Welcome in the S.A.S.
Par : BluePuma
Genre : Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 5
Entraînement
Publié le 27/06/10 à 06:28:41 par BluePuma
Le lendemain, Shark me réveilla à 5h30 du matin, autant vous dire que j’étais mort. Surtout qu’après avoir fait un brin de toilette, Snake me tendit une assiette avec une omelette et des saucisses, croyez-moi, on n’a vraiment pas envie de manger autant aussi tôt.
- Mange, m’encouragea Shark, tu vas en avoir besoin pour ton entraînement, crois-moi.
Je me forçais donc à manger puis Shark m’emmena avec lui pour l’entraînement. Visiblement, il sera comme un guide car il parle la même langue que moi et pouvait donc tout m’expliquer. On avait apporté une valise avec quelques habits à moi telle qu’un maillot de bain, brosse à dents, parfums, déo, serviettes, etc.
Shark m’emmena dans l’aile D du centre d’entraînement où se trouvait une grande piscine. J’étais enthousiaste vu que j’aime bien nager mais lorsqu’il me demanda de faire cinquante longueurs, je fus un peu refroidi. Après avoir plongé dans l’eau, Shark resté sur le bord, me sortit :
- En nage papillon, les cinquante longueurs.
- Tu te fous de moi ?
- Pas du tout, ça va t’aider à te muscler les épaules tout en t’échauffant pour la suite.
- Parce que y’a une suite après cinquante longueurs en nage papillon ( ) ?
Shark éclata de rire et me dit de commencer. J’essayais de faire du mieux possible mais bon, au bout de cinq longueurs, j’étais crevé. Voyant mon état, Shark m’emmena boire un jus puis m’accompagna dans une salle où étaient alignés de nombreux vélos et tapis roulants, fait pour faire augmenter le taux d’oxygène. En d’autres termes, augmenter son endurance.
- Choisis ta machine, me dit Shark.
- Le tapis roulant …
- Parfait, j’en ferai avec toi. Quarante-cinq minutes de course, t’es prêt ?
- Euh… Non
Je réglais donc la vitesse de la machine de manière à avoir une allure entre trottiner et courir, Shark à côté de moi était déjà dans une course intense .
Après ces quarante-cinq minutes de course, j’avais les jambes en compote et était assez essoufflé sans être totalement mort. Shark, lui, semblait à peine essoufflé.
Il m’entraîna alors dans la salle de musculation où je dus faire cinquante redressements assis, vingt pompes puis tous les exercices classiques de poids me faisant travailler jambes, biceps, triceps, pectoraux, épaules, etc.
Après cet entraînement matinal éreintant, Shark me ramena dans notre baraquement pour manger. Apparemment, Lion et Snake avaient été aux stands de tir pendant que Hawk était allé faire de l’escalade. Après un repas copieux composé de poisson et de légumes, je fis la sieste pendant que les autres allaient à un cours sur la survie en montagne, ce qui ne me concernait apparemment pas vu que je ne fus pas appelé pour ce cours.
Après cette sieste, Shark vint me chercher pour l’entraînement aux stands de tir.
- T’as déjà tiré avec une arme ?, me demanda-t-il.
- Oui, avec un fusil de paint-ball et des pistolets à bille, répondis-je candidement.
- Et avec une arme à feu ?
- Jamais.
On arriva alors sur le stand de tirs mais nous passâmes tout d’abord par l’armurie. Shark me conseilla de commencer par tirer avec un pistolet. Il choisit un Beretta 92 (M9) et je choisis un USP.45 qui était assez lourd chargé bien que cela était assez supportable.
Shark me montra alors la position à adopter avec un pistolet puis me mit dans une sorte de box avec vue sur une cible. Je me mis alors à tirer sous le regard de Shark et d’un officier. Après avoir vidé mon chargeur, j’appuyais sur un bouton qui m’amena la cible.
- Pas mal, s’exclama Shark.
- Merci .
Shark commença alors à tirer, presque toutes les balles atteignirent la tête de la cible.
Après cet entraînement, Shark me mena finalement à l’extérieur du centre d’entraînement vers un mur avec des prises permettant de l’escalader. J’étais anxieux vu que je n’avais fait de l’escalade que deux fois dans ma vie. Shark m’attacha le harnais et un casque puis je commençais à aborder ce mur. Shark, resté en bas, me donnait la direction à prendre lorsque je grimpais si bien que j’atteignis le haut au bout de …
- Vingt-cinq minutes, Puma, pas mal, commenta Shark.
- Merci, tu fais combien toi ?
- Onze minutes et demie à peu près, répondit-il. Bon aller, dernière entraînement de la journée, combat.
- Oh non .
Shark m’amena dans l’aile E où ne se trouvait que des salles de combat.
- Close-Contact, Puma. T’as déjà fait un sport de combat ?
- Judo.
- Je serai ton instructeur aujourd’hui, me déclara simplement Shark.
Le colosse me montra alors les mouvements de base, puis on commença. Nous tournions en ne se lâchant pas du regard. Je commençais par un coup de pied que l’expert en armes évita aisément puis il me lança un crochet que je parvenais de bloquer de justesse enchaîné d’un coup de pied sur la hanche qui me percuta de plein fouet. Je m’effondrai vu la violence du coup. Je me relevai toutefois en tentant un coup de poing sur le plexus solaire que Shark bloqua puis m’envoya un crochet que j’évitais avant de me prendre un coup de poing sur le plexus solaire qui me coupa le souffle et me fis à nouveau tomber au sol. Je fus tellement mis au tapis qu’il me fallut prendre mon courage à deux mains pour me relever.
