Les chroniques de Danna
Par : Holy_Danna
Genre : Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Le village dévasté
Publié le 09/12/10 à 21:44:29 par Holy_Danna
Vous qui lisez mon histoire, sachez que j'aurais fait tout ce que je pouvais pour vous permettre de lutter contre le danger qui vous guette. Je vais vous raconter ce que nous avons affronté à mon époque, et j'espère que vous trouverez alors la force de lutter pour eus qui vous sont chers.
Livre I, prologue , le village dévasté.
Je m'appelle Danna, fille de la déesse de la vie : Dwayna. Malgré mon ascendance divine, j'ai vécu en Elona. Je fus recueilli par une famille de moines, voyant en moins un cadeau des dieux, ils n'étaient pas très loin de la réalité, mais ils ne sont plus de ce monde depuis trop longtemps. Je n'aurais jamais cru, quand j'étais plus jeune, que j'accomplirais ce que j'ai accompli, et si on me l'avait dit, j'aurais ri au visage du plaisantin. En effet, comment pouvait-on accomplir des exploits sans rien voir de ce qui nous entoure ?
Mon destin se mit en marche le jour tragique où des corsaires attaquèrent le village de Chahbek, où j'habitais alors. Ce n'était qu'un petit village, à coté de la grande ville qu'est Kamadan, joyau d'Istan Dès qu'ils virent arriver les pirates, ceux qui m'avaient jusqu'alors élevé me dirent de me cacher dans la cave. Alors qu'ils prenaient leurs armes, je sus qu'il se passait quelque chose de grave :
- P'pa, m'man, il se passe quoi ??
- Riens, reste à l'intérieur, dit mon père
- Mais ......
- Ne discutes pas, restes à l'intérieur, renchérit ma mère.
Je suivis leur conseil, pour la dernière fois. J'attendis longtemps, trop pour une jeune fille. Je ne pouvais qu'entendre les cris atroces qui résonnaient dans le village. Lorsque, trop terrifiée pour rester enfermée plus longtemps, je sortis de la maison, je sentis une odeur épouvantable. Lorsque je marcha sur quelque chose de mou, je compris ce qui s'était passé. Tout le monde était mort, il ne restait plus que moi. C'est alors que quelqu'un me pris par le bras, quelqu'un qui puait l'alcool et la sueur.
- Il reste une gamine, pour ceux qui sont intéressés, fit le corsaire.
Je ne me rappelle plus la raison qui m'a alors poussé à faire un geste que aurait du être inutile. Ainsi, j'ouvris les yeux et je vis l'horreur. La scène qui m'apparut, je ne souhaite à personne de la voir. Mais je devinais ce qui allait m'arriver si je ne faisais rien. Je réussis à me défaire de la poigne et courus alors dans ce qui était ma maison. Folle de terreur et de peur, je monta à l'étage. Quelque chose tomba derrière moi alors que je montais l'escalier. Je me retourna. il y avait une faux, dont les reflets métalliques semblaient m'attirer. Je sus que je devais combattre, et non plus fuir. Je pris la faux. Le corsaire qui avait osé m'attraper tomba par terre, tranché en deux. Une rage guerrière s'éleva en moi quand le sang chaud de celui qui avait osé me toucher jaillit des deux moitiés du corps. Je sortis de la maison, et, alors qu'un corsaire s'approchait de moi, me mis à danser. Une danse de vie pour les miens. Une danse de mort pour eux. La faux que je n'avais pas lâchée se mit à siffler. Je ne percevais plus ce qui m'entourait, mais seulement les âmes des pirates qui disparaissaient. Une à une. Jusqu'à ce qu'il n'en reste plus. Alors je tomba à genoux et me mis à pleurer, alors que le sang tombait partout autour de moi. Je n'avais plus de raisons de vivre,je m'allongea et perdis connaissance.
