Un Rêve dans la Réalité
Par : Games
Genre : Science-Fiction
Status : Terminée
Note :
Chapitre 7
Publié le 18/08/10 à 01:44:09 par Games
Chap6 :
Un souffle, long et saccadé. La fin de la vie dans toute sa splendeur. On la voie se dessiner au loin puis disparaître dans l’amertume de la mort. Une toge longue et sombre, capuchon relevé, regarde malsainement sa victime. Elle observe, patiente, puis brandit son énorme engin de destruction et … et plus rien.
« C’est lui »
« Il toujours vivant emmener le au centre »
« Ca va abrège, je t’ai pas demandé de me refaire la scène ! »
Nous étions assis Blake et moi dans les ruines encore fumante du blockhaus que nous venions de prendre.
« Ben c’est toi qui ma dit de te raconter »
Deux mois après ma sortis de l’infirmerie, on était repartis vers Paris en croisant quelque pillards qu’on avait vite fait de les délogeait puis de les exécutait. Arriver au niveau d’Orléans, on se prit un revers de la part des soviets. Ouais, c’est contre les russes qu’on se bat mais pas seulement contre eux, il y a les Chinois aussi paraît-il. Mais ils ont plus voulus conquérir l’Asie et l’Océanie que l’Europe et l’Afrique. Et l’Amérique dans tout ça ? Eh bien, rayé de la surface de la planète si j’ose ainsi dire. Un mec de New York m’avait montré une photo de lui devant l’Empire State Building. Enfin … ce qu’il en restait. Le bâtiment avait été soufflé jusqu’aux fondations, de même pour les autres gigantesques buildings qui l’entourait. Soufflé par quoi ? Par un nouveau type de bombe atomiques, hydrogène et hélium provoquait une mini-fusion nucléaire qui, ajouter à une grande quantité de plutonium instable provoquer une explosion pour le moins assez violentes puissent que la dernière en date qui est tombé a rayé de la carte toute l’Amérique du Sud.
« Va falloir qu’on y aille je crois parce que ça commence à chauffer un peu dans le coin »
En effet, on pouvait apercevoir à au moins huit cent mètres des explosions de petit calibre mais assez pour vous arracher une jambe.
« Faut le démonter ce tank là-bas, Clives et Steulk débrouillez-vous pour qu’il reste au même endroit, Harper prend les mines magnétiques et suit moi avec Blake. On va t’en faire une épave fumante. »
Maintenant, je donnais les ordres avec réflexion et stratégie. Harper et Clives étaient deux Américains envoyer en renfort dans notre section, Steulk était un Suisse qui avait su passé maître dans l’art de la diversion et du défonçage de régiment, quant à Blake il était Anglais d’origine mais avez vécus suffisamment en France pour savoir parler facilement sans accent.
Une première explosion.
« Ah ! Ça c’est Steulk qui s’éclate avec ses explosifs »
Blake et Harper était mort de rire. Pendant que nous progressions rapidement vers le blindé, je pouvais voir Clives entrain de charger son lance grenade.
« Harper passe moi les mines magnétiques, on va les lancer de là »
« Vas-y chuis prêt »
Je pris la bombe et la colla sur le réseau d’arrivé d’essence du char d’assaut. Oui, en dessous et alors ? Je courus vers la protection la plus proche. Harper et Blake s’étaient déjà cachés derrière le bouclier anti-explosion de Steulk. Une formidable explosion et une boule de feu s’élevèrent dans le ciel gris.
« Un de plus, les autres n’ont qu’à bien se tenir ! »
Un souffle, long et saccadé. La fin de la vie dans toute sa splendeur. On la voie se dessiner au loin puis disparaître dans l’amertume de la mort. Une toge longue et sombre, capuchon relevé, regarde malsainement sa victime. Elle observe, patiente, puis brandit son énorme engin de destruction et … et plus rien.
« C’est lui »
« Il toujours vivant emmener le au centre »
« Ca va abrège, je t’ai pas demandé de me refaire la scène ! »
Nous étions assis Blake et moi dans les ruines encore fumante du blockhaus que nous venions de prendre.
« Ben c’est toi qui ma dit de te raconter »
Deux mois après ma sortis de l’infirmerie, on était repartis vers Paris en croisant quelque pillards qu’on avait vite fait de les délogeait puis de les exécutait. Arriver au niveau d’Orléans, on se prit un revers de la part des soviets. Ouais, c’est contre les russes qu’on se bat mais pas seulement contre eux, il y a les Chinois aussi paraît-il. Mais ils ont plus voulus conquérir l’Asie et l’Océanie que l’Europe et l’Afrique. Et l’Amérique dans tout ça ? Eh bien, rayé de la surface de la planète si j’ose ainsi dire. Un mec de New York m’avait montré une photo de lui devant l’Empire State Building. Enfin … ce qu’il en restait. Le bâtiment avait été soufflé jusqu’aux fondations, de même pour les autres gigantesques buildings qui l’entourait. Soufflé par quoi ? Par un nouveau type de bombe atomiques, hydrogène et hélium provoquait une mini-fusion nucléaire qui, ajouter à une grande quantité de plutonium instable provoquer une explosion pour le moins assez violentes puissent que la dernière en date qui est tombé a rayé de la carte toute l’Amérique du Sud.
« Va falloir qu’on y aille je crois parce que ça commence à chauffer un peu dans le coin »
En effet, on pouvait apercevoir à au moins huit cent mètres des explosions de petit calibre mais assez pour vous arracher une jambe.
« Faut le démonter ce tank là-bas, Clives et Steulk débrouillez-vous pour qu’il reste au même endroit, Harper prend les mines magnétiques et suit moi avec Blake. On va t’en faire une épave fumante. »
Maintenant, je donnais les ordres avec réflexion et stratégie. Harper et Clives étaient deux Américains envoyer en renfort dans notre section, Steulk était un Suisse qui avait su passé maître dans l’art de la diversion et du défonçage de régiment, quant à Blake il était Anglais d’origine mais avez vécus suffisamment en France pour savoir parler facilement sans accent.
Une première explosion.
« Ah ! Ça c’est Steulk qui s’éclate avec ses explosifs »
Blake et Harper était mort de rire. Pendant que nous progressions rapidement vers le blindé, je pouvais voir Clives entrain de charger son lance grenade.
« Harper passe moi les mines magnétiques, on va les lancer de là »
« Vas-y chuis prêt »
Je pris la bombe et la colla sur le réseau d’arrivé d’essence du char d’assaut. Oui, en dessous et alors ? Je courus vers la protection la plus proche. Harper et Blake s’étaient déjà cachés derrière le bouclier anti-explosion de Steulk. Une formidable explosion et une boule de feu s’élevèrent dans le ciel gris.
« Un de plus, les autres n’ont qu’à bien se tenir ! »
19/08/10 à 12:18:23
oui je sais je me suis encore viandé pour la decription
18/08/10 à 23:28:49
Je suis pas toujours fou de la grammaire, et je trouve que tu détailles pas assez mais j'aime toujours l'histoire
Essaye d'approfondir un peu plus les descriptions et ce sera vraiment bien
Maintenant suite ! :D
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