La vie d'un rapturien
Par : Deathly
Genre : Science-Fiction
Status : Terminée
Note :
Chapitre 1
Une lettre
Publié le 16/12/10 à 20:02:33 par Deathly
Le 2/22/50
Ce matin encore, ma tête m'a encore paru extrêmement lourde, engourdi par des réflexions aussi futiles qu'inutiles sur ma vie ici à Rapture, et comme d'habitude je me suis relevé avec énormément de peine du matelas miteux et déchiré qui me sert de paillasse. La seule fenêtre présente dans la pièce donnait sur les profondeurs abyssales de la cité ainsi que sur quelques bâtiments aussi laid que lugubre, dû au fait qu'aucun rayon de soleil ne parvenait jusqu'ici.
Ici l'humidité est omniprésente laissant des tâches sinueuses sur les murs déjà bien effrité par le temps et contenant une palette d'une seul et même couleur faites d'un triste mélange de bleu mêlé à du vert qui lui donnait un air sombre, sombre comme ma vie depuis mon arrivée dans cette ville de malheur, cité utopique de l'idéologiste Andrew Ryan. Présenté comme un paradis sur terre (ou plutôt dans un contexte comme celui-ci, sous terre) la vie se rapportant ici à une simple listes de tâches dont la répétitivité me rendait lasse et morose.
Travailler, manger et survivre, survivre dans un monde ou les hommes sont des loups pour eux-mêmes, se tuant pour une simple question "d'Adam". Une fois debout je me surpris à admirer avec envie la seule affiche plutôt osé de mon petit appartement. Elle représentait une pin-up célèbre des années 50' dédicacée par Gil Elvgren.
Un peu à côté sur le mur j'avais pris le temps d'accrocher avec l'aide de clous rouillés par l'usure une boite de métal faisant office de tiroir dans lequel je rangeais habituellement mon six coups et mes affaires les plus précieuses à mes yeux, comme quelques livres, de vieilles lettres et de vieilles photos jaunies et cornées par le temps et enfin ma montre porte bonheur. Je cherchais mon revolver fébrilement dans une cachette prévue à cet effet : un trou prenant la forme de l'arme dans ma bible et enveloppé dans un linceul de lin.
Après toutes mes activités habituelles du matin je me servis un verre de vodka d'une bouteille déjà vidé au trois quart, ce qui me démontrait mon indépendance vis à vis de l'alcool, cette alcool me permettant d'affronter la dure réalité du monde dans lequel j'appartiens. Puis soudainement une odeur alléchante me chatouilla les narines et je me sentit comme obliger de partir à l'origine de l'odeur. Je sortis en vitesse de mon appartement m'habillant simplement d'une veste en loque et partis à l'aventure. Le couloir menant à mon appartement était tout aussi lugubre et malsain. En remontant la source à travers les nombreux passages éclairés très faiblement par des lanternes accrochées à des poteaux en fer, installer à même le sol j'entendis très distinctement des cris angoissants d'hommes et de femmes pris au piège, tendu par les chrosomes jouant de leur armes sur les murs comme un orchestre entament une musique.
Tout en m'enfuyant j'entendais le bruit de leur pas résonnant sur le sol se rapprochant plus à chaque instant de moi. Puis à un certain moment n'en pouvant plus de courir je m'assois à même le sol m'adossant contre un mur et repris mon haleine petit à petit. C'est alors qu'ils arrivèrent en groupe, 6 ou 7 de ce que je pouvais voir, armés jusqu'aux dents (c'était le cas de le dire ,car l'un d'eux possédait une dague maintenue par ses dents). Une seule opportunitée s'offrait à moi : prendre une bonbonne de gaz en "otage" mais rien ne me garantissait qu'ils ne tireraient pas. Et c'est ainsi que je me retrouvis portant le baril dans mes bras en dernier espoir. Un des chrosomes me jaugea du regard ne voyant aucune résistance de ma part (sans aucun doute dû à la peur que j'avais), il tira une balle dans ma direction...
