Mes longues foulées paraissaient avaler l’asphalte qui brillait à la lueur des réverbères. La brise qui soufflait cette nuit la, frappée mes joues en cadence. Chacun de mes pas étaient d’un troublant mélange de force et de grâce.

Je venais courir presque tout les soirs, le plus souvent juste après le couché du soleil. Je faisais toujours le tour du cartier en passant par le grand parc du centre ville. On peut dire ce quartier qu’il n’était en aucun cas, le plus sur de la ville, mais j’en avais parfaitement conscience, et ce risque m’attirais. Je voyais ça comme sorte de défi, un refus de céder à la prudence que dictait ma raison. Certes je n’étais pas de taille à me tenir en tête à tête face à un éventuel agresseur. Mais je courais assez vite pour espère lui échapper.


L’air nocturne était froid et sec que chaque inspiration brûler mes poumons, mais cela ne me fait en aucun cas perdre mon rythme régulier de ma respiration. Ce soir, la lune brillé de tout son éclat, elle était comme je l’aimer, pleine et grosse.


Mais ce soir la, j’ai vu quelque chose d’étrange. Que je n’avais jamais vu auparavant. Qu’est-ce que c’était ? Loin devant moi, une faible lumière m’attira l’œil. J’étais passée des centaines de fois par cette rue, mais je n’avais jamais fait attention si une lueur était présente.
Je continuais ma course jusqu'à l’étrange lumière. Je me retrouvais face à un mur délabré. J’apercevais le faible éclat, dans une des denses fissures de la façade auquel je me tenais face.


Ma curiosité n’a pu m’empêcher d’essayer d’attendre cette misérable lumière, qui s’affaiblit à toute vitesse. Je passais mon bras à travers cette fissure démesuré. Pensant avoir touchée la lumière je fermais le poing et sorti mon bras aussitôt. Serrant fortement mon poing, j’aperçu des rayons plus intense autour de mon poing. Cette lumière était chaude, elle se réchauffa jusqu’à me brûler.
J’ouvris ma main, la lumière m’aveugla. Je mis mes deux mains sur mes yeux. Je ne savais pas ce qui était entrain de ce produire. La chaleur qu’éprouver l’intensité de la lueur, commençais à me brûler la peau. Je voulais que tout s’arrête. Soudain, je senti cette brise fraiche sur mon visage, le même ressentie lorsque je courrais. J’ouvris mes yeux, et regardais ma main, ou le milieu de ma paume été brûler, ce qui me faisait une trace assez étrange.



Mon regard ce porta à mes pieds, car j’étais sur de la pelouse. J’entendis de l’eau, une rivière était à ma droite. Qu’est-ce qui venait de ce passé ? Ou est-ce que j’étais ?
Je m’assis sur le tapis vert, en observant tous ce qui m’entouré. Avec mes mains je caressais cette douce herbe, elles étaient encore plus douce que la soie. Des milliers d’hectares et des arbres à perte de vue.
Je m’allongeais en écoutant le bercement de l’eau qui émettait des clapotis à cause du léger vent qui caressa l’eau. Je fermais les yeux, en me disant que ce n’était qu’un rêve. Car un autre monde ne pouvais en aucuns cas exister, c’était impossible.


En ayant pu résister au merveilleux endroit que j’étais tombé, je me laisser aller et m’endormis.