L'Oeil Rouge
Par : BloodMachine
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 19/11/10 à 12:18:11 par BloodMachine
Afghanistan, 13 Avril 2023.
Les États-Unis ont finis par vouloir coloniser L’Afghanistan dans le but de mieux contrôler ce pays en désastre depuis des années. Aron Utching, Caporal, dirige le chantier de la nouvelle ambassade Américaine, l’ancienne avait été détruit par les hommes de El-Gassi, ce soir-la, l’ambassadeur avait invité ce rebelle à négocier mais son instinct le fut contraire, il était installer dans une salle tranquille tout les deux, c’était il y a trois ans :
- Nous voulons la liberté de notre peuple!
- Il n’y a pas de liberté dans votre pays.
- Nous voulons juste essayer de diriger ce pays à notre guise !
- Hum ! Ce n’est pas en tuant tout le monde que vous arriverez à cela. Simple conseil.
- Que voulez qu’on fasse d’autres pour vous obligez a nous écoutez !
- On vous écoute tout le temps, et ce que vous dite ne parle toujours pas de liberté...
Un gros silence se mit entre eux deux, El-Gassi se leva et égorgea l’ambassadeur, le sang giclait dans tout les sens, il ne put rien faire d’autre que de le laisser mourir, il cria par la fenêtre et des hommes sorti des buissons avec des cocktails Molotov allumé, ils enflammèrent le bâtiment !
///////////////////
Trois ans plus tard
\\\\\\\\\\\\\\\\\\
Aron bouscula El-Gassi qui plongea dans la boue dégelasse :
- Alors, te souviens-tu de cette histoire dont tu ne t’y tiens toujours pas coupable ?
-Ouais, enfoirée.
- Quelle joli mot ! Tu ne te sens toujours pas coupable ? Tu es sûr ?
-…
- (rire) Je reviens pour voir si t’a avancer.
El-Gassi continuait a plongeait sa pelle dans la boue en vain d’en retirer...
Aron fut appelé par son lieutenant, le Lieutenant Derek Dass, un homme qui a beaucoup souffert.
La rue faisait peur ! C’était Kaboul aussi. Chaque jour, je voyais plusieurs image de cette ville, soit de la femme se faisant battre par son mari, soit les enfants s’amusant des petites billes qu’on leur donnée, je pleurai en pensant a ma famille, très loin de moi mais alors qu’en faite, ils ne sont pas loin de moi, dans mon cœur, il était au paradis, il me regardé faire ces horreurs !
La porte d’entrée était ouverte, Pas normal pour un homme aussi réservée, j’entrai difficilement, imaginant n’importe quoi. Le lieutenant allait bien, un peu fatiguée même, il me dit :
- Aron… El-Gassi à un successeur et leur objectif sont… plus que… le diable saurait faire, ils veulent…
Une détonation parti de l’immeuble en face, la fenêtre explosa et la tête du lieutenant aussi.
Un petit gars se trouvait dans la rue, il était vêtu très mal et avait surement des problèmes d'alimentation vu son corps mince, je l’avais aperçu par la fenêtre troué, je courrai sur lui pour le protéger, sinon il aura été plombé, en me retournant, le sniper m’a eu.
J’ouvrai les yeux, enfin, l’œil droit, l’autre était recouvert d’un gros bandage qui puait le sang, j’étais allongé sur un lit, deux gars était devant moi, j’arrivai un peu à comprendre ce qu'ils disaient :
- Enfin, Greg, tu vas lui greffer ce truc ?
- Je n'ai pas le choix, si je veux lui rendre la vie normale, c’est tout qui reste à faire !
- Enfin, c’est un projet secret !
- Tout qui est secret dans le monde finit par être découvert et puis... il sera puissant !
- … D’accord... Fais-le. Par contre moi je rentre en Angleterre !
- Fais ce qui te plait ! Moi je reste ici ! (en s’adressant à moi) T’inquiète pas, mon gars tu seras plus que normal plus tard…
Plus tars : le mot qui m’inquiété, j’espérais que son truc marchera !