Le bruit assourdissant résonnait à travers l'immensité de la bâtisse construite de rêves et d'espoir, d'hommes et de femmes en quête d'un monde plus pur et plus juste le contexte de la scène donnait un air encore plus terrible à la scène à laquelle j'assistais depuis mon perchoir et de ce que je pouvais apercevoir , je voyais les chrosomes approchant lentement comme savourant plus intensément cet instant jubilatoire. S'en suit ensuite une énorme pagaille les uns marchant sur les autres, essayant de s'enfuir, tentant d'échapper à ce massacre, tentant d'échapper à cette triste folie meurtrière, mais la force et le surnombre de ces monstres hideux eu vite raison d'eux et je les vit rapidement tous mourir devant mes yeux. Tant d'âmes innocentes qui auraient pu être préservées de cette tuerie gratuite. Je m'apprêtais à m'enfuir quand un des chrosomes me repéra à travers les baies vitrées. Rien que leur visages déformés par l'abus d'Adam de terrifia et leur regard semblait si vide de toues émotions que cela m'en donnaient la chair de poule et je pris mes jambes à mon cou sans demander mon reste
[...] Il tira une balle dans ma direction... La balle éclata dans la tuyauterie déjà en mauvais état, dû au peu de soin qui lui était alloué. La tuyauterie située à quelques centimètres de ma tête explosa dans un bruit effroyable, faisant jaillir de toutes part l'eau qu'elle contenait et qui fluctuait en continu, s'engouffrant comme un seul homme dans l'immense pièce. Les murs commencèrent à trembler, laissant apparaître d'infimes fissures sur leur paroi, s'agrandissant seconde par seconde que le temps laissait s'échapper dans le néant. La pression de l'eau jaillissant comme une furie du mur le fit s'effondrer dans un lourd fracas de métal et de différents objets s'éclatant à la rencontre du sol, se cassant en milles morceaux de verres.
Tout ce capharnaüm entraina un épais nuage de poussière se déplaçant avec toute son aise à travers la salle s'amusant à me rentrer par la bouche pou m'en faire cracher mes poumons puis s'enfuyant par mes narines afin de continuer son cycle infernal. Une bonne partie du plafond, lui aussi très fragile finit par s'écrouler sur les quelques chrôsomes ayant eu l'infini bêtise de rester dans les parages après le "fâcheux" incident qui venait de se produire. Les chrôsomes se laissèrent mourir sous les décombre broyant leur os dans un horrible mélange de craquements d'os et de gémissements lugubre, ne pouvant faire grand chose pour sauver leur peau, bien que je n'ai aucune pitié pour eux.
Cet évènement aussi sanglant que opportun serait peut être mon ticket pour la survie dans cet immense guêpier, constitué de paroi en verre donnant une vue imprenable sur les océans environs reflétant l'eau qui s'écoulait dangereusement sur le sol.
Je fis un rapide tour de la pièce ainsi que de l'inventaire (se résumant à quelques maigres livres sur des sujets aussi ennuyant que rébarbatif) m'apercevant qu'il n'y avait aucune autre issue de secours donc aucune échappatoire possible autres que la noyade ou la suffocation par l'air enfumé. A chaque fois que je m'étais imaginé mourir c'était dans "mon" paisible petit coin de vie ou j'aurais pu passé le reste de mes vieux jours en me souvenant de la dure vie que j'avais mené, ici à Rapture.
J'aurais aimé mourir tranquillement dans ma chaise durant mon sommeil, ou encore durant un orgasme, petit fantasme de ma part (enfin si quelqu'un de sensé peut appeler cela comme ça) mais c'est une tout autre affaire et je n'ai nullement le temps ni l'envie de le coucher par écrit en ce moment au combien douloureux pour moi. Ne voulant pas en finir tout de suite avec la vie je m'assieds donc actuellement sur une bibliothèque placé en hauteur et surplombant de sa magnificence la salle toute entière me permettant d'assister à la déchéance de la cité d'un point de vue subjectif.