Je me réveillas en sursaut, quelques jours plus tard. Je me trouvais dans un lit plutôt confortable, et, lorsque j'ouvris les yeux, je ne vis rien. Ma cécité était toujours là, pourtant je me souvenais avoir vu quelque chose, mais comment était-ce possible. Alors que je me demandais où j'étais, j'entendis le bruit d'une porte qui s'ouvre :
- Qu....qui est là ?
- Ne t'inquiètes pas, tu n'as plus rien à craindre maintenant , fit une douce voix.
Je sentis alors la femme s'approcher de moi et me serrer contre sa poitrine. La chaleur qu'elle dégageait m'envahit et je me mis à pleurer.
- Non, plus rien à craindre, murmura-t-elle.
Qu'allais-je faire ? Tout ce qui composait ma vie avait été détruit en une seule journée. Des centaines de vie disparues, dont une grande partie par mes mains. Méritais-je encore de vivre ? J'en doute. Je devais mourir. Pour ceux que j'avais tué. Pour rejoindre les miens. pour quitter de monde que je ne voyais pas. Pour oublier. J'avais déjà décidé comment mourir. Par la lame avec laquelle j'avais prise tant de vies. Par cette lame, ma vie allait disparaître. Ainsi, je ne serais pas un fardeau pour celle qui m'avait recueillie.
Elle n'était pas dans la chambre, je n'entendais plus son souffle. Je devais me lever, et trouver la faux, en espérant qu'elle était dans la pièce. Je réussis à me mettre debout. Alors que je touchais les murs afin de trouver l'arme que j'avais utilisé, je trébucha sur une barre métallique. Je reconnus alors l'objet qui m'avait fait tombé, c'était ma faux. Je chercha la lame, sur laquelle je m'écorcha le doigt. Alors, je mis mes poignets à nu, et d'un geste rapide, la fin trancha la chair.
Je sentais un liquide chaud couler le long de mes avant-bras. Je sentais la vie me quitter. Cela faisait mal, trop mal. Mais bientôt, je n'aurais plus mal. Oui, tout aller bientôt se finir. Je sentis alors le froid m'envahir.
Livre I, prologue , le village dévasté.
Je m'appelle Danna, fille de la déesse de la vie : Dwayna. Malgré mon ascendance divine, j'ai vécu en Elona. Je fus recueilli par une famille de moines, voyant en moins un cadeau des dieux, ils n'étaient pas très loin de la réalité, mais ils ne sont plus de ce monde depuis trop longtemps. Je n'aurais jamais cru, quand j'étais plus jeune, que j'accomplirais ce que j'ai accompli, et si on me l'avait dit, j'aurais ri au visage du plaisantin. En effet, comment pouvait-on accomplir des exploits sans rien voir de ce qui nous entoure ?
Mon destin se mit en marche le jour tragique où des corsaires attaquèrent le village de Chahbek, où j'habitais alors. Ce n'était qu'un petit village, à coté de la grande ville qu'est Kamadan, joyau d'Istan Dès qu'ils virent arriver les pirates, ceux qui m'avaient jusqu'alors élevé me dirent de me cacher dans la cave. Alors qu'ils prenaient leurs armes, je sus qu'il se passait quelque chose de grave :
- P'pa, m'man, il se passe quoi ??
- Riens, reste à l'intérieur, dit mon père
- Mais ......
- Ne discutes pas, restes à l'intérieur, renchérit ma mère.
Je suivis leur conseil, pour la dernière fois. J'attendis longtemps, trop pour une jeune fille. Je ne pouvais qu'entendre les cris atroces qui résonnaient dans le village. Lorsque, trop terrifiée pour rester enfermée plus longtemps, je sortis de la maison, je sentis une odeur épouvantable. Lorsque je marcha sur quelque chose de mou, je compris ce qui s'était passé. Tout le monde était mort, il ne restait plus que moi. C'est alors que quelqu'un me pris par le bras, quelqu'un qui puait l'alcool et la sueur.
