Je suis au milieu de nul part. Nul part, monde inconnu, territoire mystérieux et sûrement meurtrier. Monde qui permet d’utiliser notre instinct de survie. La survie, l’instinct que les premiers hommes ont eu. Instinct où peu de choses sont nécessaires. Nécessaires, sont un abri, la nourriture et l’eau.
Ces trois choses sont primordiale pour survivre. Ce verbe se rapporte à notre intuition nommé plus haut. Une seule question règne en terrain sauvage: Manger ou être mangé? Faire l’homme sauvage nu pour régner sur ce territoire. Moi? Je suis dans cet situation sauf que j’ai des vêtements et je suis civilisé.

Une plaine fait le sol où auquel je tiens debout. Plaine qui est encerclé par des montagnes et la mer. Quelques arbres essayent de me cacher l’horizon. Un tas d’animaux se promènent dans cet étendue de vert. J’ai déjà trouvé l’eau et la nourriture.
Où trouver un abri? Les montagnes bien sûr, mais quelle direction prendre? L’Ouest, le Nord ou l’Est? Je décida de savoir la direction du vent. Une brise fraîche vient de la droite, me frappa plein fouet et continua son chemin vers la gauche. À l’Ouest alors.

Ce chemin prit, selon moi, trente minutes. Faut trouver une grotte maintenant. En contournant une montagne, j’en vis une, mais en regardant à l’intérieur un eu plus, je vis qu’elle était profonde. Vaut mieux en prendre une autre. Deuxième grotte trouvée après deux minutes qui est encore plus profonde. Il m’arriva pareil avec la troisième. Je commençais à rager après ce territoire qui s’amuse à me compliquer la vie.
D’ailleurs, comment y suis-je arrivé? Hier, je me couchais dans mon lit bien doux à Rome. Aujourd’hui, j’apparais comme par magie dans ce lieu. Est-ce arrivé à d’autres? Est-ce qu’il y en a ici? J’espère que oui...

Par bonheur, je trouvais une troisième caverne. Une bonne taille et aucune trace d’animal hostile, c’est parfait pour le moment. D’ailleurs, le soleil commence à descendre. Au fond de l’antre, il y avait une petite source où auquel je m’abreuvais. Je me coucha sur le roc et me mit la tête sur une roche. Je n’allais pas faire le difficile en cette fin de première journée. Morphée, le dieu grec du sommeil, s’empara de moi.