Un Rêve dans la Réalité
Par : Games
Genre : Science-Fiction
Status : Terminée
Note :
Chapitre 11
Publié le 31/08/10 à 15:28:32 par Games
Chap10 :
L’humidité des parois reluisaient dans l’obscurité du puits. L’ascenseur montait à une vitesse vertigineuse. Un garde en armure bleu, nous surveillais. Boris regardait le vide. Il avait faillis à sa mission et il le savait. Je le regardais avec incompréhension. Il se tourna vers moi et me fixa pendant 10 bonnes secondes dans les yeux. Il se colla à moi et me parla à voix basse.
« Donne-moi tes mains »
« Euh… pourquoi ? »
« Cherche pas à savoir donne les moi »
Je me méfiais de lui maintenant. Malgré cela, je lui tendis mes mains attachées et attendis. Boris sortit une minuscule pilule argentée.
« C’est un explosif à haute concentration de plutonium très instable que l’on l’appelle plus communément microlite. Si tu la lances fort sur le sol tu peux enclencher la mise à feu et la faire explosé sur le moment. »
Je le fixais à mon tour avec étonnement. Décidemment, j’en savais très peu sur mes hommes. Enfin, ce qu’il restait de mon groupe. Tous ceux qui avaient disparus dans l’embuscade me revinrent à l’esprit et une larme m’échappa de l’œil.
« Eh la taffiole ! Arrête de chialer ! Tu vas rester en vie pauv’ tâche ! »
Là, je n’aurais pas pus expliquer ce qui c’était passé. Boris s’était levé, avait dégainé le pistolet du garde et le coup était partis. Je n’avais pas encore compris la scène que le russe avait déjà tué le gardien.
« Bon maintenant, il s’agit de trouver un moyen de s’enfuir donc il faudrait que… »
L’ascenseur s’arrêta puis une porte en face de moi s’ouvrit laissant entrevoir deux hommes armés de pistolet-mitrailleur. Encore une fois, la scène resterait gravée dans ma mémoire. Boris s’effondras sous la violence des projectiles à tête creuse. Encore un qui disparaissait. Les soldats me prirent par les bras et m’emmenèrent le long d’une passerelle puis m’envoyèrent valsé dans une pièce. Je m’assommais contre une table et sombrait dans un coma profond.
J’ouvris les yeux doucement. J’étais toujours dans la pièce mais j’avais les mains déliées. J’observais fébrilement ce qui m’entourait. Un mobilier high-tech remplissait la pièce. Je me relevais difficilement. Puis me dirigea vers une couchette dans un des coins de la salle. La porte s’ouvrit dans un glissement strident. Le professeur était là toujours entouré de ses gardes.
« Alors Lieutenant ? Bien dormis ? Sachez que vous êtes en ce moment à quelque million de kilomètres de la Terre. »
Une masse s’était abattue sur mon crâne à l’effet de cette annonce. Je vacillais légèrement, m’appuyant contre une table et faisant tombé quelque bibelot.
« Oui vous avez bien entendus, vous êtes actuellement dans l’espace. Mais n’essayez pas de faire un quelconque retour sur Terre, elle n’existe plus depuis. »
Mon cœur s’arrêta de battre et je ne trouvais plus l’air pour mes poumons. Je commençais à étouffer. Le berceau de l’humanité, l’exception du système solaire, la planète unique. Des centaines de milliers d’années d’existence pour finir réduite en poussière galactique par ceux qu’elle avait engendré et nourris. Ces hommes étaient ce que le monde cherchait à combattre, des ordures, des déchets. Je baissais la tête. Un sourire apparus sur mes lèvres, il me restait de quoi les empêchés d’asservir l’humanité. Je glissais la main dans ma poche et relevas la tête.
« Je vois que vous avez un grand sourire lieutenant. Vous avez enfin compris que l’humain est destiné à survivre par n’importe quel moyen ? Ainsi, vous avez sans nul doute comprendre aussi que notre administration peut exercer une emprise considérable sur une pauvre humanité paranoïaque. »
J’éclatais de rire, provoquant ainsi la stupeur sur le visage du professeur.
« Je vois que vous vous croyez bien supérieur à la moyenne. Vous êtes trop avide de pouvoir pour régner sur un monde où la liberté est le besoin commun à tous les humains. Un jour vous comprendrez ce que je viens de dire ou peut être pas. »
Un rictus déforma mon visage. Je sortis la microlite de la poche et la lança violemment aux pieds du professeur. Le temps qui passa parus interminable.
La capsule explosa dans une gerbe de feu. Les quatre personnes qui se trouvaient dans la pièce furent volatilisé en particule de poussière. Le vaisseau, orgueil de l’intelligence destructrice humaine, sauta à son tour dans un souffle qui déchira l’espace en deux.
« La liberté n'est pas au commencement, mais à la fin. »
« La mort est parfois une très bonne amie. »
Pourquoi ? Pourquoi l’homme s’acharne-t-il sur quelque chose qui lui a permis de vivre ? Pourquoi l’homme cherche à se détruire pour gagner la puissance et la folie ?