- Il reste une gamine, pour ceux qui sont intéressés, fit le corsaire.
Je ne me rappelle plus la raison qui m'a alors poussé à faire un geste que aurait du être inutile. Ainsi, j'ouvris les yeux et je vis l'horreur. La scène qui m'apparut, je ne souhaite à personne de la voir. Mais je devinais ce qui allait m'arriver si je ne faisais rien. Je réussis à me défaire de la poigne et courus alors dans ce qui était ma maison. Folle de terreur et de peur, je monta à l'étage. Quelque chose tomba derrière moi alors que je montais l'escalier. Je me retourna. il y avait une faux, dont les reflets métalliques semblaient m'attirer. Je sus que je devais combattre, et non plus fuir. Je pris la faux. Le corsaire qui avait osé m'attraper tomba par terre, tranché en deux. Une rage guerrière s'éleva en moi quand le sang chaud de celui qui avait osé me toucher jaillit des deux moitiés du corps. Je sortis de la maison, et, alors qu'un corsaire s'approchait de moi, me mis à danser. Une danse de vie pour les miens. Une danse de mort pour eux. La faux que je n'avais pas lâchée se mit à siffler. Je ne percevais plus ce qui m'entourait, mais seulement les âmes des pirates qui disparaissaient. Une à une. Jusqu'à ce qu'il n'en reste plus. Alors je tomba à genoux et me mis à pleurer, alors que le sang tombait partout autour de moi. Je n'avais plus de raisons de vivre,je m'allongea et perdis connaissance.
Je me réveillas en sursaut, quelques jours plus tard. Je me trouvais dans un lit plutôt confortable, et, lorsque j'ouvris les yeux, je ne vis rien. Ma cécité était toujours là, pourtant je me souvenais avoir vu quelque chose, mais comment était-ce possible. Alors que je me demandais où j'étais, j'entendis le bruit d'une porte qui s'ouvre :
- Qu....qui est là ?
- Ne t'inquiètes pas, tu n'as plus rien à craindre maintenant , fit une douce voix.
Je sentis alors la femme s'approcher de moi et me serrer contre sa poitrine. La chaleur qu'elle dégageait m'envahit et je me mis à pleurer.
- Non, plus rien à craindre, murmura-t-elle.
Qu'allais-je faire ? Tout ce qui composait ma vie avait été détruit en une seule journée. Des centaines de vie disparues, dont une grande partie par mes mains. Méritais-je encore de vivre ? J'en doute. Je devais mourir. Pour ceux que j'avais tué. Pour rejoindre les miens. pour quitter de monde que je ne voyais pas. Pour oublier. J'avais déjà décidé comment mourir. Par la lame avec laquelle j'avais prise tant de vies. Par cette lame, ma vie allait disparaître. Ainsi, je ne serais pas un fardeau pour celle qui m'avait recueillie.
Elle n'était pas dans la chambre, je n'entendais plus son souffle. Je devais me lever, et trouver la faux, en espérant qu'elle était dans la pièce. Je réussis à me mettre debout. Alors que je touchais les murs afin de trouver l'arme que j'avais utilisé, je trébucha sur une barre métallique. Je reconnus alors l'objet qui m'avait fait tombé, c'était ma faux. Je chercha la lame, sur laquelle je m'écorcha le doigt. Alors, je mis mes poignets à nu, et d'un geste rapide, la fin trancha la chair.
Je sentais un liquide chaud couler le long de mes avant-bras. Je sentais la vie me quitter. Cela faisait mal, trop mal. Mais bientôt, je n'aurais plus mal. Oui, tout aller bientôt se finir. Je sentis alors le froid m'envahir.
16/12/10 à 16:43:53
Je m'en doutais que le premier commentaire serait lié à une certaine chanson >_<.
10/12/10 à 17:03:48
Dans la vallée ooohhhhoooo de Danaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa la li lalaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa dans la vallée ohoh j'ai pu entendre des echos
Voici mon commentaire construictif
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