La Conjuration des visiteurs
Par : Napoleonch
Genre : Nawak , Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Prélude du grand bouleversement
Publié le 10/10/10 à 18:09:08 par Napoleonch
Je m'appelle Louis Thonnier, et je vais vous raconter mon histoire extraordinaire...
Tout a commencé le 2 décembre 1806, alors que je célébrais avec ma famille l'anniversaire du sacre de Napoléon Bonaparte ainsi que celui de la bataille d'Austerlitz. Après une soirée agréable dans un cadre familial, le sommeil vint me gagner. Je décidai d'aller me coucher.
Je fus réveillé vers les 9h du matin par une machine à ma gauche sur une table de chevet qui émettait un bruit désagréable du genre : "tititit tititit tititit". Ne parvenant à l'éteindre je réussit néanmoins à la fracasser.
C'est alors que je remarquai que je ne me trouvais pas dans ma chambre mais dans une pièce dont le style m'était inconnu...
Les murs étaient recouverts d'affiches "AC/DC" ou encore d'un homme efféminé avec un nez en trompette. J'étais également vêtu d'une tenue de nuit grise sur laquelle on pouvait apercevoir un lapin jaune rayé et l'intitulé "Attraper les tous".
Autant ne pas vous racontez mon temps d'adaptation, ce qui est sûr, c'est que durant la première heure ce fut long.
Je compris le bouleversement quand je vu l'année sur le calendrier accroché à ma porte: "03/12/10"... Vint ensuite le moment où je jetai un regard par la fenêtre. Sacrebleu, je suis sacrément haut ...
La porte de la pièce s'ouvrit, je reconnu ma mère, qui était accoutumée d'une robe verte digne des gens de mauvais goûts !
- LOUIS presse toi où tu vas être en retard!!!!
- Mère où sommes-nous?
- Que veux-tu dire?
- Et bien où sommes nous?
- Cesse immédiatement de faire le crétin et prépare toi, il n'y a que les abrutis dans ton genre qui trouvent le moyen d'être en retard au lycée alors qu'ils commencent à 10h30
Elle avait refermé la porte... J'entendis ses talons claqués sur le parquet. J'étais réellement perdu, je ne savais quoi faire. La confusion avait envahi mon esprit. Je décidai d'aller la voir dans une tenue plus présentable...
En fouillant les moindres recoins de ma chambre (à l'époque je ne savais pas cependant que c'était la mienne) je découvris un pantalon et une chemise... Je ne mis que quelques instants à m'en revêtir.
En ouvrant la porte de ma chambre, je vus une glace en face de moi. HORREUR j'avais des cheveux jusqu'à la moitié du cou, comment ma mère avait-elle pu laisser passer cela!!!
A peine avais-je mis les pieds en dehors de ma chambre que ma mère me lança une paire de chaussures.
- Enfile les et presse toi tu vas être en retard.
Je m'executai, tandis qu'elle m'ouvrit la porte d'entrée ( là aussi je ne le savais pas encore) et me fit signe de sortir.
Une fois de plus j'agis sans broncher.
- Eh crétin des Alpes, tu vas au lycée sans ton sac?
Je compris qu'il fallait que je retourne dans ma chambre. Je m'y rendis et saisis le sac qui se trouvait sur le bureau, puis repris la porte d'entrée. Ma mère la claqua violemment. Eh bien je ne pus m'empêcher de jurer: "le mot de Cambronne".
Après avoir inspecté lentement le hall, j'ouvris une porte qui donnait sur un escalier.
- Comment suis-je censé pouvoir descendre dans une obscurité pareille, l'architecte des lieux a oublié les fenêtres!
J'appuyai par mégarde sur un interrupteur installé sur le mur, un flot de lumière éclairait désormais les escaliers...
- Mais c'est quoi ce bordel?
je descendis quatre à quatre les marches, pour ensuite atteindre le rez-de-chaussé. Un garçon du même âge que moi avait l'air d'attendre quelqu'un.
- Ah putain Louis tu en mets du temps, faut bouger son cul le matin! Aller go on y va faut pas être en retard
- Excuse moi mais je ne te permet pas de m'insulter de la sorte sale coccigrue !
- Ah LL, nan sérieux fais pas ton bouffon on y va, Ah et au fait j'ai eu un Iphone 4G hier (pigeon spotted)
Complètement déstabilisé par la situation, je décidai de quand même le suivre...
Tout a commencé le 2 décembre 1806, alors que je célébrais avec ma famille l'anniversaire du sacre de Napoléon Bonaparte ainsi que celui de la bataille d'Austerlitz. Après une soirée agréable dans un cadre familial, le sommeil vint me gagner. Je décidai d'aller me coucher.