Description de l’humain dans sa généralité…
FIN
L’humidité des parois reluisaient dans l’obscurité du puits. L’ascenseur montait à une vitesse vertigineuse. Un garde en armure bleu, nous surveillais. Boris regardait le vide. Il avait faillis à sa mission et il le savait. Je le regardais avec incompréhension. Il se tourna vers moi et me fixa pendant 10 bonnes secondes dans les yeux. Il se colla à moi et me parla à voix basse.
« Donne-moi tes mains »
« Euh… pourquoi ? »
« Cherche pas à savoir donne les moi »
Je me méfiais de lui maintenant. Malgré cela, je lui tendis mes mains attachées et attendis. Boris sortit une minuscule pilule argentée.
« C’est un explosif à haute concentration de plutonium très instable que l’on l’appelle plus communément microlite. Si tu la lances fort sur le sol tu peux enclencher la mise à feu et la faire explosé sur le moment. »
Je le fixais à mon tour avec étonnement. Décidemment, j’en savais très peu sur mes hommes. Enfin, ce qu’il restait de mon groupe. Tous ceux qui avaient disparus dans l’embuscade me revinrent à l’esprit et une larme m’échappa de l’œil.
« Eh la taffiole ! Arrête de chialer ! Tu vas rester en vie pauv’ tâche ! »
Là, je n’aurais pas pus expliquer ce qui c’était passé. Boris s’était levé, avait dégainé le pistolet du garde et le coup était partis. Je n’avais pas encore compris la scène que le russe avait déjà tué le gardien.
« Bon maintenant, il s’agit de trouver un moyen de s’enfuir donc il faudrait que… »
L’ascenseur s’arrêta puis une porte en face de moi s’ouvrit laissant entrevoir deux hommes armés de pistolet-mitrailleur. Encore une fois, la scène resterait gravée dans ma mémoire. Boris s’effondras sous la violence des projectiles à tête creuse. Encore un qui disparaissait. Les soldats me prirent par les bras et m’emmenèrent le long d’une passerelle puis m’envoyèrent valsé dans une pièce. Je m’assommais contre une table et sombrait dans un coma profond.
J’ouvris les yeux doucement. J’étais toujours dans la pièce mais j’avais les mains déliées. J’observais fébrilement ce qui m’entourait. Un mobilier high-tech remplissait la pièce. Je me relevais difficilement. Puis me dirigea vers une couchette dans un des coins de la salle. La porte s’ouvrit dans un glissement strident. Le professeur était là toujours entouré de ses gardes.
« Alors Lieutenant ? Bien dormis ? Sachez que vous êtes en ce moment à quelque million de kilomètres de la Terre. »
Une masse s’était abattue sur mon crâne à l’effet de cette annonce. Je vacillais légèrement, m’appuyant contre une table et faisant tombé quelque bibelot.
« Oui vous avez bien entendus, vous êtes actuellement dans l’espace. Mais n’essayez pas de faire un quelconque retour sur Terre, elle n’existe plus depuis. »
Mon cœur s’arrêta de battre et je ne trouvais plus l’air pour mes poumons. Je commençais à étouffer. Le berceau de l’humanité, l’exception du système solaire, la planète unique. Des centaines de milliers d’années d’existence pour finir réduite en poussière galactique par ceux qu’elle avait engendré et nourris. Ces hommes étaient ce que le monde cherchait à combattre, des ordures, des déchets. Je baissais la tête. Un sourire apparus sur mes lèvres, il me restait de quoi les empêchés d’asservir l’humanité. Je glissais la main dans ma poche et relevas la tête.
« Je vois que vous avez un grand sourire lieutenant. Vous avez enfin compris que l’humain est destiné à survivre par n’importe quel moyen ? Ainsi, vous avez sans nul doute comprendre aussi que notre administration peut exercer une emprise considérable sur une pauvre humanité paranoïaque. »
J’éclatais de rire, provoquant ainsi la stupeur sur le visage du professeur.
« Je vois que vous vous croyez bien supérieur à la moyenne. Vous êtes trop avide de pouvoir pour régner sur un monde où la liberté est le besoin commun à tous les humains. Un jour vous comprendrez ce que je viens de dire ou peut être pas. »
Un rictus déforma mon visage. Je sortis la microlite de la poche et la lança violemment aux pieds du professeur. Le temps qui passa parus interminable.
La capsule explosa dans une gerbe de feu. Les quatre personnes qui se trouvaient dans la pièce furent volatilisé en particule de poussière. Le vaisseau, orgueil de l’intelligence destructrice humaine, sauta à son tour dans un souffle qui déchira l’espace en deux.
« La liberté n'est pas au commencement, mais à la fin. »
« La mort est parfois une très bonne amie. »
Pourquoi ? Pourquoi l’homme s’acharne-t-il sur quelque chose qui lui a permis de vivre ? Pourquoi l’homme cherche à se détruire pour gagner la puissance et la folie ?
Description de l’humain dans sa généralité…
FIN
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