Après cette journée d’entraînement, je mangeais à peine avant de m’effondrer de fatigue sur mon lit. Je ne me sentis même pas toucher l’oreiller.
- Mange, m’encouragea Shark, tu vas en avoir besoin pour ton entraînement, crois-moi.
Je me forçais donc à manger puis Shark m’emmena avec lui pour l’entraînement. Visiblement, il sera comme un guide car il parle la même langue que moi et pouvait donc tout m’expliquer. On avait apporté une valise avec quelques habits à moi telle qu’un maillot de bain, brosse à dents, parfums, déo, serviettes, etc.
Shark m’emmena dans l’aile D du centre d’entraînement où se trouvait une grande piscine. J’étais enthousiaste vu que j’aime bien nager mais lorsqu’il me demanda de faire cinquante longueurs, je fus un peu refroidi. Après avoir plongé dans l’eau, Shark resté sur le bord, me sortit :
- En nage papillon, les cinquante longueurs.
- Tu te fous de moi ?
- Pas du tout, ça va t’aider à te muscler les épaules tout en t’échauffant pour la suite.
- Parce que y’a une suite après cinquante longueurs en nage papillon ( ) ?
Shark éclata de rire et me dit de commencer. J’essayais de faire du mieux possible mais bon, au bout de cinq longueurs, j’étais crevé. Voyant mon état, Shark m’emmena boire un jus puis m’accompagna dans une salle où étaient alignés de nombreux vélos et tapis roulants, fait pour faire augmenter le taux d’oxygène. En d’autres termes, augmenter son endurance.
- Choisis ta machine, me dit Shark.
- Le tapis roulant …
- Parfait, j’en ferai avec toi. Quarante-cinq minutes de course, t’es prêt ?
- Euh… Non
Je réglais donc la vitesse de la machine de manière à avoir une allure entre trottiner et courir, Shark à côté de moi était déjà dans une course intense .
Après ces quarante-cinq minutes de course, j’avais les jambes en compote et était assez essoufflé sans être totalement mort. Shark, lui, semblait à peine essoufflé.
Il m’entraîna alors dans la salle de musculation où je dus faire cinquante redressements assis, vingt pompes puis tous les exercices classiques de poids me faisant travailler jambes, biceps, triceps, pectoraux, épaules, etc.
Après cet entraînement matinal éreintant, Shark me ramena dans notre baraquement pour manger. Apparemment, Lion et Snake avaient été aux stands de tir pendant que Hawk était allé faire de l’escalade. Après un repas copieux composé de poisson et de légumes, je fis la sieste pendant que les autres allaient à un cours sur la survie en montagne, ce qui ne me concernait apparemment pas vu que je ne fus pas appelé pour ce cours.
Après cette sieste, Shark vint me chercher pour l’entraînement aux stands de tir.
- T’as déjà tiré avec une arme ?, me demanda-t-il.
- Oui, avec un fusil de paint-ball et des pistolets à bille, répondis-je candidement.
- Et avec une arme à feu ?
- Jamais.
On arriva alors sur le stand de tirs mais nous passâmes tout d’abord par l’armurie. Shark me conseilla de commencer par tirer avec un pistolet. Il choisit un Beretta 92 (M9) et je choisis un USP.45 qui était assez lourd chargé bien que cela était assez supportable.
Shark me montra alors la position à adopter avec un pistolet puis me mit dans une sorte de box avec vue sur une cible. Je me mis alors à tirer sous le regard de Shark et d’un officier. Après avoir vidé mon chargeur, j’appuyais sur un bouton qui m’amena la cible.
- Pas mal, s’exclama Shark.
- Merci .
Shark commença alors à tirer, presque toutes les balles atteignirent la tête de la cible.
Après cet entraînement, Shark me mena finalement à l’extérieur du centre d’entraînement vers un mur avec des prises permettant de l’escalader. J’étais anxieux vu que je n’avais fait de l’escalade que deux fois dans ma vie. Shark m’attacha le harnais et un casque puis je commençais à aborder ce mur. Shark, resté en bas, me donnait la direction à prendre lorsque je grimpais si bien que j’atteignis le haut au bout de …
- Vingt-cinq minutes, Puma, pas mal, commenta Shark.
- Merci, tu fais combien toi ?
- Onze minutes et demie à peu près, répondit-il. Bon aller, dernière entraînement de la journée, combat.
- Oh non .
Shark m’amena dans l’aile E où ne se trouvait que des salles de combat.
- Close-Contact, Puma. T’as déjà fait un sport de combat ?
- Judo.
- Je serai ton instructeur aujourd’hui, me déclara simplement Shark.
Le colosse me montra alors les mouvements de base, puis on commença. Nous tournions en ne se lâchant pas du regard. Je commençais par un coup de pied que l’expert en armes évita aisément puis il me lança un crochet que je parvenais de bloquer de justesse enchaîné d’un coup de pied sur la hanche qui me percuta de plein fouet. Je m’effondrai vu la violence du coup. Je me relevai toutefois en tentant un coup de poing sur le plexus solaire que Shark bloqua puis m’envoya un crochet que j’évitais avant de me prendre un coup de poing sur le plexus solaire qui me coupa le souffle et me fis à nouveau tomber au sol. Je fus tellement mis au tapis qu’il me fallut prendre mon courage à deux mains pour me relever.
Après cette journée d’entraînement, je mangeais à peine avant de m’effondrer de fatigue sur mon lit. Je ne me sentis même pas toucher l’oreiller.
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