Je t'écris donc à toi, même si je n'ai pas l'habitude d'écrire. Je ne sais pas. J'aimerais bien écrire des milliers de pages, mais il y a des règles. Ca me gêne. Tout ça c'est déjà bien mal écrit. J'aimerais le coucher par écrit. Coucher par écrit ne me parait pas bien fameux. Ca doit être une de ces expressions toutes faites qui rebutent le lecteur qui lisent pour les éditeurs qui recherchent l'originalité qui leur paraît nécessaire dans les manuscrits que les éditeurs publient lorsqu'ils ont été lus par les lecteurs que rebutent les expressions toutes faites dans le genre de " coucher par écrit " qui est pourtant ce que je voudrais faire de quelque chose que j'ai vu aujourd'hui bien que je ne sois qu'un amateur que gênent les règles de la tragédie, du milliers de pages car je n'ai pas l'habitude d'écrire. Merde, je ne sais pas comment j'ai fait mais me voilà revenu tout au début. Tant pis.
Prenons le taureau par les cornes, alors que tu sois une petite fille, un petit garçon (bien que j'ai quelques préférences chez les garçons quelques peu enrobés, mais chacun ses goûts) ou un adulte peu m'importe pour que tu me lises un jour, jour ou peut être tout aura changé, qui aura peut être éconduit à la fin de tout ceci, de cet répugnante utopie démagogue qu'est l'idéologie d'Andrew Ryan et de ses partisans aussi loufoque les uns que les autres. En tout cas c'est ce que j'espère du plus profond de mon cœur et à travers ces quelques lignes je souhaite que le monde entier découvre ce qui se passe ici bas, qu'ils découvrent l'autre facette de Rapture, face beaucoup plus ténébreuse et méconnue que je ne l'aimerais.
Ceci est mon dernier souhait et je te demande de le respecter quoi qu'il arrive.
Choisir sa mort c'est ça que je veux.
Après tout qu'est ce que la mort?
Ce matin encore, ma tête m'a encore paru extrêmement lourde, engourdi par des réflexions aussi futiles qu'inutiles sur ma vie ici à Rapture, et comme d'habitude je me suis relevé avec énormément de peine du matelas miteux et déchiré qui me sert de paillasse. La seule fenêtre présente dans la pièce donnait sur les profondeurs abyssales de la cité ainsi que sur quelques bâtiments aussi laid que lugubre, dû au fait qu'aucun rayon de soleil ne parvenait jusqu'ici.
Ici l'humidité est omniprésente laissant des tâches sinueuses sur les murs déjà bien effrité par le temps et contenant une palette d'une seul et même couleur faites d'un triste mélange de bleu mêlé à du vert qui lui donnait un air sombre, sombre comme ma vie depuis mon arrivée dans cette ville de malheur, cité utopique de l'idéologiste Andrew Ryan. Présenté comme un paradis sur terre (ou plutôt dans un contexte comme celui-ci, sous terre) la vie se rapportant ici à une simple listes de tâches dont la répétitivité me rendait lasse et morose.
Travailler, manger et survivre, survivre dans un monde ou les hommes sont des loups pour eux-mêmes, se tuant pour une simple question "d'Adam". Une fois debout je me surpris à admirer avec envie la seule affiche plutôt osé de mon petit appartement. Elle représentait une pin-up célèbre des années 50' dédicacée par Gil Elvgren.
Un peu à côté sur le mur j'avais pris le temps d'accrocher avec l'aide de clous rouillés par l'usure une boite de métal faisant office de tiroir dans lequel je rangeais habituellement mon six coups et mes affaires les plus précieuses à mes yeux, comme quelques livres, de vieilles lettres et de vieilles photos jaunies et cornées par le temps et enfin ma montre porte bonheur. Je cherchais mon revolver fébrilement dans une cachette prévue à cet effet : un trou prenant la forme de l'arme dans ma bible et enveloppé dans un linceul de lin.