« Le monde n’est pas simple. »
Les États-Unis ont finis par vouloir coloniser L’Afghanistan dans le but de mieux contrôler ce pays en désastre depuis des années. Aron Utching, Caporal, dirige le chantier de la nouvelle ambassade Américaine, l’ancienne avait été détruit par les hommes de El-Gassi, ce soir-la, l’ambassadeur avait invité ce rebelle à négocier mais son instinct le fut contraire, il était installer dans une salle tranquille tout les deux, c’était il y a trois ans :
- Nous voulons la liberté de notre peuple!
- Il n’y a pas de liberté dans votre pays.
- Nous voulons juste essayer de diriger ce pays à notre guise !
- Hum ! Ce n’est pas en tuant tout le monde que vous arriverez à cela. Simple conseil.
- Que voulez qu’on fasse d’autres pour vous obligez a nous écoutez !
- On vous écoute tout le temps, et ce que vous dite ne parle toujours pas de liberté...
Un gros silence se mit entre eux deux, El-Gassi se leva et égorgea l’ambassadeur, le sang giclait dans tout les sens, il ne put rien faire d’autre que de le laisser mourir, il cria par la fenêtre et des hommes sorti des buissons avec des cocktails Molotov allumé, ils enflammèrent le bâtiment !
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Trois ans plus tard
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Aron bouscula El-Gassi qui plongea dans la boue dégelasse :
- Alors, te souviens-tu de cette histoire dont tu ne t’y tiens toujours pas coupable ?
-Ouais, enfoirée.
- Quelle joli mot ! Tu ne te sens toujours pas coupable ? Tu es sûr ?
-…
- (rire) Je reviens pour voir si t’a avancer.
El-Gassi continuait a plongeait sa pelle dans la boue en vain d’en retirer...
Aron fut appelé par son lieutenant, le Lieutenant Derek Dass, un homme qui a beaucoup souffert.
La rue faisait peur ! C’était Kaboul aussi. Chaque jour, je voyais plusieurs image de cette ville, soit de la femme se faisant battre par son mari, soit les enfants s’amusant des petites billes qu’on leur donnée, je pleurai en pensant a ma famille, très loin de moi mais alors qu’en faite, ils ne sont pas loin de moi, dans mon cœur, il était au paradis, il me regardé faire ces horreurs !
La porte d’entrée était ouverte, Pas normal pour un homme aussi réservée, j’entrai difficilement, imaginant n’importe quoi. Le lieutenant allait bien, un peu fatiguée même, il me dit :
- Aron… El-Gassi à un successeur et leur objectif sont… plus que… le diable saurait faire, ils veulent…
Une détonation parti de l’immeuble en face, la fenêtre explosa et la tête du lieutenant aussi.
Un petit gars se trouvait dans la rue, il était vêtu très mal et avait surement des problèmes d'alimentation vu son corps mince, je l’avais aperçu par la fenêtre troué, je courrai sur lui pour le protéger, sinon il aura été plombé, en me retournant, le sniper m’a eu.
J’ouvrai les yeux, enfin, l’œil droit, l’autre était recouvert d’un gros bandage qui puait le sang, j’étais allongé sur un lit, deux gars était devant moi, j’arrivai un peu à comprendre ce qu'ils disaient :
- Enfin, Greg, tu vas lui greffer ce truc ?
- Je n'ai pas le choix, si je veux lui rendre la vie normale, c’est tout qui reste à faire !
- Enfin, c’est un projet secret !
- Tout qui est secret dans le monde finit par être découvert et puis... il sera puissant !
- … D’accord... Fais-le. Par contre moi je rentre en Angleterre !
- Fais ce qui te plait ! Moi je reste ici ! (en s’adressant à moi) T’inquiète pas, mon gars tu seras plus que normal plus tard…
Plus tars : le mot qui m’inquiété, j’espérais que son truc marchera !
« Le monde n’est pas simple. »
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