Un an en Australie
Par : alcolol
Genre : Sentimental
Status : Terminée
Note :
Chapitre 90
Publié le 22/05/09 à 20:50:08 par alcolol
Ce matin là, le ciel était dégagé. Une chaleur pesante, étouffante était présente. Un jour de canicule comme les autres. La météo avait annoncé depuis la veille une alerte aux orages, violent dans la région et surtout a cette période de l'année.
Le mêre d'Halley, elle travaillait dans son bureau sur une affaire de divorce toujours plus compliquée que la précèdente, essayant de trouver un arrangement pour que sa cliente récement trompée puisse garder la maison et la voiture faisant cadeau du chien a son mari volage.
Le père d'Halley lui était dans la cuisine assis sur un tabouret nettoyant soigneusement ses clubs de golf en titane et carbonne ainsi que sa house de golf en cuir. Certainement pour épaté ses amis, concurrents ou encore client. Moyen de montrer sa richesse tout en ne paraissant pas trop "bling bling".
Halley lui était dans le canapé, son macbook pro blanc sur les genoux. Il commandait une paire de chaussure italienne son american express dans la main.
Moi sur la table de jardin en bois exotique, un crayon a la main et le rgard dans le vide cherchant quelque chose a écrire sur une carte postale.
Non pas que je n'avais pas d'idée, il m'aurait simplement fallut décrire le temps, les paysages mais voila. L'expéditeur méritait un peu plus que ça.
Bien entendu je ne me serais pas donné autant de mal pour ma famille ou mes amis.
Ma petit amie.
Je lui écrivait. Qui l'aurait crut hein? Moi, Marc écrivant une carte a une fille. De plus cette fille était merveilleuse, intélligente.
Ce voyage n'aura pas été que bénéfique pour mon apprentissage de l'anglais. Depuis que je suis ici, j'ai l'impression d'éxister, d'être moi même. Je n'est pas l'impression d'étre rabaissé oprimé par des proches amis ou qui que se soit.
Depuis que je suis ici, je me sant libre: je me sent chez moi.
L'idée de partir d'ici me fend le coeur. Ma nouvelle vie est ici, le nouveau Marc est ici. Imaginez vous, c'est comme si du jour au lendemain on vous disait:" Maintenant retour dans les années 1950 " plus de PC plus de technologies...enfin vous voyez ce que je veux dire. Revenir en France serait pour moi une grave erreur. Bien que j'aime ma famille ou mes amis, il n'y a qu'en Australie que je me sent bien...
Une légère brise venant du large m'arracha un frisson malgré cette chaleur.
Cependant mon crayon noir ne bougeat pas. Dans mon fort intérieur je savais qu'écrire une lettre serait admettre que j'allais partir, pas tout de suite mais qu'il fallait que je l'y et m'y prépare.
Puis je me ravisa. Je n'écrirais pas cette lettre. Certes ce n'était pas des adieux mais pas de promesses de chaleureuses retrouvailles.
Hannah le savait bien, on en avait parlé, un jour ou l'autre il aurai fallut que je partes. Bien sûr ni elle, ni moi n'avions eu le courage de rompre ce lien qui nous reliais.
On s'était finalement sentis bien l'un avec l'autre. Ce qui ne devait surement n'étre qu'une histoire banale courte et sans intéret serais au contraire une grand histoire.
Ce fut Halley qui m'extirpa de mes pensés maussades. Toujours avec un grand sourir, celui ci.
-"I go to the mall, do you wanna come?"(je vais au centre commercial, tu veux venir?)
-"Yes, I do!" (oui)
Apres un petit moment, la mercedes blanche quittait l'allée et s'engageait sur la grande route en direction du centre. d'apres ce que j'avais compris Halley devait s'acheter une tenue pour sa remise de diplome. J'avais un sourir au levres. J'avais l'image d'Halley en pinguin sous un soleil de plomb qui attendait une récompense durement méritée.