Après toutes mes activités habituelles du matin je me servis un verre de vodka d'une bouteille déjà vidé au trois quart, ce qui me démontrait mon indépendance vis à vis de l'alcool, cette alcool me permettant d'affronter la dure réalité du monde dans lequel j'appartiens. Puis soudainement une odeur alléchante me chatouilla les narines et je me sentit comme obliger de partir à l'origine de l'odeur. Je sortis en vitesse de mon appartement m'habillant simplement d'une veste en loque et partis à l'aventure. Le couloir menant à mon appartement était tout aussi lugubre et malsain. En remontant la source à travers les nombreux passages éclairés très faiblement par des lanternes accrochées à des poteaux en fer, installer à même le sol j'entendis très distinctement des cris angoissants d'hommes et de femmes pris au piège, tendu par les chrosomes jouant de leur armes sur les murs comme un orchestre entament une musique.
Tout en m'enfuyant j'entendais le bruit de leur pas résonnant sur le sol se rapprochant plus à chaque instant de moi. Puis à un certain moment n'en pouvant plus de courir je m'assois à même le sol m'adossant contre un mur et repris mon haleine petit à petit. C'est alors qu'ils arrivèrent en groupe, 6 ou 7 de ce que je pouvais voir, armés jusqu'aux dents (c'était le cas de le dire ,car l'un d'eux possédait une dague maintenue par ses dents). Une seule opportunitée s'offrait à moi : prendre une bonbonne de gaz en "otage" mais rien ne me garantissait qu'ils ne tireraient pas. Et c'est ainsi que je me retrouvis portant le baril dans mes bras en dernier espoir. Un des chrosomes me jaugea du regard ne voyant aucune résistance de ma part (sans aucun doute dû à la peur que j'avais), il tira une balle dans ma direction...
Le bruit assourdissant résonnait à travers l'immensité de la bâtisse construite de rêves et d'espoir, d'hommes et de femmes en quête d'un monde plus pur et plus juste le contexte de la scène donnait un air encore plus terrible à la scène à laquelle j'assistais depuis mon perchoir et de ce que je pouvais apercevoir , je voyais les chrosomes approchant lentement comme savourant plus intensément cet instant jubilatoire. S'en suit ensuite une énorme pagaille les uns marchant sur les autres, essayant de s'enfuir, tentant d'échapper à ce massacre, tentant d'échapper à cette triste folie meurtrière, mais la force et le surnombre de ces monstres hideux eu vite raison d'eux et je les vit rapidement tous mourir devant mes yeux. Tant d'âmes innocentes qui auraient pu être préservées de cette tuerie gratuite. Je m'apprêtais à m'enfuir quand un des chrosomes me repéra à travers les baies vitrées. Rien que leur visages déformés par l'abus d'Adam de terrifia et leur regard semblait si vide de toues émotions que cela m'en donnaient la chair de poule et je pris mes jambes à mon cou sans demander mon reste
[...] Il tira une balle dans ma direction... La balle éclata dans la tuyauterie déjà en mauvais état, dû au peu de soin qui lui était alloué. La tuyauterie située à quelques centimètres de ma tête explosa dans un bruit effroyable, faisant jaillir de toutes part l'eau qu'elle contenait et qui fluctuait en continu, s'engouffrant comme un seul homme dans l'immense pièce. Les murs commencèrent à trembler, laissant apparaître d'infimes fissures sur leur paroi, s'agrandissant seconde par seconde que le temps laissait s'échapper dans le néant. La pression de l'eau jaillissant comme une furie du mur le fit s'effondrer dans un lourd fracas de métal et de différents objets s'éclatant à la rencontre du sol, se cassant en milles morceaux de verres.