Je fus réveillé vers les 9h du matin par une machine à ma gauche sur une table de chevet qui émettait un bruit désagréable du genre : "tititit tititit tititit". Ne parvenant à l'éteindre je réussit néanmoins à la fracasser.
C'est alors que je remarquai que je ne me trouvais pas dans ma chambre mais dans une pièce dont le style m'était inconnu...
Les murs étaient recouverts d'affiches "AC/DC" ou encore d'un homme efféminé avec un nez en trompette. J'étais également vêtu d'une tenue de nuit grise sur laquelle on pouvait apercevoir un lapin jaune rayé et l'intitulé "Attraper les tous".
Autant ne pas vous racontez mon temps d'adaptation, ce qui est sûr, c'est que durant la première heure ce fut long.
Je compris le bouleversement quand je vu l'année sur le calendrier accroché à ma porte: "03/12/10"... Vint ensuite le moment où je jetai un regard par la fenêtre. Sacrebleu, je suis sacrément haut ...
La porte de la pièce s'ouvrit, je reconnu ma mère, qui était accoutumée d'une robe verte digne des gens de mauvais goûts !
- LOUIS presse toi où tu vas être en retard!!!!
- Mère où sommes-nous?
- Que veux-tu dire?
- Et bien où sommes nous?
- Cesse immédiatement de faire le crétin et prépare toi, il n'y a que les abrutis dans ton genre qui trouvent le moyen d'être en retard au lycée alors qu'ils commencent à 10h30
Elle avait refermé la porte... J'entendis ses talons claqués sur le parquet. J'étais réellement perdu, je ne savais quoi faire. La confusion avait envahi mon esprit. Je décidai d'aller la voir dans une tenue plus présentable...
En fouillant les moindres recoins de ma chambre (à l'époque je ne savais pas cependant que c'était la mienne) je découvris un pantalon et une chemise... Je ne mis que quelques instants à m'en revêtir.
En ouvrant la porte de ma chambre, je vus une glace en face de moi. HORREUR j'avais des cheveux jusqu'à la moitié du cou, comment ma mère avait-elle pu laisser passer cela!!!
A peine avais-je mis les pieds en dehors de ma chambre que ma mère me lança une paire de chaussures.
- Enfile les et presse toi tu vas être en retard.
Je m'executai, tandis qu'elle m'ouvrit la porte d'entrée ( là aussi je ne le savais pas encore) et me fit signe de sortir.
Une fois de plus j'agis sans broncher.
- Eh crétin des Alpes, tu vas au lycée sans ton sac?
Je compris qu'il fallait que je retourne dans ma chambre. Je m'y rendis et saisis le sac qui se trouvait sur le bureau, puis repris la porte d'entrée. Ma mère la claqua violemment. Eh bien je ne pus m'empêcher de jurer: "le mot de Cambronne".
Après avoir inspecté lentement le hall, j'ouvris une porte qui donnait sur un escalier.
- Comment suis-je censé pouvoir descendre dans une obscurité pareille, l'architecte des lieux a oublié les fenêtres!
J'appuyai par mégarde sur un interrupteur installé sur le mur, un flot de lumière éclairait désormais les escaliers...
- Mais c'est quoi ce bordel?
je descendis quatre à quatre les marches, pour ensuite atteindre le rez-de-chaussé. Un garçon du même âge que moi avait l'air d'attendre quelqu'un.
- Ah putain Louis tu en mets du temps, faut bouger son cul le matin! Aller go on y va faut pas être en retard
- Excuse moi mais je ne te permet pas de m'insulter de la sorte sale coccigrue !
- Ah LL, nan sérieux fais pas ton bouffon on y va, Ah et au fait j'ai eu un Iphone 4G hier (pigeon spotted)
Complètement déstabilisé par la situation, je décidai de quand même le suivre...
10/10/10 à 18:57:40
Pour le chap 1, j'avais loupé le "né"
Sinon, masi math vont bien merci
Sinon, même chose que crazy Tu aurais pu décrire son comportmeent face aux nombreux objets de la vie de tous les jours PAr exemple, il aurait pu aller pisser et découvrir nos magnifiques latrines (ainsi que le PQ )
10/10/10 à 18:26:23
De ta part je ne m'attendais pas à des compliments :)
je pense écrire la suite mercredi ou le week-end prochain
10/10/10 à 18:21:17
lu. Pas grand chose à dire, si ce n'est que c'est trop rapide à mon gout et que le début mériterait à plus de liberté et d'originalité (en gros : sortir du traditionnel : je m'appele machin, 15 ans, ...)
On verra la suite.
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