Une fois garé devant le "store" nous rentrés à l'intérieur, il était 15h, c'était un beau magasin, un taileur plus précisement. C'était un immeuble d'apparence cossu, ancien. A l'intérieur de belles boiseries en noyer servait de présentoir.
-"It's my father's tailor" (c'est le tailleur de mon pere) m'indiqua Halley quand un vieux monsieur vint à notre rencontre.
Il nous demanda de le suivre jusqu'à un "box" oû il y avait 2 sieges,apparement confortables il y avai aussi une estrade au milieu.
Le vieux tailleur aurait pus jouer l'oncle de frodon, dans le Seigneur des Anneaux.
C'était un vieux monsieur avec des faussettes et rides rilleuses. Il avait un long mettre a couture autour de son cou, il portait une chemise blanche et un genre de veston sans manche.
Pendant quelques minutes Ils parlerent du tissu, de la coupe...de ce qu'halley voulait. Il appella quelqu'un et commença son travail de mesure sur Halley. Mesurant le tour de cou, l'entre-jambe...
Ce curieux spectacle me passionnait.
Dehors le ciel s'obscurcissait. De gros nuages avaient fait leurs apparition, le vent s'était renforcé mais la chaleur était la même, lourde.
Puis au bout de quelques minutes, Halley descendit il s'étira. Il parla un instant avec le vieux tailleur.
Puis le vieux tailleur me souria et m'indiqua l'estrade.
-"No...I don't need... thanks..."
-"Yes... you need"m'ajouta Halley en faisant mine de me menacer.
-"But...it's expensive...No I can't..."
-"Marc...please...It's my present."
Le tailleur agitait ses mains et son ruban avec une dextéritée telle qu'elles me donnaient le tournis.
Puis lorsque toute les mesures furent prisent, je descendis et me sentis plus à l'aise et compris pourquoi halley s'était étiré.
Les costumes seraient prêts dans une semaine.
Quand nous sommes partis la pluie commençait à tomber, et quelques grondement se firent entendrent au loin.
sweet? ou pas sweet à capuche?
Le mêre d'Halley, elle travaillait dans son bureau sur une affaire de divorce toujours plus compliquée que la précèdente, essayant de trouver un arrangement pour que sa cliente récement trompée puisse garder la maison et la voiture faisant cadeau du chien a son mari volage.
Le père d'Halley lui était dans la cuisine assis sur un tabouret nettoyant soigneusement ses clubs de golf en titane et carbonne ainsi que sa house de golf en cuir. Certainement pour épaté ses amis, concurrents ou encore client. Moyen de montrer sa richesse tout en ne paraissant pas trop "bling bling".
Halley lui était dans le canapé, son macbook pro blanc sur les genoux. Il commandait une paire de chaussure italienne son american express dans la main.
Moi sur la table de jardin en bois exotique, un crayon a la main et le rgard dans le vide cherchant quelque chose a écrire sur une carte postale.
Non pas que je n'avais pas d'idée, il m'aurait simplement fallut décrire le temps, les paysages mais voila. L'expéditeur méritait un peu plus que ça.
Bien entendu je ne me serais pas donné autant de mal pour ma famille ou mes amis.
Ma petit amie.
Je lui écrivait. Qui l'aurait crut hein? Moi, Marc écrivant une carte a une fille. De plus cette fille était merveilleuse, intélligente.
Ce voyage n'aura pas été que bénéfique pour mon apprentissage de l'anglais. Depuis que je suis ici, j'ai l'impression d'éxister, d'être moi même. Je n'est pas l'impression d'étre rabaissé oprimé par des proches amis ou qui que se soit.
Depuis que je suis ici, je me sant libre: je me sent chez moi.
L'idée de partir d'ici me fend le coeur. Ma nouvelle vie est ici, le nouveau Marc est ici. Imaginez vous, c'est comme si du jour au lendemain on vous disait:" Maintenant retour dans les années 1950 " plus de PC plus de technologies...enfin vous voyez ce que je veux dire. Revenir en France serait pour moi une grave erreur. Bien que j'aime ma famille ou mes amis, il n'y a qu'en Australie que je me sent bien...