Tout ce capharnaüm entraina un épais nuage de poussière se déplaçant avec toute son aise à travers la salle s'amusant à me rentrer par la bouche pou m'en faire cracher mes poumons puis s'enfuyant par mes narines afin de continuer son cycle infernal. Une bonne partie du plafond, lui aussi très fragile finit par s'écrouler sur les quelques chrôsomes ayant eu l'infini bêtise de rester dans les parages après le "fâcheux" incident qui venait de se produire. Les chrôsomes se laissèrent mourir sous les décombre broyant leur os dans un horrible mélange de craquements d'os et de gémissements lugubre, ne pouvant faire grand chose pour sauver leur peau, bien que je n'ai aucune pitié pour eux.
Cet évènement aussi sanglant que opportun serait peut être mon ticket pour la survie dans cet immense guêpier, constitué de paroi en verre donnant une vue imprenable sur les océans environs reflétant l'eau qui s'écoulait dangereusement sur le sol.
Je fis un rapide tour de la pièce ainsi que de l'inventaire (se résumant à quelques maigres livres sur des sujets aussi ennuyant que rébarbatif) m'apercevant qu'il n'y avait aucune autre issue de secours donc aucune échappatoire possible autres que la noyade ou la suffocation par l'air enfumé. A chaque fois que je m'étais imaginé mourir c'était dans "mon" paisible petit coin de vie ou j'aurais pu passé le reste de mes vieux jours en me souvenant de la dure vie que j'avais mené, ici à Rapture.
J'aurais aimé mourir tranquillement dans ma chaise durant mon sommeil, ou encore durant un orgasme, petit fantasme de ma part (enfin si quelqu'un de sensé peut appeler cela comme ça) mais c'est une tout autre affaire et je n'ai nullement le temps ni l'envie de le coucher par écrit en ce moment au combien douloureux pour moi. Ne voulant pas en finir tout de suite avec la vie je m'assieds donc actuellement sur une bibliothèque placé en hauteur et surplombant de sa magnificence la salle toute entière me permettant d'assister à la déchéance de la cité d'un point de vue subjectif.
Je t'écris donc à toi, même si je n'ai pas l'habitude d'écrire. Je ne sais pas. J'aimerais bien écrire des milliers de pages, mais il y a des règles. Ca me gêne. Tout ça c'est déjà bien mal écrit. J'aimerais le coucher par écrit. Coucher par écrit ne me parait pas bien fameux. Ca doit être une de ces expressions toutes faites qui rebutent le lecteur qui lisent pour les éditeurs qui recherchent l'originalité qui leur paraît nécessaire dans les manuscrits que les éditeurs publient lorsqu'ils ont été lus par les lecteurs que rebutent les expressions toutes faites dans le genre de " coucher par écrit " qui est pourtant ce que je voudrais faire de quelque chose que j'ai vu aujourd'hui bien que je ne sois qu'un amateur que gênent les règles de la tragédie, du milliers de pages car je n'ai pas l'habitude d'écrire. Merde, je ne sais pas comment j'ai fait mais me voilà revenu tout au début. Tant pis.
Prenons le taureau par les cornes, alors que tu sois une petite fille, un petit garçon (bien que j'ai quelques préférences chez les garçons quelques peu enrobés, mais chacun ses goûts) ou un adulte peu m'importe pour que tu me lises un jour, jour ou peut être tout aura changé, qui aura peut être éconduit à la fin de tout ceci, de cet répugnante utopie démagogue qu'est l'idéologie d'Andrew Ryan et de ses partisans aussi loufoque les uns que les autres. En tout cas c'est ce que j'espère du plus profond de mon cœur et à travers ces quelques lignes je souhaite que le monde entier découvre ce qui se passe ici bas, qu'ils découvrent l'autre facette de Rapture, face beaucoup plus ténébreuse et méconnue que je ne l'aimerais.
Ceci est mon dernier souhait et je te demande de le respecter quoi qu'il arrive.
Choisir sa mort c'est ça que je veux.
Après tout qu'est ce que la mort?
16/12/10 à 20:29:18
Bien de se faire la pub?
16/12/10 à 20:20:41
Bioshock spotted
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