
Aujourd'hui, elle était dans une tenue particulièrement excitante : un jean ultra-moulant, et elle n'avait pas mis de sous vêtement du tout. Elle se penchait régulièrement en se mettant face à moi, soit pour me parler en me montrant sa poitrine sans soutien à gorge, soit pour ramasser un stylo malencontreusement tombé en me montrant son magnifique fessier, et même une fois elle fit tomber son stylo sous mon bureau, et elle heurta par mégarde à plusieurs reprises ses mains à mon entrejambe "lo siento mi pequeno *!" "oops hihi" "oh un gros stylo ", le tout avec un sourire plein de sous-entendus, et moi, avec la trique d'enfer, de m'imaginer me faire sucer par elle.
Une fois retournée, ce jour, tellement excité, je me touchais en observant son postérieur si rond, si généreux. Mais, au bout d'un moment, elle tourna rapidement le torse en ma direction, vit ma main dans mon slip, et, avec un grand sourire, continua d'écrire au tableau, en bombant légèrement le cul. Elle continua d'alterner entre se pencher devant moi et écrire le cul bombé au tableau, et je finissais par éjaculer dans mon boxer. Je continuais alors de croire que tout ceci n'était qu'illusion et qu'elle ne me chauffait pas.
Puis, un moment, elle s'adressa à toute la classe :
"-Qui veut faire un jeu?
-Moi!
-Moi!
-Moi aussi!
-Tout le monde!
-Levez les mains!"
Elle me regarda, me jeta un sourire, vint me mettre son cul juste sous mon nez, de manière à pouvoir se faire observer, mais aussi de manière à ce que personne voit ce que je faisais, et elle annonça:
"-Bien! Je vais poser des questions, et celui qui a le plus de bonnes réponses, je lui ferait une petite gâterie à la fin des cours!" et elle eut un rire clair et doux.
Elle se retourna vers moi, et me chuchota :
"-Prend le papier que j'ai dans ma poche derrière."
Elle se retourna à nouveau et posa une première question. moi, je fourrai ma main dans sa poche de jean derrière, le contact de son cul me fit triquer à mort, mais je ne trouvais rien. Ca avait l'air de lui plaire aussi, elle bombait son cul vers moi. Elle se retourna encore et me dit:
"-Pas cette poche ci..."
Elle se tourna vers la classe, personne ne trouvait la réponse. Et alors je compris. Elle ne parlait pas vraiment d'une poche.
Je fourrai mes deux mains dans son jean, je touchais vraiment son cul, sa peau, ça l'excitait, moi aussi. Elle chuchota :
"-La poche intérieur..."
Je croyais rêver ! Elle me demandait de mettre ma main dans son anus... Ce que je fis. Elle poussa un petit cri, qu'elle masqua en disant "Alors! Bon, personne ne trouve?"
Elle jouait avec les muscles de ses fesses pour mieux sentir mes doigts. Je trouvais enfin un petit papier, elle se l'était introduit dans l'anus! J'avais du mal à le croire.
Je sortais de son anus, puis de son jean. Elle pencha la tête en arrière en gémissant légèrement.
Oui. Oui, j'ai des burnes de taureau. Oui, je baise comme un dieu. Oui, je suis passé du statut de no life geek boutonneux associal moche que personne n'aime à no life geek boutonneux associal moche que personne n'aime qui baise toutes les bonnasses qui ont le malheur de présenter leur gros cul sous mon nez. Oui, c'est une fiction. Commençons.
Madame O*, est une femme BONNE.
Elle a un superbe cul et de beaux seins. Elle est portugaise et a donc un beau bronzage et est brune. Elle est assez petite (à peu près 1.70m), un peu plus grande que moi. Je l'ai depuis ma 4 ème.
Elle a un très beau cul MAIS elle ne met pas de string... elle met des grosses cullotes et des fois elle ne met pas de jean, ce qui rend moins agréable de la matter :'(
Elle met aussi des assez beaux décoletés qui me permettent d'observer avec amour quand elle se penche devant moi en demandant d'une voix de playmate "alors mi pequeno * qu'est ce qui va pas aujourd'hui? "
Je suis un très bon élève et elle m'aime bien. Depuis mon début de 3ème, je dis "Si sénora " à tout ce qu'elle dit, et elle me répond "Muchas gracias mi pequeno *" (=Merci beaucoup mon petit *).
Tous mes fantasmes sont avec elle, elle est la femme parfaite.
Aujourd'hui, elle était dans une tenue particulièrement excitante : un jean ultra-moulant, et elle n'avait pas mis de sous vêtement du tout. Elle se penchait régulièrement en se mettant face à moi, soit pour me parler en me montrant sa poitrine sans soutien à gorge, soit pour ramasser un stylo malencontreusement tombé en me montrant son magnifique fessier, et même une fois elle fit tomber son stylo sous mon bureau, et elle heurta par mégarde à plusieurs reprises ses mains à mon entrejambe "lo siento mi pequeno *!" "oops hihi" "oh un gros stylo ", le tout avec un sourire plein de sous-entendus, et moi, avec la trique d'enfer, de m'imaginer me faire sucer par elle.
Une fois retournée, ce jour, tellement excité, je me touchais en observant son postérieur si rond, si généreux. Mais, au bout d'un moment, elle tourna rapidement le torse en ma direction, vit ma main dans mon slip, et, avec un grand sourire, continua d'écrire au tableau, en bombant légèrement le cul. Elle continua d'alterner entre se pencher devant moi et écrire le cul bombé au tableau, et je finissais par éjaculer dans mon boxer. Je continuais alors de croire que tout ceci n'était qu'illusion et qu'elle ne me chauffait pas.
Puis, un moment, elle s'adressa à toute la classe :
"-Qui veut faire un jeu?
-Moi!
-Moi!
-Moi aussi!
-Tout le monde!
-Levez les mains!"
Elle me regarda, me jeta un sourire, vint me mettre son cul juste sous mon nez, de manière à pouvoir se faire observer, mais aussi de manière à ce que personne voit ce que je faisais, et elle annonça:
"-Bien! Je vais poser des questions, et celui qui a le plus de bonnes réponses, je lui ferait une petite gâterie à la fin des cours!" et elle eut un rire clair et doux.
Elle se retourna vers moi, et me chuchota :
"-Prend le papier que j'ai dans ma poche derrière."
Elle se retourna à nouveau et posa une première question. moi, je fourrai ma main dans sa poche de jean derrière, le contact de son cul me fit triquer à mort, mais je ne trouvais rien. Ca avait l'air de lui plaire aussi, elle bombait son cul vers moi. Elle se retourna encore et me dit:
"-Pas cette poche ci..."
Elle se tourna vers la classe, personne ne trouvait la réponse. Et alors je compris. Elle ne parlait pas vraiment d'une poche.
Je fourrai mes deux mains dans son jean, je touchais vraiment son cul, sa peau, ça l'excitait, moi aussi. Elle chuchota :
"-La poche intérieur..."
Je croyais rêver ! Elle me demandait de mettre ma main dans son anus... Ce que je fis. Elle poussa un petit cri, qu'elle masqua en disant "Alors! Bon, personne ne trouve?"
Elle jouait avec les muscles de ses fesses pour mieux sentir mes doigts. Je trouvais enfin un petit papier, elle se l'était introduit dans l'anus! J'avais du mal à le croire.
Je sortais de son anus, puis de son jean. Elle pencha la tête en arrière en gémissant légèrement.
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