J'avais rien à foutre alors j'ai transformé le Lai ''Les Deux Amants'' de Marie de France en ce fabliau complètement débile Dédicasse à ma classe de littérature dans laquelle on a trouvé les éléments du Lai à transformer en éléments de fabliaux


Aujourd’hui mes seigneurs
J’ai le plus grand honneur
De vous conter la légende des deux amants
Cette légende me vient des bretons.
En Normandie, se tint une montagne d’une hauteur phénoménale
À son sommet se tient la résidence d’un prêtre avisé mais manquant de sagesse
Tout près, se dressait un hameau nommé Pitres, où vivait un paysan et sa fille
Cette fille, belle et rusée, était la seule fille du paysan dont la femme était morte
Se consolant ainsi avec sa fille la nuit, elle lui rappelait sa veuve
Plusieurs villageois étaient mal à l’aise avec l’idée, et plusieurs discutaient dans son dos
La fille, elle aussi écœuré de la situation, lui présenta une idée
Le premier qui montait la montagne, avec elle dans ses bras, pourrait la marier
Celle-ci aimait le prêtre, qui vivait au sommet de la montagne et souhaitait aller le rejoindre
Un jour, un vilain nommé Kevin arriva à Pitres, la bourgade près de la montagne
C’est dans une taverne qu’il entendit parler du défi de la fille
Kevin était un voleur, agile, rusé, mais quelque peu simple d’esprit
Il savait néanmoins se présenter avec courtoisie.
De nombreux ont relevés le défis avant lui.
Et Malgré tout, tous avaient échoués.
La fille, quelque peu impatiente de rejoindre le prêtre
Qui vivaient là haut lui dit :
<<Oh Seigneur
C’est pour vous un grand malheur
Car ce défi est malheureusement impossible.
J’ai mal réfléchi pensant me libérer de mon père.
Cependant, tout n’est pas perdu.
Allez à Salerne, là où vit ma tante.
Celle-ci est guérisseuse et sauras vous aider.
La préparation d’un filtre de force, elle saurait réaliser.
Remettez-lui ce papier, elle saura que cela provient de ma plume
Et puisses Dieu vous guider >>
Kevin, ne souhaitant que se faire un bon coup.
Pensa que cela en valait la peine.
Il enfourcha ainsi son âne et se dirigea vers Salerne.
Arrivé sur place, il trouva sans peine la vieille tante,
Qui vieille fille était.
Et point d’hommes dans sa vie elle n’avait.
Kevin lui donna le papier et la tante le lu.
Aussitôt elle cacha son rire.
Car la fille était rusée, Un mari autre que le prêtre elle n’en voulait.
Ainsi, la fille avait demandé pour Kevin un poison.
Et la tante, tentant de se retenir :
<<Hélas Messire
Un tel filtre est très rare
Je ne puis retenir votre demande sans rémunération
Une nuit avec moi vous passerez
Le corps d’un homme, depuis longtemps je n’ai pas touché. >>
Et de Kevin d’accepter.
Son poison dans sa bourse
Retournant tranquillement à Pitres, le défis, d’accepter
La fille, qui se absence durant
Mangea jour et nuit pour lui faire regretter
Et lorsque Kevin arriva
Directement il commença.
Vers les deux tiers de son défi, la fatigue commença à lui jouer.
<< Sire ! Votre filtre vous devriez boire ! >>
Dit la fille, sentant de revoir
Son prêtre et son amour.
Mais Kevin ne voulait point
Car sa courtoisie triomphait :
Honnêtement il voulait gagner sa nuit avec la demoiselle
Avant de la quitter durant la nuit.
Mais la fille refusait.
Et de force elle lui fit boire son poison.
Le placébo agissant, Kevin se senti revigorer.
Jusqu’au sommet il arrivait
Et devant le portique du prêtre il s’éteignait.
Le prêtre, fort, pris son cadavre et le fit rouler
Jusqu’en bas de la montagne, où le père attendait.
Ainsi Kevin fût berné par les ambitions d’une femme qui,
Écœurée, autre que son père voulait baiser.