Une légère brise venant du large m'arracha un frisson malgré cette chaleur.
Cependant mon crayon noir ne bougeat pas. Dans mon fort intérieur je savais qu'écrire une lettre serait admettre que j'allais partir, pas tout de suite mais qu'il fallait que je l'y et m'y prépare.
Puis je me ravisa. Je n'écrirais pas cette lettre. Certes ce n'était pas des adieux mais pas de promesses de chaleureuses retrouvailles.
Hannah le savait bien, on en avait parlé, un jour ou l'autre il aurai fallut que je partes. Bien sûr ni elle, ni moi n'avions eu le courage de rompre ce lien qui nous reliais.
On s'était finalement sentis bien l'un avec l'autre. Ce qui ne devait surement n'étre qu'une histoire banale courte et sans intéret serais au contraire une grand histoire.
Ce fut Halley qui m'extirpa de mes pensés maussades. Toujours avec un grand sourir, celui ci.
-"I go to the mall, do you wanna come?"(je vais au centre commercial, tu veux venir?)
-"Yes, I do!" (oui)
Apres un petit moment, la mercedes blanche quittait l'allée et s'engageait sur la grande route en direction du centre. d'apres ce que j'avais compris Halley devait s'acheter une tenue pour sa remise de diplome. J'avais un sourir au levres. J'avais l'image d'Halley en pinguin sous un soleil de plomb qui attendait une récompense durement méritée.
Une fois garé devant le "store" nous rentrés à l'intérieur, il était 15h, c'était un beau magasin, un taileur plus précisement. C'était un immeuble d'apparence cossu, ancien. A l'intérieur de belles boiseries en noyer servait de présentoir.
-"It's my father's tailor" (c'est le tailleur de mon pere) m'indiqua Halley quand un vieux monsieur vint à notre rencontre.
Il nous demanda de le suivre jusqu'à un "box" oû il y avait 2 sieges,apparement confortables il y avai aussi une estrade au milieu.
Le vieux tailleur aurait pus jouer l'oncle de frodon, dans le Seigneur des Anneaux.
C'était un vieux monsieur avec des faussettes et rides rilleuses. Il avait un long mettre a couture autour de son cou, il portait une chemise blanche et un genre de veston sans manche.
Pendant quelques minutes Ils parlerent du tissu, de la coupe...de ce qu'halley voulait. Il appella quelqu'un et commença son travail de mesure sur Halley. Mesurant le tour de cou, l'entre-jambe...
Ce curieux spectacle me passionnait.
Dehors le ciel s'obscurcissait. De gros nuages avaient fait leurs apparition, le vent s'était renforcé mais la chaleur était la même, lourde.
Puis au bout de quelques minutes, Halley descendit il s'étira. Il parla un instant avec le vieux tailleur.
Puis le vieux tailleur me souria et m'indiqua l'estrade.
-"No...I don't need... thanks..."
-"Yes... you need"m'ajouta Halley en faisant mine de me menacer.
-"But...it's expensive...No I can't..."
-"Marc...please...It's my present."
Le tailleur agitait ses mains et son ruban avec une dextéritée telle qu'elles me donnaient le tournis.
Puis lorsque toute les mesures furent prisent, je descendis et me sentis plus à l'aise et compris pourquoi halley s'était étiré.
Les costumes seraient prêts dans une semaine.
Quand nous sommes partis la pluie commençait à tomber, et quelques grondement se firent entendrent au loin.
sweet? ou pas sweet à capuche?
07/04/09 à 22:47:01
Aller sweet quoi plus vite !!!!!
07/04/09 à 22:47:00
Aller sweet quoi plus vite !!!!!
07/04/09 à 21:14:16
Sweet shirt :)
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